mercredi 17 décembre 2008

Prendre la mesure des enjeux, oser résister

Tout se met en place de plus en plus vite, avec une force éclatante au fil des mois. Ce qui aurait sembler impensable il y a 10 ans, devient réalité aujourd'hui.  L'oligarchie mondialiste viole sciemment tous les principes fondateurs de la nature. Son projet abolit peuples, libertés et civilisations.

Ce projet fût assumé en 1793. Il devint ensuite honteux quand la fortune malmena ses tenants. Mais aujourd'hui en 2008, il triomphe car tel le soleil mourant, il gonfle démesurément. 

L'Union Européenne devient réellement totalitaire. Nous n'usons pas de ce terme jadis usité par les consciences humanistes contre nous autres européens fiers de notre héritage par goût de l'inversion accusatoire, mais parce qu'il est tout à fait adapté à notre temps. Ne minorons pas le nouveau référendum en Irlande. Il justifierait aujourd'hui une nouvelle révolution irlandaise, des attentats de l'IRA, bref une résistance nationaliste et sociale face à cette caricature démocratique ou le seul vote possible est celui de la réponse préalablement dictée. Le gouvernement irlandais, jadis issu des héros de la révolution, n'est plus que le télégraphiste honteux de cette dictature oligarchique mondialo-eurocratique.

Ou sont les brigades de Feinian ? Ou sont les bombes qui tuent les traîtres au peuple ? Les exemples faits à l'aube avec trois balles dans le coeur ?

Aujourd'hui le discours pacifiste est essentiellement celui des collaborateurs ou des tenants du système en place. La violence n'est pas une finalité en soi, mais depuis que l'histoire existe, la guerre a eu des vertus notamment de défense des droits. Parfois le pacifisme est le complice de l'oppression, comme c'est le cas aujourd'hui. Nous disons simplement: "préparez la guerre !".

Les droits de l'homme, imposture gnostique que nous haïssons, ont cependant une vertu, celle de dire que lorsque le gouvernement est illégitime la résistance s'impose. Et nous le disons: elle s'impose aujourd'hui.

Une oligarchie microscopique, avec un projet prométhéen entend imposer un ordre mondial dictatorial faisant place, entre autre, à Israël comme lumière des peuples. La dimension sectaire, illuminée, d'un tel projet, de plus en plus revendiqué, est incontournable. Avant les termes de "gouvernance mondiale" était réservé aux "complotistes". Mais aujourd'hui Attali et d'autres, tous sionistes, l'étalent partout. Le peuple prétendument élu s'agite comme aux heures sombres de la révolution rouge: il met le feu une nouvelle fois au continent et au monde pour bâtir sa tour de Babel impie. On peut déjà en conclure que les litres de sang seront à 9 zéros.

Qu'on nous entende: les peuples sont tous concernés, mais cela n'exclue pas de dire à un moment donné que nous voulons un respect de notre intégrité territoriale et biologique pour continuer à être ce que nous sommes. Nous refusons le métissage obligatoire qui n'est que la dernière étape du projet qui nous est destiné par l'oligarchie. 

Nous sommes peu à être conscients des enjeux. Les spartiates aussi étaient peu nombreux. Alexandre Le Grand ne disposait pas d'une armée plus fantastique que celle de ses pères. Mais c'est l'éveil spirituel et la conscience élevée de soi et du monde qui permet d'ériger un ordre des choses nouveau qui échappe au fait accompli.

Chers lecteurs, il faut donc oser résister. Il faut aussi oser en finir avec les statues des dieux morts que sont les idées dépassées auxquelles nous nous attachons trop souvent par superstition. Il faut renouveller avec nos fondements. Qu'on ne vienne pas nous parler de "nation française" et autres vieilleries du genre. On laisse cela aux républicains.

Le sioniste Sarközy ne fait qu'appliquer ce qui depuis longtemps déjà est entendu en haut lieu. La destruction de la race blanche est programmée, planifiée et appliquée. "Rassurons-nous" : elle est le prélude de celle des autres. Les mesures décidées récemment constituent une atteinte fondamentale aux droits des peuples blancs d'exister et de vivre librement sur leur terre. Ce résultat est du à une longue et lente désinformation. 

Alors que faire ? Se préparer à la guerre civile, mais aussi morale et spirituelle. Oser dire merde aussi aux imbéciles heureux qui ont toujours une excuse minable à opposer à leur consentement à l'imposture. Car l'histoire a prouvé que nos doctrinaires sionistes ou illuministes sont forts en abstractions mais que la pratique, le réel, est très réticent à leurs mirobolantes utopies. La fortune tournera à notre avantage, n'en doutez jamais.

Nous ne sommes pas plus violent que quiconque. Mais voyez vous, comme lorsque votre dignité est violée, vous sentez venir au fond de vous un cri, inexplicable, animal, qui clame simplement votre refus d'être anéanti. L'heure est à ce cri.

Craignez vous police, milice, gendarmerie, police politique, délateurs, désinformateurs, manipulateurs ? Mais savez vous qu'au sein de ces organisations des gens avec un coeur et un esprit similaire au vôtre, humble, vivent ? Avec les mêmes soucis et les mêmes espoirs, les mêmes déceptions, les mêmes résignations. Nous n'aimons certes pas la police qui garde l'oligarchie et lui permet de nous détruire. Mais la machine n'est pas l'individu qui y vit. Au sein de ces gardes du temple, il y a des compagnons de lutte qui se taisent mais comme nous, espèrent. Comprendre cette dimension psychologique c'est apprendre à domestiquer ces instruments répressifs qui prétendent nous terroriser et à respecter les individus qui y sont et qui comme nous dans la même mesure sont des victimes, les collaborateurs serviles et zélés exceptés.

Ne pas craindre la répression, car elle ne peut pas anéantir ce pourquoi nous luttons. La puissance de notre idée est si forte qu'elle peut vaincre les demi-convictions des plus excités fonctionnaires du système.

Observons nos dirigeants avancer leurs théories fumeuses: on ne sait s'ils y croient ou s'il s'agit de bouées de sauvetage auxquelles ils s'accrochent désespérément. Croyez vous que ces médiocres, ces petits, qui n'ont pas la plus petite idée de la valeur des choses et encore moinsla capacité de résister à une gifle, soient de terribles dragons indestructibles ? Si c'est le cas, nous vous assurons que vous vous tromper. Ces gens d'un point de vue humain peuvent être brisés en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire. Leur inconstance démontre leur manque de confiance en eux. Seul le léviathan médiatique, et lui seul, peut imposer sa dictature en "démocratie". 

Voyez vous, nous péchons par modération. Nos masses amorphes prétendent dans leur médiocrité nous donner des leçons de moralité. "Non violence", "non contestation". Les moutons prétendent avoir des considérations ! Soyons très affirmatifs: la masse importe peu car elle n'est rien de digne. Quiconque connaît une foule sait qu'elle est la chose la plus laide que l'on puisse voir, de plus dégradante. Aussi le comportement massifié ou ses présupposés issus des slogans du système n'a t'il sur nous aucun prise et ne doit pas en avoir. Nous lui opposons exactement la même violence spirituelle.

Chers amis, chers ennemis, vous en conclurez logiquement que nous considérons la lutte sous toutes formes comme désirable. Nous pensons que dans la crise actuelle qui touche nos peuples et nos convictions, notre dignité et nos libertés, exister rime avec exister. "C'est ici qu'il faut avoir de l'intelligence" proclame l'Apocalypse selon Saint Jean en parlant de l'identification de la bête avec le chiffre 666. "Ce chiffre est un chiffre d'homme". Oui tout se mesure dans le monde qui nous promet la mort à l'homme seul, à l'homme sans Dieu. L'homme se couronnant ! Cela ne peut être notre créneau. Avoir de l'intelligence donc pour retirer de notre propos qu'un acte de résistance authentique se mesure aussi à sa capacité à stopper l'action de nos ennemis. Chaque parcelle de notre liberté et de notre soumission à Dieu, coûte cher. Christ a dit qu'il n'apportait pas la paix mais la guerre, non qu'il la voulut mais que son enseignement génère par sa vérité l'hostilité du Malin qui en retour persécute les justes. Christ est grand et si grand qu'il englobe toutes confessions en son nom, car il parle à l'homme et le reconnaît dans la voie du juste plus que dans l'apparente appartenance à telle ou telle religion.

Un musulman juste est pour Christ un fils comme le catholique. Il y a seulement une divergence formelle. Le cas du samaritain nous éclaire à ce sujet. Christ n'a voulu aucun bûcher, aucun anathème, n'a pas donné pouvoir aux hommes d'exclure de la libération un tel plus qu'un autre. Il accorde juste plus de devoir à ceux qui prononcent son nom et prononcer le nom de Christ est très exigeant !

Qu'importe donc les croyances très formelles qui divisent en ces temps jamais vus d'impureté et de violation des fondements de la civilisation, ce qui compte c'est la vision commune des intentions de notre ennemi et de déjouer ses pièges.

Pour les européens il est clair que le temps du bulletin de vote est à l'efficacité ce que l'arc est au tank. Il peut avoir encore une utilité partielle, en aucun cas fondamentale. L'imposture atteint des sommets, nous croyons ne plus pouvoir que subir. C'est qu'en fait le temps du fusil revient, tout simplement. La meilleure façon de clore le bec des salopeurs de culture bavards comme BHL et compagnie, c'est encore une rafale d'AK 47. Cela coupe court aux tergiversations et aux faux semblants.

Cependant le terrorisme est aussi l'arme actuelle du système pour se victimiser et renforcer ses mesures autoritaires. Ne le nions pas. Mais il est vrai que n'ayant pas la moindre chance d'inverser les choses par les seuls discours de comptoir, la lutte pour la survie suppose d'admettre ce genre de résistance. Qu'on attende pas de nous que nous prenions les armes: ce serait stupide vu que nous sommes identifié. Nous sommes simplement une partie d'une mécanique générale qui passe de l'analyse à l'action. Si un lecteur quelconque abonde dans notre sens et organise à son échelle ce genre d'action de résistance, alors nous remplissons notre travail et lui le sien. Tout doit être décentralisé, sans structure pyramidale, autonome et dispersée. A l'heure du renseignement satellitaire, croire que l'on puisse jouer le jeu de l'ETA serait une grossière erreur. Des petits groupes mobiles de une à trois personnes, sans appartenance connues, sont désormais la cellule pertinente pour des actions contre le système. Quelques mots d'ordre simple, des cibles claires, des paliers d'action.

On arrête facilement un automobiliste qui travaille depuis 20 ans dans la même entreprise. On lui fera tous les outrages. Mais ce que nous appelons de nos voeux, l'avènement d'une nouvelle élite guerrière issue de la nécessité vouée à la lutte, ne peut être arrêtée. Imaginez simplement ceci: un porte avion américain pesant des milliers de tonnes, avec forces canons et munitions, hommes et officiers. Un seul homme dans un avion désarmé, habile et prêt au sacrifice suprême pour le pays et pour l'empereur. Méditez cette scène et figurez ensuite l'état d'esprit des marins du mastodonte qui de chasseur devient le gibier pour un court instant. Le microscopique engin, cette abeille d'acier, a pour une poignée de seconde une supériorité spirituelle totale sur son adversaire réduit à l'impuissance et à la peur. Que peuvent alors les insultes, les considérations politiques ou autres contre ce point grossissant dans le ciel qui inexorablement, en dépit des tirs, s'avance et percutera implacablement le navire ? A cet instant, la terreur liée à l'impuissance, fait de ce gros et gras prédateur une gelée tiède, fondant à vue d'oeil. Figurez vous enfin que le dernier des marins de ce navire est infiniment plus solide que le premier des papillons de nuit qui hantent les ministères ou les préfectures. 

Un préfet n'est pas courageux et derrière ses gardes mobiles et ses imprécations un seul coup de trique lui fait céder tout sans aucune retenue. Le cas des manifestations paysannes fait école en la matière : la culture politique en république jacobine est aisée à comprendre, elle consiste à lui botter le cul jusqu'à reddition. Voilà qui doit alimenter l'esprit du résistant européen: celui qui doute peut être détruit par le système sans grande difficulté. Celui qui croit, le fanatique, lui ne craint rien. Il se fait craindre et c'est toute la différence.

Un de nos militants les mieux formés et plus sûrs a plus d'influence sur des gendarmes venus l'arrêter que l'officier qui les commandent. Sa seule aura impressionnera ces individus qui derrière les chemises bleues demeurent des hommes qui doutent. Cela n'empêchera pas de l'embastiller. Mais psychologiquement, l'ascendant est pris.

La victoire dépendra très largement de notre mobilisation spirituelle. Elle consiste simplement à savoir que nous sommes dans le vrai et à mettre tout en oeuvre pour que justice triomphe. Nous devons être des éclairs d'acier, purs et tranchants, cruels également. La foi a elle seule détruit le mensonge qui sert de frêle appuis aux médiocres qui veulent nous perdre.


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