Oscar Frank, Juif
Extrait de son livre « Les Juifs », Leipzig, 1905 page 84 : « De tout temps l’usure juive a été stigmatisée par les poètes. Au XVIème siècle, l’usurier juif était un personnage bien connu. Dans les Jeux du Carnaval le Juif, usurier et escroc, était le rôle spécialement goûté du public. Dans ce cas, les écrivains n’avaient aucune difficulté pour lui prêter des traits pris sur le vif (page 98) : un homme qui, de façon générale, trompe le milieu chrétien dans lequel il se trouve et s’inspire du désir de s’enrichir. Pour cette raison presque partout, l’opinion prévaut que le Juif est l’exploiteur du peuple chrétien. »
Graetz, Juif
Ainsi s’exprime le grand historien du peuple juif, cité par le philosémite Bonsirven, dans son livre : « Sur les ruines du temple » page 324 : « Les défauts de la méthode de l’enseignement talmudique, la subtilité, la manière d’ergoter, la finasserie, pénétrèrent dans la vie pratique et dégénérèrent en duplicité, en esprit retors, en déloyauté. Il était difficile aux Juifs de se tromper entre eux parce qu’ils avaient reçu une éducation à peu près identique et par conséquent ils pouvaient se servir des mêmes armes. Mais ils usaient souvent de ruse et de moyens déloyaux envers les Goyim. »
Dr Rudolf Wasserman, Juif
Extrait de « Zeitschrift für Sozialwissenschaft », 12ème année, 1909, page 663 : « Nous possédons un matériel copieux et chiffré qui montre que les Juifs tout particulièrement sont sujets aux maladies cérébrales (statistiques), et les spécialistes le reconnaissent unanimement (citations de cas). Chez le Juif, le système nerveux est le « locus minoris résistentiae » (lieu de moindre résistance). »
Dr M. J Guttmann, Juif
Extrait de « Zeitschrift für Demographie », 3ème année, H 4 – 6, page 112 : « La démence précoce est un trouble mental qui, chez les Juifs, est d’une fréquence tout à faite extraordinaire. »
Kreppel, Juif
Extrai de son livre « Les Juifs et le Judaïsme d’aujourd’hui », Edition Amalthéa, 1925, page 387 : « En ce qui concerne la démence, on a établi que dans les asiles d’aliénés publics et privés, le pourcentage des Juifs excède de trois fois celui des Chrétiens. »
Le développement pathologique de la personnalité juive, du fait de la circoncision rituelle, est absolument patent.
Nietzsche n’a-t-il pas dit : « Ce sont les malades qui ont inventé la méchanceté ».
La maladie spéculativo-parasitaire juive cessera immédiatement avec la suppression de la circoncision au 8ème jour.
Le drapeau français vu par le Juif Jean Zay
Jean Zay, membre de la Loge « L’Indépendance » d’Orléans, ministre dans le cabinet Sarrault et Léon Blum, signait l’article suivant dans un journal parisien le 6 mars 1924, dans lequel il oubliait, hélas, deux petits détails :
Le drapeau
Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
Quinze cents dans mon pays, quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille hommes morts, Mon Dieu !
Quinze cent mille hommes morts dont chacun avait une mère, une maîtresse, des enfants, une maison, une vie, un espoir, un cœur.
Qu’est-ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, Mon Dieu, quinze cent mille morts pour cette saloperie, quinze cent mille éventrés, déchiquetés, anéantis dans le fumier d’un champ de bataille, quinze cent mille que nous n’entendrons plus jamais, que leurs amours ne reverront plus jamais.
Terrible morceau de drap, cloué à ta hampe, je te hais férocement.
Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toute la misère que tu représentes, pour le sang frais, le sang humain, aux odeurs âpres qui gicla sous tes plis, je te hais au nom des squelettes.
Ils étaient quinze cent mille.
Je te hais pour tous ceux qui te saluent, je te hais à cause des peigne-cul des couillons et des putains qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre.
Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial, le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le bleu que tu volas au ciel, le blanc livide de tes remords.
Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grands coups les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts, et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer et tes victoires, que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.
(Le torche-cul rouge du marxisme fera 200 millions de morts)
A qui profita le Bolchevisme ?
La révolution bolchevique fut entièrement juive : idéologues (Marx, Lassalle), financiers (Warburg, Loeb etc.), politiciens (Lénine, Trotsky, Kerensky, etc), bourreaux carcéraux et concentrationnaires, (Kaganovitch, Frenkel, Yagoda, etc.).
L'ANNUAIRE OFFICIEL de la juiverie (gouvernement d'Israël), publié aux Etats-Unis, donne avec orgueil la liste suivante des Juifs exerçant un pouvoir en Russie, en l'an 5678 de l'ère hébraïque :
Aaronson, dirigeant à Witebsk;
Alter, dirigeant à Kamenetz.
Apfelbaum, dit Zinovief, dirigeant à Pétrograd.
Bekerman, magistrat à Radom ;
Bernstam, magistrat à Pétrograd ;
Bernstein, commsaire au Charbon ;
Bloch, ministère de la Justice ;
Boff, dit Kamgoff, dirigeant à Pétrograd ;
Bothner, chef de la police de Moscou ;
Bramson (Abrahamson), dirigeant à Pétrograd ;
Braunstein, dit Trotsky, dictateur à l'armée ;
Brodsky, juge à Pétrograd ;
Cohen, juge à Lodz ;
Davidowitch, juge à Pétrograd ;
Dickstein, procureur à Pétrograd ;
Dalbrowsky, commissaire à Pétrograd pour les Affaires Juives ;
Eiger, commissaire pour les Affaires Polonaises ;
Fisher, juge municipal à Pétrograd ;
Friedman, maire d'Odessa ;
Friedman, commissaire de la Justice à Pétrograd ;
Geilman, comissaire de la Banque ;
Ginzburg, dirigeant à Kolomensky ;
Greenherg, chef de la police de Moscou ;
Greenberg, curateur du district de Pétrograd ;
Grodski, juge à Pétrograd ;
Grusenberg, enquêteur sur les affaires navales de l'ancien régime,
commissaire de la marine nouvelle.
Gunzburg, commissaire du Ravitaillement ;
Guitnik, comissaire du Commerce à Odessa ;
Gurevitch, adjoint au Commissariat de l'Intérieur ;
Gutterman, commissaire au Ravitaillement à Saratov ;
Halperin, secrétaire général du gouvernement ;
Halpern, adjoint au maire de Kolomensky ;
Hefez, adjoint au commissariat de la Justice ;
Hillsberg, juge à Lublin ;
Hurgin, vice-commissaire pour les Affaires Juives ;
Isaacson, commissaire à la Marine ;
Kachnin, commissaire du travail à Kherson ;
Kahan, juge à Pétrokov ;
Kalmanovitch, procureur à Minsk ;
Kaminetski, juge à Pétrograd ;
Kantorovitch, député à Pétrograd ;
Kempner juge à Lodz ;
Kerensky, député ;
Lazarowitch maire d'Odessa ;
Lichtenfeld, juge à Varsovie ;
Lublinsky, juge à Petrograd ;
Luria, commissaire à la banque ;
Maldelbert, maire de Zitomir ;
Mandzin, procureur ;
Meyerowitch, commisaire aux Armées ;
Minor, président du Conseil municipal de Moscou ;
Nathanson, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Per, juge à Varsovie ;
Prelman, juge à Saratov ;
Perlmutter, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Pfeffer, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Podghayetz, maire de Moghilev ;
Poznarsky, juge à la Cour de cassation ;
Rabinowitz, commissaire du Travail à Tavrida ;
Rafes, adjoint au commissaire des affaires locales en Ukraine ;
Ratner, administrateur de la cité de Nachichevanskz ;
Rosenfeld, dit Kameneff, député ;
Rundstein, juge à la Cour de cassation ;
Phineas Rutenberg, commandant en second de la milice de Pétrograd ;
Sacks, commmissaire-adjoint à l'Education ;
Schreiber, procureur à Irkoutsk ;
Schreider, maire de Pétrograd ;
Silvergarb, commissaire des Affaires juives en Ukraine ;
Stechen, sénateur ;
Steinberg, commissaire à la Justice ;
Sterling, juge à Varsovie ;
Trachtenberg, juge à Petrograd;
Unsehlicht, comissaire à Pétrograd ;
Vinaver, député ;
Weinstein, administrateur de Minsk ;
Warshavsky, commissaire au commerce à Pétrograd ;
Yonstein, maire d'Oriel ;
Wegmeister, membre du Conseil d'Etat de Pologne ;
Zitzerman, procureur à Irkoutsk ;