Le "mur de la Paix", très certainement inspiré du Mur d'apartheid érigé en Palestine occupée, présent sur les champs Elysées et réalisé à l'initiative des sionistes a été pour la cinquième fois tagué. Marek Halter, mythomane, noircisseur de papier et sioniste tapageur y est allé de son crachat:
« Le conflit israélo-palestinien n’a pas épargné Paris ni le Mur pour la Paix » déplore en effet l’écrivain, qui ajoute : « l’un des verres (du monument) portant les mots “Shalom” et “Salam” a fait l’objet d’un acharnement qui témoigne de la haine que nourrissent pour la paix quelques-uns de nos concitoyens (sic) ».
C'est dans le langage caractéristique des idéologues du Judaïsme que l'intéressé s'exprime: en effet selon ces docteurs ayant essaimé de par le monde, depuis St Pétersburg en 1917 jusqu'à Washington en 2001, les Juifs se proclament mandatés par Dieu lui même pour instaurer un régime mondial ou "la Paix" régnerait. Mais pas n'importe laquelle, la leur, c'est à dire, celle qui couronnerait leur victoire totale sur les peuples. Une paix qui signifie concrètement asservissement, assassinats et terreur politique.
C'est aussi avec un culot légendaire et une capacité à mentir effrontément que Marek accuse "certains" de "ses" concitoyens de nourrir une "haine pour la paix" alors que lui, sioniste militant, ne se considère français que de papiers mais israélien par le sang, soutient dans le même temps une agression militaire Juive à Gaza ayant tué plus de 200 enfants.
Lorsqu'un sioniste fait une déclaration accusatoire, il faut systématiquement en retirer que dans le même temps son propre camp en fait le centuple à un endroit de la terre. C'est une tactique pour échapper aux condamnations internationales.
Le Judaïsme est aujourd'hui non seulement un crime contre la paix mais encore le premier élément de déstabilisation mondiale.
Marek Halter est à ce titre un criminel contre la paix.
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