samedi 10 janvier 2009

Les exceptions Juives

Forcément comme nous sommes contre l'emprise du sionisme international, du suprémacisme Juif, on en déduit que nous avons une lecture raciale de question "Juive". Nous avons déjà dit que l'identité Juive en elle même est très problématique. En effet il n'y a pas de "race Juive", et encore moins de "sémites". Arielle Dombasle, blonde aux yeux bleus, est elle "sémite" à l'instar de Patrick Benguigui-Bruel ? La réponse est évidente: c'est non.

Un "Juif" comme Finkielkraut est il "sémite" alors que physiquement son type est est-européen et que Smaïn est mille fois plus "sémite" que lui, bien que le lobby sioniste n'hésite pas à dire des Arabes qu'ils seraient "antisémites" ? Cette lecture racialiste est on le voit risquée voire bancale.

L'identité Juive est surtout façonnée par la loi, héritée en Europe de l'est par des conversions de populations asiates et européennes, fortement métissées. C'est la pratique des tabous de cette loi qui a engendré une endogamie, un inceste généralisé, qui a véritablement créé un type génétique particulier comme le démontre les spécificités de l'ADN des populations ashkénazim. Cette pratique de la loi Juive associé à un repli communautaire incestueux a fondé la pensée "néo-hébraïque", qui est insistons là dessus, une reconstruction identitaire sans lien avec les hébreux de Palestine de l'antiquité.

Une fois admis cela, on comprend ensuite très bien que le problème Juif ne saurait être "racial" étant entendu qu'il n'y a pas de race Juive, tout au plus une "race mentale juive", une invention.

Pour preuve, nous avons nous aussi dans notre entourage un exemple type de "Juifs" tout à fait sympathiques. C'est le cas d'un certain "Eskhénazi" originaire de Pologne au début du siècle et qui est venu en Bretagne faire dans le commerce de vêtements, tradition communautaire oblige. Et bien ou en est cette famille juive aujourd'hui ? Le fils de ce Juif polonais a épousé une bretonne, comme sa fille a épousé un breton. Le fils tient la quincaillerie familiale. Il est pompier bénévole dans le village et ardent catholique, alors que les locaux de son âge ne vont plus guère à la messe. On le voit filer aux pardons, dont il s'honore d'être porte bannière, arborant le costume breton. Voilà le cas évident et positif d'une intégration normale issue d'une sortie de la prison communautaire Juive qui a tous les traits d'un syndrome de "citadelle assiégée", pour celui positif de participation définitive à une autre communauté, ici bretonne.

C'est bien la preuve que la question Juive est largement réduite à ce que le lobby sioniste veut en faire via la presse qu'il contrôle. C'est bien la preuve aussi que la difficulté qu'il y a à parler du rôle du lobby sioniste et de la terreur Juive tient largement au fait qu'on criminalise ceux qui en parlent. Ils dérangent.

Car notre fervent catholique en costume breton Eskhénazi, pompier bénévole et très gentil gars, n'est certes pas le même homme que notre infect Bernard Henri Lévy. 

Les salauds parlant de "tolérance", de "métissage" et de "paix" ne sont pas ceux que l'on croit, puis qu'à l'heure actuelle des Juifs sionistes comme BHL ne se marient qu'avec des Juifs sur critères communautaires, soutiennent une guerre d'agression contre des civils en Palestine et sont les plus inquisiteurs de tous les esprits, ajoutant à ces audaces la volonté de dominer les autres au nom d'un élitisme de droit divin mythifié.

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