Les Juifs travaillent leur apparence pour être présents dans tous les groupes sociaux, politiques, économiques, culturels. Malgré cette apparente diversité, les Juifs cultivent avec un surprenant unanimisme la vision d'un monde nouveau dont il faudra réaliser l'union par la force en faisant disparaître les "différences" ethniques, raciales, religieuses, philosophiques, politique, etc. Les rabbins ont un terme précis pour cette réalisation, c'est la "Tikoun", la "réparation du monde". Celui ci en effet est censé avoir éclater du fait de l'impossibilité pour la matière de supporter la lumière "divine". Le rôle historique des Juifs serait donc de réparer ce monde éclater pour le faire tenir en une seule entité, après que les nations se soient effondrées, reconnaissant par la même la souveraineté Juive sur cette planète unifiée.
C'est ce qui explique l'aspiration Juive permanente à l'unification du monde dans un "gouvernement mondial", chez des Juifs très différents les uns des autres, en apparence.
Mais la psychanalyse même de ce projet démontre une incapacité à accepter "l'autre". On retrouve en réalité la croyance propre à tout jeune nourrisson lorsqu'il tête encore sa mère que le monde et lui ne font qu'un, puisqu'il ne distingue pas son être de celui de sa mère. Etant dans un état de satisfaction durant l'allaitement, il admet alors que cette absence d'autrui est la perfection de son stade de développement, jusqu'à l'intrusion du père qui lui fait réaliser la différence entre lui, nourrisson, et les autres. La volonté de faire fusionner le monde avec soi tout en conservant ses propres qualités est un cas explicite de régression mentale, propre à une pathologie de type psychopathique.
C'est ce qui explique l'obsession des Juifs pour leur mère, mais aussi le besoin de retourner à l'état infantile précité par la pratique de l'inceste. Ou plutôt c'est la pratique de l'inceste à grande échelle qui a marqué culturellement les textes du Judaïsme et le projet Juif.
La névrose incestueuse et psychopathique mute en projet d'asociabilité radicale dont la finalité est la destruction de toute forme de personnalité autre que Juive. C'est à dire la domination puis l'extermination.
Bernard Weber, Juif
Nicolas Mellah Sarközy Nagy Bocsaï, quart Juif et sioniste
Jacques Attali, Juif
Roland Castro, Juif
Henry Kissinger, Juif ("Obama va donner une nouvelle emphase à la réalisation d'un gouvernement mondial")
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