samedi 6 juin 2009

"Home": une farce planétarienne

Vous avez eu beaucoup de mal à échapper au matraquage propagandique pour le film "Home" de Yann Arthus Bertrand, le mondialiste écolo avec sa tête de satyre et son air béat et vicelard, prophète de la nouvelle religion des jet setters des mégalopoles occidentales.

Le projet est bien ficelé: le film est diffusé gratuitement sur internet, des places prestigieuses sont réservées pour sa diffusion en simultanée dans de nombreux pays du monde: New York, Paris, Moscou. Le thème ? La planète est en danger de mort, il faut agir pour la sauver de la destruction. La faute à la surexploitation de "l'homme". "L'homme" c'est pratique, parce que c'est tout le monde et personne.

Naturellement on nous prépare déjà aux "migrations climatiques", à la "mondialisation de la question écologique" qui est le parallèle de la "mondialisation de la crise financière". Yann insiste: "les hommes", "l'humanité", doivent prendre conscience de former "une grande famille".

"Home" a donc tout du rassemblement sectaire sur un ton ou se mêlent tous les poncifs et les influences du mondialisme Juif, du tiers mondisme rouge, de la fraternité maçonnique avec un soupçon d'antiracisme subtil. Bref le film participe de l'édification d'une nouvelle religion mondiale ou le culte de "l'homme" serait la base, discours millénariste que l'on retrouve dans les droits de l'homme et le discours des doctrinaires Juifs. Les problèmes présentés servant de moteur à ce processus d'unification de la terre... Un processus d'autant plus impératif qu'il est inéluctable, comme la fin des classes sociales du Juif Marx... Poussez un peu et le métissage arrive pour y ajouter la fin des races, peuples, religions et ethnies.

Cependant vous pensez bien qu'on ne passe pas trois ans à faire un film, puis à le diffuser dans les endroits les plus embourgeoisés de la terre, le laisser libre, de droit sans avoir pu non seulement financer le projet mais encore payer cette opération de grande ampleur. Tout cela coûte du pognon et sur terre la gratuité, même apparente comme ici, n'existe pas. Elle indique même plus sûrement une attente de retour sur investissement.

Derrière cette générosité, se cache le groupe Pinault Printemps La Redoute qui a financé l'intégralité du film et de sa diffusion. Lorsque les grands groupes capitalistes à l'origine des catastrophes écologiques et des conflits géopolitiques actuels commencent à parler de l'urgence de lutter pour l'environnement et à culpabiliser le petit peuple, c'est qu'il y a évidemment anguille sous roche et que les motivations écologiques sont là dedans très secondaires. Comment un groupe qui fait dans le luxe (Gucci), et le mobilier (Conforama) donc la déforestation pourrait il être légitime pour "sensibiliser" ceux qui n'ont pas de levier stratégique sur ces questions ?

Le Jet setter Pinault patron officieux du groupe, dont l'intérêt existentiel repose sur de hautes préoccupations au sujet du caca artistique contemporain cher à l'hyperclasse d'Attali, est rappelons-le un ami de Bernard Henri Lévy qui pourtant a brillé jadis dans la déforestation de l'Afrique à l'instar de PPR.

La bourgeoisie mondialiste enjuivée se paie donc une nouvelle fois nos têtes, car elle ne changera certainement pas de train de vie même si elle nous culpabilise pour le faire et surtout nous vendre ses solutions. Il est d'ailleurs d'un culot typiquement israélite d'entendre des Juifs qui ont une sainte horreur de la nature venir nous expliquer comment la préserver après s'être répandu en prophéties poussant à sa domination par l'homme...

Planétarisme, fraternité mondiale, migrations climatiques, urgence de "coopérer au niveau planétaire" sur fond de fête pour bourgeois de gauche camés et Juifs névrosés enrichis, ce navet produit par le très cosmopolite Luc Besson constitue donc le summum du conformisme idéologique mondialiste.

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