lundi 15 juin 2009

Nous ne plierons

Chers camarades de combat,

Depuis que nous avons créé notre blog, nous avons subi plusieurs censures. Cela est tout à fait normal, c’est un signe de bonne santé. Si nous n’en avions pas connu, cela n’aurait pu s’expliquer que par des erreurs de notre part en termes de propagande. Nous avons décidé de donner plus de clarté à notre engagement sur internet qui fait office désormais de presse dissidente à l’instar de la presse des années 20 et 30. Peu chère, elle permet de toucher beaucoup de lecteurs potentiels à condition que l’on ait du temps et les capacités de se protéger de la censure Juive, marxiste ou libérale sans parler naturellement de celle exercée par la république enjuivée.

Cette clarté sous entend donc de désigner l’ennemi très clairement: c’est le Juif naturellement. Nous avons également des adversaires associés au Juif: les partis, les journaux, des états, des associations. Chacun de ces éléments ayant ses raisons propres de s’allier avec le Judaïsme: tantôt par la dictature de l’argent, tantôt par philojudaïsme, tantôt par naïveté. Au reste cela nous indiffère.

Ce nouveau blog sera donc notre nouvelle arme de combat contre le Judaïsme politique. Nous taperons dur et juste comme nous le faisons depuis un certain temps. Le Juif en effet se félicitait encore il y a peu de ce que, finalement, l’antijudaïsme s’était évaporé en Europe et n’était plus le fait que de ligues musulmanes associées pour l’occasion à diverses associations d’extrême gauche. Nous savons pour notre part que l’antisionisme de gauche n’a pas les reins ni l’estomac assez solide pour être authentiquement résistant. Nous savons par trop que la gauche, hantée par sa propre propagande, est le pilier du “pyjama rayé” pour oser dire ce qu’il faut dire quand on veut sérieusement remettre en cause le système en place.

Cette critique au reste vaut également pour la “droite nationale” qui a fait une spécificité de ne rien dire de réellement subversif.

Mais chers amis notre ligne, à nous, n’est ni de droite ni de gauche. Nous ne sommes pas des réactionnaires sans vision ou des utopistes sans consistance. Nous sommes de la troisième voie, qu’on la dépeigne “traditionnaliste”, “nationale révolutionnaire”, “nationale et socialiste”, etc. Une voie en somme qui n’est pas empruntée et qui pose comme axe de toute politique l’unification du continent européen en un ensemble social et politique puissant capable d’assurer pour les peuples de race blanche la base de tout développement. Avant d’entamer ce travail de reconstruction, il y a celui inévitable de l’anéantissement de l’ordre en place.
L’ordre en place est bien sûr économique, politique mais aussi culturel. Il s’organise sur différents mythes, la “libération de 1945″, la fausse démocratie aux mains de bourgeoisies fossilisées, le triomphe de la finance internationale, les chauvinismes étriqués des états nations, l’immigration de masse. Mais une seule clef de voûte maintient cet ensemble improbable: le Juif et le sionisme.

Nous affirmons donc que rien de révolutionnaire ne pourra être entrepris sans que l’ordre actuel n’ait été détruit. Ce qui induit donc la destruction du sionisme en Europe et au Moyen Orient. C’est pourquoi nous faisons la distinction entre immigration comme processus dissolvant et l’Islam, ensemble d’un milliard et demi d’individus dont la foi a par ailleurs des adeptes parmi de valeureux européens, comme les Bosniaques, les Albanais et d’autres encore. La question actuelle n’est pas une question religieuse. Il ne s’agit pas d’une “croisade” car pour commencer, les européens eux mêmes ne sont plus organisés sur des bases catholiques. Les abrutis décrétant de tels appels à la croisade sont très souvent des athées assumés, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes.

Notre position géopolitique reste inchangé depuis le 8 mai 1945: alliance avec tous les révolutionnaires du monde en tant que révolutionnaires européens. Alliance donc avec les révolutionnaires ou qu’ils soient, pour peu qu’ils s’opposent au triomphe de la démocratie Juive.

Le but de ce blog est de donner à nos lecteurs des informations récoltées dans la presse, à la télévision ou sur internet sur la question Juive, sur le projet politique qu’est le Judaïsme, sur ses fondements. Notre but est aussi de les mettre en perspective dans le cadre de la lutte des peuples pour se libérer de la dictature occidentalo-sioniste qui ne repose pas sur le vieux colonialisme blanc du 19ème siècle, mais sur les trusts internationaux Juifs, Saoudiens, Américains, Français ou Anglais.

mardi 9 juin 2009

Lévy Soussan et l'inceste

En cette fin de soirée, le "Soir 3" nous proposait un reportage à même d'éveiller nos consciences un peu trop conservatrices. En effet le gouvernement a lancé un vaste débat sur les questions d'éthique sur le thème de la famille et de la façon dont on la conçoit.

Des "jurys populaires", qui au reste ne représentent que ceux qui s'y sont rendus, planchent donc sur la question de qui sont les "vrés" parents d'un enfant. Le chef de ce "jury populaire" était un certain "Lévy Soussan". Après plusieurs séances notre éminent "spézialiste vranzé" était parvenu à faire admettre que des mères porteuses pour des homosexuels était somme toute quelque chose de tout à fait acceptable.

Lévy Soussan n'a cependant pas évoqué les relations sexuelles entre enfants et parents, ce qui est fort dommage, car il aurait pu en tant que Juif partager ainsi sa propre expérience en la matière que ce soit avec son papa, sa maman et mêmes ses frères et soeurs. Il aurait ainsi fait comprendre à ses auditeurs les sources de cette obsession à mélanger les genres...

Rediffusion: le communautarisme Juif


Aveu d'un commentateur Juif marqué par l'inceste

"c'est pas de votre faute si votre pere a sauter sa soeur ou sa mere..."

Nous aurions aimé payer un petit youtre pour qu'il nous écrive un truc du genre ! 

Amis lecteurs, le brillant historien du Judaïsme Hervé Ryssen a démontré dans ses ouvrages que le Judaïsme pratique en secret l'inceste et qu'il est courant que ses rejetons transfèrent sur les goyim les propres névroses et déviances sexuelles qu'ils n'osent assumé. C'est ainsi que de nombreux films Juifs mettent en scène des goyim pratiquant l'homosexualité, l'inceste, l'apologie de la transexualité, etc. 

Notre petit commentateur nous démontre en temps réel à quel point cela est vrai !

Juif, inutile de nous accuser de tes propres tares: nous savons tous que c'est toi, dans le secret de ta chambre, a fait des choses tout à fait dégoûtantes avec ta maman, avec tes soeurs et même avec papa et le rabbin ! C'est désormais connu de tous: le Judaïsme repose sur l'inceste, n'essaie pas d'esquiver !

Merci encore Juif pour ton concours à ce travail de vérité qui illumine de plus en plus d'observateurs goyim !

L'européen contre le Juif, le monde contre le Juif







Chers lecteurs de toute race, de toute religion, de toute nationalité. Il y a 76 ans commençait au coeur de l'Allemagne la lutte mondiale contre l'ennemi de l'humanité, le Juif. C'est dans l'Allemagne trahie et vaincue, ou le Juif était alors fiévreusement engagé dans la révolution bolchevique qu'il pensait capable de détruire la civilisation européenne puis mondiale, que se leva le ferment révolutionnaire anti-Juif le plus pur, le plus étincelant, comme une étoile un soir d'hiver.

Sur le cadavre de l'Allemagne impériale détruite, naquit une fleur nouvelle: la fleur du national-socialisme. Jamais dans la conscience humaine jusqu'à lors une conception du monde aussi complète à l'échelle d'une race n'était advenue, une vision qui laissait entrevoir le retour puissant de l'homme Aryen relevé dans sa tradition, se débarrassant non seulement des philosophies utopiques issues de l'ancien testament, mais encore de son bacille qui depuis deux millénaires s'agite dans le corps du continent: le Juif perfide, corps de la corruption des âmes.

Si par la coalition des démocraties enjuivées et de la Russie bolchevique, l'Allemagne pût être vaincue, l'idée qu'elle lança dans le monde fût le signe que l'aurore était sur le point d'arriver.Depuis cette aurore, pas un jour ne passe sans que le Juif ne doive lutter désespérément pour maintenir en occident son sinistre monopole. En s'emparant d'une partie de la Palestine, le serpent crût approcher du but. Erreur fatale.

Demain la lutte mondiale contre le Judaïsme éclatera avec fureur et se fera dans les mêmes termes ou presque qu'il y a 76 ans. L'Islam, le monde chinois et d'autres alors qu'ils ambitionneront de s'émanciper du golem Judéo-protestant que sont les USA n'auront d'autre choix que de défier totalement, aussi bien militairement que spirituellement l'ennemi mortel de l'Humanité. Dans cette vaste croisade contre le Judaïsme, la victoire attend les amis de Dieu et de leur peuple.

La lutte contre le Judaïsme entamée en Allemagne en 1933 n'a pas été terminée en 1945. La lutte contre le Judaïsme durera tant qu'un seul Juif osera vivre en Juif, donc en ennemi des nations et des peuples. 

L'heure est venue de poser calmement les termes de la lutte: pour ou contre le Juif.

C'est en opposant la fierté raciale à la volonté Juive de dissoudre les nations, c'est en opposant au matérialisme Juif la foi en Dieu, qu'une révolution réelle, un changement fondamental, pourra advenir. C'est en désignant notre ennemi mortel nommément que nous triompherons. Nous devons être une phalange grecque, un diamant indestructible, une force entièrement déterminée à combattre le Juif et consacrer toute notre énergie à le perdre. 

L'esprit SS pour nous européen est toujours vivant. Il peut à l'avenir s'incarner dans d'autres formes. Il reste vivant car il incarne le meilleur de nos intuitions, le meilleur de notre sensibilité, le meilleur de nos idéaux, la plus grande promesse pour l'Europe. L'heure de la timidité est révolue. Il faut défier le Juif droit dans les yeux.

La lutte contre le Judaïsme est avant tout spirituelle, philosophique. Elle est éthique et morale. Le Judaïsme n'existe que par la destruction de ce qui lui est étranger et la soumission d'une multitude d'esclaves. Tout homme et tout peuple a le devoir de se libérer de la prison mentale imposée par le Judaïsme et ses dérivés politiques que sont marxisme, égalitarisme, matérialisme, capitalisme et "démocratie libérale", féminisme et psychologisme destructeur.

Nous avons toujours dit que ceux qui espéraient en une victoire électorale étaient au mieux de dangereux incompétents au pire des traîtres. Ce qui prime c'est la formation d'une légion qui pose les bases incontournables de tout combat réellement révolutionnaire. Nous ne voulons pas d'une réforme bourgeoise. Nous voulons une révolution qui sous entend la destruction de nos ennemis. 

Nous voulons être radicaux. Nous voulons être extrémistes. Nous voulons vaincre. 

Juif n'oublie pas ces deux lettres: S S.

Juif désormais, l'esprit SS s'est répandu sur le monde, il anime tout tes ennemis et ne te lâchera plus. Parce que l'homme a quelque chose en lui qui t'échappe, youtre, l'aspiration à la grandeur, la dignité, la fidélité aux Ancêtres, la tradition, la beauté et l'harmonie. C'est cela l'esprit SS, c'est cela l'Internationale de la Tradition.

Nouvelle censure

Chers amis, Blogger suite aux pressions de la mafia youtre a décidé de supprimer notre blog dans 3 jours. Il semblerait que les Juifs vivent toujours dans le désert et qu'ils ignorent que l'on peut créer un blog en moins de temps qu'il ne faut pour le dire dans quantité de pays...

Quoiqu'il en soit nous travaillons à la sauvegarde de nos textes publiés ici ainsi qu'à l'ouverture de notre nouveau blog anti-youpins.

Eh Moshé, on sait que les traumatismes dus à tes relations sexuelles avec maman t'ont rendu très nerveux, mais même en grognant très fort, même en hurlant et en déchirant tes vêtements, tu ne pourras nous faire taire ! 

Puisque vous n'êtes pas encore à la page les Yids, on vous le répète: c'est bientôt la fin du Judaïsme et on ne baissera pas les yeux devant des sodomites de votre genre !

Dans la nuit et le brouillard, la résistance commence à scintiller...

lundi 8 juin 2009

Agressions contre Dieudonné: le Juif Terzics aidé du président de l'UEJF, Raphaël Haddad


"Anarchistes" ou "Trotskystes", "Libéraux" ou "sociaux-Démocrates", les Juifs "plus français que les français" savent le moment venu oublier ces artifices pour goyim afin de défendre les intérêts prioritaires du lobby sioniste. En voici une nouvelle preuve:

Nous mentionnions la présence du Juif Julien Terzics, responsable du Service d'Ordre de la CNT, dans l'agression dont ont été victimes les membres de la liste de Dieudonné.

Parmi les 5 personnes identifiées en outre dans le groupe se trouve le Juif Raphaël Haddad, Président de l'Union des Étudiants Juifs de France, qui avait agressé le Mahmoud Ahmadinejad à Genève déguisé en clown.

Les agresseurs étaient déguisés en pro-palestiniens et ont été aidés par le NPA des Juifs trotskystes Krivine-Bensaïd et ainsi que la CNT du Juif Terzics.

Nous savons désormais que la CNT, le NPA et autres organisations "pro-palestiniennes" sont étroitement pilotés par les officines sionistes françaises comme le démontre la présence de Haddad dans ce rassemblement 100% kasher.

Israël Sarközy et les Juifs: la conférence exceptionnelle de Paul Éric Blanrue

Paul Éric Blanrue a mené une enquête exclusive sur le rapport entre Nicolas Mellah Nagy Bocsaï Sarközy est le lobby sioniste. Bien qu'auteur de livres à succès, ce dernier ouvrage lui a valu le refus des éditeurs et des diffuseurs français de publier son ouvrage en France. Il a du le faire en Belgique. Depuis une omerta a accueilli son ouvrage et une dizaine de pages google faisant référence à ses travaux ont disparu sur pression du lobby Juif.










Télévision Juive

Comme vous l'avez sans doute remarqué depuis quelques années, nous sommes sous occupation allemande. C'est d'ailleurs si vrai que pour permettre à tous les "vranzés" de rester vigilants face à la bête "fasciste", nous avons le droit à quantité de petits documentaires et téléfilms Juifs pour exciter la haine du nazi qui sommeille dans chaque Shabbat Goy qui se respecte.

Cette semaine, la Juiverie nous a particulièrement gâté.


"Désobéir", c'est à dire "obéir au Juif"


"Après la défaite des républicains lors de la guerre d'Espagne, en 1939, Pilar et Luis Esteva sont contraints de s'exiler en France, avec leurs deux enfants, Isabel et Ignacio. Arrivée à Paris, la famille doit s'adapter. Tandis que Luis refuse d'accepter la défaite et rêve de reconquête, Pilar cherche avant tout à survivre et à élever ses enfants. Elle sait que ce pays nouveau sera le sien pour longtemps. Soixante ans plus tard, Isabel Esteva, devenue une créatrice de mode mondialement célèbre, présente à Paris sa nouvelle collection. De retour dans la capitale française, elle se souvient de l'époque troublée au cours de laquelle sa famille a dû vivre en exil..."

Mardi 9 juin 2009, "France" 2, 20h35

"Un câble vient d'être coupé dans l'école de la petite commune de Villeneuve. Les troupes allemandes recherchent activement le coupable de ce sabotage."

Un village français, épisode 3/6 "France" 3

"Jacques, un ancien bagnard devenu passeur, vient en aide à un pilote anglais égaré. Ensemble, ils tentent de passer la ligne de démarcation."

Un village français, épisode 4/6  "France" 3, Jeudi 11 Juin 2009

"Lorsque les troupes allemandes envahissent le territoire français en juin 1940, la Gestapo met en place les principes répressifs et racistes édictés par Adolf Hitler. Un homme décide de s'opposer : Aristides de Sousa Mendes. Ce courageux Portugais refuse de rester les bras ballants alors que d'innombrables exactions sont commises. Ce Portugais tente de venir en aide à tous ceux que les nazis persécutent. Déterminé à offrir une terre d'accueil à tous les réfugiés, il tente de les faire passer jusqu'au Portugal. Malgré les réticences des autorités portugaises, il parvient à mettre en place un réseau efficace. Lui-même joue de son poste haut placé pour distribuer autant de visas que possible..."

"Désobéir", "France" 2, Vendredi 12 Juin 2009, 20h35

Les pédophiles Juifs: Daniel Coh(e)n Bendit


"Vous savez que la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. (…) Quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque…"

Daniel Cohn Bendit, au cours de l'émission Apostrophes

La Hongrie entame sa libération

La Garde Magyar à Budapest

« Je serais heureuse que ceux qui se déclarent “des juifs hongrois fiers” s’amusent avec leurs petits zizis circoncis au lieu de me diffamer. Les personnes comme vous sont habituées à voir des gens comme nous se mettre au garde- à- vous à chaque fois que vous pétez. Seriez-vous prêt, s’il vous plait, à comprendre que cela est terminé. Nous avons levé la tête et nous n’avons plus besoin de tolérer votre terrorisme. Nous reprendrons notre pays dans nos mains. »

Déclaration de la tête de liste du Parti Nationaliste Hongrois "Jobbik" qui avec 15% obtient 3 sièges au parlement Européen. 

Le leader du parti, Gabor Vona, a déclaré qu'un "front national est né" suite à cet éclatant succès.


Mafia Juive

Serge Bloch Dassault a été déclaré inéligible par le Conseil d'État pour une durée d'un an après avoir été reconnu coupable de corruption lors de la campagne pour les municipales de Corbeilles Essonne.

Dans une attitude typiquement Juive, le coupable a pratiqué une inversion accusatoire caractéristique:

"Il n'y a aucune preuve contre moi. C'est uniquement pour me virer de Corbeil-Essonnes"

Serge, n'hésite pas à dire, c'est de "l'antisémitisme" !

Liste antisioniste: résultats encourageants

La liste "anti-sioniste" de Dieudonné obtient 1,30% en Ile-de-France


PARIS (AFP) — La liste "anti-sioniste" controversée de l'humoriste Dieudonné a réalisé dimanche un score de 1,30% en Ile-de-France, seule circonscription où elle se présentait pour les élections européennes.

En Seine Saint-Denis, la liste a réalisé son meilleur score avec 2,83%. Suivent le Val d'Oise avec 1,60%, le Val de Marne (1,47%) les Hauts-de-Seine (1,37%), l'Essonne (1,03%), la Seine-et-Marne (0,97%), les Yvelines (0,88%). Dans Paris intramuros, son score atteint 1,02 %.

Pour une première campagne sans grands moyens et démarrée assez tardivement les résultats sont assez corrects et encourageants en Seine Saint Denis.

dimanche 7 juin 2009

Aryanité

Miss Inde 2008



Miss France 2009






Le monopole Juif dans les partis politiques

Le ménage, oui nous pouvons !


Soirée électorale sur France 2:

Pour le Front de Gauche: Jean Luc Mélenchon

Pour le Parti Socialiste: Pierre Moscovici

Pour Europe Écologie: Daniel Coh(e)n Bendit

Pour le Modem: Corinne Le Page (Lévy)

Soirée électorale sur TF1

Pour l'UMP: Jean François Borloo, Jean François Coppé

Pour le Parti Communiste: Marie Georges Buffet (Kosselek)

samedi 6 juin 2009

Comment les Juifs ont créé la seconde guerre mondiale

Un Juif se paye notre tête

Parfois les Juifs révèlent un peu leur vraie pensée. Attendez jusqu'à la fin de l'extrait pour voir à quel point le Juif Albert Memmi se joue des Goyim.

Le fanatisme Juif: "I'm a little bit fascist"

Pendant l'opération d'élimination d'enfants palestiniens à Gaza, était organisé un voyage touristique pour les Juifs afin qu'ils puissent voir les opérations. La "touriste" Keren Levy après avoir manifester le désir de voir la ville "rasée" avoue être "un petit peu fasciste". 

C'est ça la "Paix" chez les Juifs.


Une publicité "Lévi Strauss"

Paradoxe Juif: Élisabeth Badinter pour le métissage mais contre l'Islam

La Juive Élisabeth Badinter nous le dit: "une société multiraciale, tout de suite !". Mais Élisabeth semble avoir des difficultés avec certaines "catégories" d'immigrés encore un peu trop attachés à leur religion:

Des hooligans d'extrême droite dont on ne parle pas...

L'hystérie Juive: après Badinter le Rabbin Blumencrochu

"Home": une farce planétarienne

Vous avez eu beaucoup de mal à échapper au matraquage propagandique pour le film "Home" de Yann Arthus Bertrand, le mondialiste écolo avec sa tête de satyre et son air béat et vicelard, prophète de la nouvelle religion des jet setters des mégalopoles occidentales.

Le projet est bien ficelé: le film est diffusé gratuitement sur internet, des places prestigieuses sont réservées pour sa diffusion en simultanée dans de nombreux pays du monde: New York, Paris, Moscou. Le thème ? La planète est en danger de mort, il faut agir pour la sauver de la destruction. La faute à la surexploitation de "l'homme". "L'homme" c'est pratique, parce que c'est tout le monde et personne.

Naturellement on nous prépare déjà aux "migrations climatiques", à la "mondialisation de la question écologique" qui est le parallèle de la "mondialisation de la crise financière". Yann insiste: "les hommes", "l'humanité", doivent prendre conscience de former "une grande famille".

"Home" a donc tout du rassemblement sectaire sur un ton ou se mêlent tous les poncifs et les influences du mondialisme Juif, du tiers mondisme rouge, de la fraternité maçonnique avec un soupçon d'antiracisme subtil. Bref le film participe de l'édification d'une nouvelle religion mondiale ou le culte de "l'homme" serait la base, discours millénariste que l'on retrouve dans les droits de l'homme et le discours des doctrinaires Juifs. Les problèmes présentés servant de moteur à ce processus d'unification de la terre... Un processus d'autant plus impératif qu'il est inéluctable, comme la fin des classes sociales du Juif Marx... Poussez un peu et le métissage arrive pour y ajouter la fin des races, peuples, religions et ethnies.

Cependant vous pensez bien qu'on ne passe pas trois ans à faire un film, puis à le diffuser dans les endroits les plus embourgeoisés de la terre, le laisser libre, de droit sans avoir pu non seulement financer le projet mais encore payer cette opération de grande ampleur. Tout cela coûte du pognon et sur terre la gratuité, même apparente comme ici, n'existe pas. Elle indique même plus sûrement une attente de retour sur investissement.

Derrière cette générosité, se cache le groupe Pinault Printemps La Redoute qui a financé l'intégralité du film et de sa diffusion. Lorsque les grands groupes capitalistes à l'origine des catastrophes écologiques et des conflits géopolitiques actuels commencent à parler de l'urgence de lutter pour l'environnement et à culpabiliser le petit peuple, c'est qu'il y a évidemment anguille sous roche et que les motivations écologiques sont là dedans très secondaires. Comment un groupe qui fait dans le luxe (Gucci), et le mobilier (Conforama) donc la déforestation pourrait il être légitime pour "sensibiliser" ceux qui n'ont pas de levier stratégique sur ces questions ?

Le Jet setter Pinault patron officieux du groupe, dont l'intérêt existentiel repose sur de hautes préoccupations au sujet du caca artistique contemporain cher à l'hyperclasse d'Attali, est rappelons-le un ami de Bernard Henri Lévy qui pourtant a brillé jadis dans la déforestation de l'Afrique à l'instar de PPR.

La bourgeoisie mondialiste enjuivée se paie donc une nouvelle fois nos têtes, car elle ne changera certainement pas de train de vie même si elle nous culpabilise pour le faire et surtout nous vendre ses solutions. Il est d'ailleurs d'un culot typiquement israélite d'entendre des Juifs qui ont une sainte horreur de la nature venir nous expliquer comment la préserver après s'être répandu en prophéties poussant à sa domination par l'homme...

Planétarisme, fraternité mondiale, migrations climatiques, urgence de "coopérer au niveau planétaire" sur fond de fête pour bourgeois de gauche camés et Juifs névrosés enrichis, ce navet produit par le très cosmopolite Luc Besson constitue donc le summum du conformisme idéologique mondialiste.

6 Juin 1944: le combat ne fait que commencer !

Nous, publiciste européen

En écoutant Benbassa vous n'avez pas manqué de vous dire que si une abrutie pareille peut écrire des livres, un européen moyen sans forcer peut faire concurrence à ces très médiocres noircisseurs de papiers israélites. Ce n'est que par une solidarité Juive sans faille que les rejetons communautaires sans talent peuvent faire des petits salsifis au cinéma, au théâtre, dans la littérature, la peinture et la sculpture. 

Alors si Benbassa est "historienne", si "Wievorka" l'est aussi, si Jean Yves "Camus" est un "spécialiste de l'extrême droite", et bien nous sommes publiciste et écrivain sans même avoir à écrire de livres. Les petits agitateurs Juifs sont bien incapables de rivaliser avec la pensée européenne. Du Judaïsme comme du désert, il ne sort rien. D'ailleurs en regardant Ben Bassa on ne peut s'empêcher de l'imaginer vendre des tapis dans un marché.

D'ailleurs le Juif conscient de son infériorité spirituelle et intellectuelle ne peut que s'enfermer dans une jalousie agressive vis à vis des Européens.

C'est comme ça Juif, sans talent tu es né, sans talent tu demeureras tant que dans le Judaïsme tu pourriras...

"Mondialiser l'histoire" pour une France "plurielle"

Les militantes racistes Juives Esther Benbassa et Catherine Coquery-Vidrovitch nous expliquent l'intérêt d'une France "plurielle" pour lutter contre le "communautarisme", le tout au nom de la Nation et du mondialisme.

Le paradoxe est un trait important de la mentalité Juive. Le Juif en effet joue en permanence sur deux tableaux et se trouve très souvent pris dans ses propres contradictions de "Français plus français que les Français" et de "Juif pratiquant, athée et laïque".

Mais écoutons nos "historiennes" nous proposer ce cosmopolitisme d'exportation à destination des Goyim:



La 12ème division des Waffen SS "Hitlerjugend" en Normandie !

Puisque l'occident enjuivé fête la "libération" de l'Europe sous les auspices d'un président métis et d'un autre quart Juif, aidés en cela par leurs conseillers diplomatiques Kouchner et Lévitte, le tout sous les commentaires avisés des Juifs Darmon, Drucker et Wievorka, nous permettons de saluer nos propres combattants en la personne des soldats de la 12ème division des Waffen SS "Hitlerjugend".

Salut à vous camarades, vos ennemis d'hier, USA, démocraties enjuivées et Judaïsme, s'effondrent sous vos yeux !




Le Pen et le Front National: trente-cinq ans de luttes pour en arriver là!

Article de Réfléchir et Agir utile à la réflexion

Le Pen et le Front National: trente-cinq ans de luttes pour en arriver là!


Trente-cinq ans de luttes d'un « patriote » pour en arriver à assurer l'élection du candidat des lobbies financiers et « du » lobby communautaire; l'élection du partisan, avec son gourou Jacques Attali, d'une gouvernance mondiale. Trente-cinq ans de luttes contre « le système », « la bande des quatre », « l'établissement », pour déclarer in fine en janvier 2007, à trois mois de sa dernière présidentielle: « Je suis au centre-droit ». Rappelant, dans Paris-Match, qu'il appartenait en 1958 au Centre national des indépendants et paysans (CNIP) d'Antoine Pinay: « J'étais du centre droit. Je défendais les mêmes idées que maintenant (...) Ce n'est pas moi qui me suis déporté vers l'extrême droite, c'est le corps politique français qui s'est déplacé vers la gauche ». Et cerise sur le gâteau: « Je suis assez gaulliste, le dernier peut-être ». Et il annonce déjà qu'entre Jacques Chirac (dont avec une grande clairvoyance il n'excluait pas la candidature encore en janvier 2007) et Nicolas Sarkozy, il choisirait le second en cas de deuxième tour où il ne figurerait pas. Il faisait donc campagne, en père tranquille, en homme du centre droit presque respectable, sur le conseil de sa fille Marine et dans le fol espoir de réitérer paisiblement son score de 2002, juste pour la gloire. L'aboutissement d'une « banalisation conservatrice » de bon aloi en quelque sorte, oublieux d'avoir dit un jour fort justement: « Un FN gentil, ça n'intéresse personne ». Nous y reviendrons.


Un peu d'histoire permettra de mieux comprendre « l'équipée sauvage » de Le Pen et du Front National dans la vie politique française.

Il est vrai que dans les années 1958-60, Le Pen pouvait prétendre poursuivre une carrière politique dans la droite traditionnelle et libérale (type giscardienne plus tard ou CNI). N'en n’avoir rien fait aura sans doute été le regret intime de sa fin de vie.

Le 23 octobre 1972, Le Point écrivait: « Composée par un quarteron d'aristocrates déchus, mais surtout par une cohorte de petits bourgeois déçus, de commerçants et d'artisans malheureux et amers, de soldats perdus de l'OAS, parfois aussi par des camelots du Roy rêvant d'éternels retours, par des catholiques intégristes et des ex-poujadistes, l'extrême-droite ressasse ses nostalgies sans leur trouver un havre politique ».

Deux jours après, le 25 octobre 1972 est créé le Front National pour l'Unité Française (FNUF) qui se veut clairement de « droite » (à une époque où plus un politique n'assume cette étiquette) et électoraliste, ce qui est une rupture avec la tradition extra-parlementaire de la droite nationaliste. Sous la présidence de Le Pen, la direction du Front est constituée d'un ancien royaliste, d'un ancien Franciste et ancien de la Charlemagne, d'une culotte de peau en éternelle croisade anti-communiste, d'un excellent journaliste ancien collaborateur, d'un chef de bande d'Assas... Première équipe rejointe l'été suivant par un directeur des ventes en grandes surfaces et par un ancien secrétaire général du PPF de Jacques Doriot. La majorité d’entre eux ont travaillé précédemment dans l'appareil de Pierre Poujade puis dans celui de Tixier Vignancour. Cette première équipe marquera durablement l'histoire du FN. Caractérisée par la richesse des personnalités, et donc l'individualisme, chacune avec ses réseaux de solidarité et d'amitié personnelle il était fatal que chacun se représente lui-même, aux adhérents de se reconnaître en eux. À l'exception des catholiques intégristes peu représentés à l'origine, ce premier « bureau politique » est assez largement représentatif de l'extrême-droite d'alors.


D’entrée de jeu, le FN entend relever l'étiquette et s'affirmer « de droite » car pour lui, dans le système politique de l'époque, la Droite n'est pas reconnue. Gabriel Domenech, rédacteur en chef du quotidien Le Méridional, et futur député du FN en 1986, écrivait en 1972: « C'est un fait bien connu depuis de longues années qu'il n'y a pas de députés de Droite en France. Jamais jusqu'ici un candidat de Droite n'a revendiqué cette étiquette, à croire qu'elle est infamante. On me dit que le FN qui va se créer va le faire, mais j'attends pour voir ». S'affirmer de droite est alors pour Le Pen « la façon la plus radicale de montrer son opposition »; mais une droite différente: populaire, sociale, nationale.

Déjà, le « programme » du nouveau parti apparaît « léger ». La question de l'immigration n'apparaît pour ainsi dire pas dans la brochure programme de 34 pages du Front National: tout au plus y occupe-t-elle 3 ou 4 lignes à la page 13. Dans les premières professions de foi électorales, en mars 1973, on peut lire: « contre l'invasion de la France par des indésirables »....

C'est Le Pen, dans son discours du 28 février 1973 à l'ORTF, qui en fait l’un de ses thèmes de prédilection, l'un des trois « essentiels » du programme, après la famille et l'école. « Si nous n'y mettons bonne garde, il se créera en France très rapidement un grave problème racial, plus grave que celui des Etats-Unis. Vous le savez, vous tous qui habitez dans les villes et les banlieues: personne n'ose en parler. Attendons-nous qu'il soit trop tard ? » Il faudra attendre le début des années 80, et l'arrivée au Front de Jean-Pierre Stirbois pour que le thème connaisse le succès que l'on sait.

Issu de l'OAS-Métro, des comités TV et du Mouvement solidariste (MJR, MSF, GAJ), Stirbois rentre au FN fin 1977 et au bureau politique en novembre 1978, chargé de la propagande et de l'implantation. Il devient secrétaire général en 1980, et le restera jusqu'à sa mort le 4 novembre 1988. Outre l'anticommunisme, Stirbois est l'homme d'un seul discours, celui de la lutte contre l'immigration qu'il aura l'occasion de développer violemment à l'Assemblée nationale le 9 juillet 1986...

Son obsession à marteler, à décliner ce thème sous toutes les formes possibles, son travail inlassable d'organisation et de propagande finiront par payer et par faire décoller électoralement le Front National.


« L'effet Dreux », en 1983, a en effet précédé « l'effet Le Pen ». Dreux est le premier succès à impact national enregistré par le FN. Ayant obtenu 16,72% des suffrages, Jean-Pierre Stirbois sut imposer au second tour à la liste RPR-UDF une alliance réduisant à néant les déclarations multipliées par les dirigeants nationaux de ces deux partis. Ce fut là le détonateur du décollage de Le Pen que celui-ci confirmera lors de son premier passage à l'Heure de Vérité, en 1984, où il devient en un soir aux yeux de beaucoup de Français un « phénomène de foire cathodique ».

Organisé après le « coup de tonnerre de Dreux », mais avant que la percée électorale du FN ne soit vraiment confirmée, le rassemblement de Saint-Vrain en septembre 1983 se déroule encore à l'ombre de la Francisque (l'allée centrale est baptisée « Av.Maréchal Pétain »!). Cette maladresse est rectifiée en septembre 1984, à l'espace Balard à Paris, première « fête des Bleu-Blanc-Rouge » où l'on s'efforce alors d'éviter les rappels historiques trop précis. C'est bien en 1984 qu'intervient une mutation du langage lepéniste du discours traditionnel de l'extrême droite pétainiste à celui de la « droite nationale » à prétentions républicaines et modernistes.

Avec les premiers succès électoraux (Européennes 1984: 10,95%, Cantonales 1985: 10,44%) apparaissent les premières frictions quant à la stratégie à suivre.Des recalés plus « présentables » de la « fausse droite » se bousculent au portillon des investitures dans l'espoir d'une élection. Ceux-là sont prêts à toutes les compromissions pour s'assurer d'un siège.

En 1983 apparaît comme directeur de cabinet de Le Pen, Jean-Marie Le Chevallier, cadre local du patronat et des Républicains Indépendants ; les deux vont bien ensemble. Cet homme des contacts discrets avec Michel Poniatowski et Raymond Barre a pour but de faire du FN le creuset de toutes les tendances de la droite au prix de tous les compromis. Il devient bien sûr un ennemi intime du secrétaire général. Il échouera heureusement et finira noyé dans le whisky et les petites combines lucratives à la mairie de Toulon. Le Pen, et c'est une triste habitude, s'est très régulièrement trompé sur la qualité et l'honnêteté des « hommes de confiance » dont il s'entourait.


De 1981 à sa mort, Mitterrand prend plaisir à favoriser l'essor du FN, hommage secret rendu à sa Francisque sans doute. Petites phrases pro-immigrés à la veille, ou presque, de chaque élection, mais surtout en instaurant la proportionnelle en 1986 pour atténuer l’échec prévisible de la gauche et limiter la progression gaullo-centriste. Il permet ainsi l'entrée de 35 députés du FN à l'Assemblée nationale (dont 5 seulement sont toujours plus ou moins au Front !) grâce à un score peu mirobolant de 9,7%. On voit alors apparaître, au grand dam des militants dévoués jour et nuit au mouvement aux côtés de Stirbois, de drôles de specimens humains...

Déjà en 1984, Gustave Pordea, une créature du dictateur roumain Ceaucescu, avait payé 500 000 dollars en espèces sa place de député européen. Une pratique courante au FN où se payaient beaucoup des investitures. En 1986, c'est Pierre Ceyrac, grand pourvoyeur de l'or et de l'entregent de la secte Moon qui fait son apparition comme député du FN. En fait, au grand meeting à La Mutualité de 1984 il était déjà présent, avec Henri Blanchard, représentant de la secte en France, aux côtés du colonel Bo Hi Park et Thomas Ward venus spécialement de New-York.

Arrive aussi, toutes dents dehors, Jean-Claude Martinez, qui rêvait d'une écharpe de député depuis trop longtemps... Membre de la section socialiste de Sète dans l'Hérault, il n'avait pas reçu l'investiture pour les législatives de 1981. Il offrit ensuite sa candidature à l'UDF, puis au RPR qui la refusèrent. Il se rabattit sur le FN in extremis en 1986. Le Pen en fit un député au détriment de son vieil ami Alain Jamet. Martinez, homme brillant, d'une grande faconde et d'un arrivisme forcené vient de quitter le Front, n'ayant pas vu renouveler sa sinécure au Parlement européen. Il faut cependant lui reconnaître le mérite d'avoir été très long à trahir. Sont arrivés également en 1986, pour participer aux agapes parlementaires, « les horlogers » (membres du Club de l'Horloge): Bruno Megret, Yvan Blot, Jean-Yves Le Gallou, trois « technocrates » dont Le Pen estimait avoir besoin pour « présenter bien ». Megret, ancien membre du comité central du RPR (1979-1981) et président des Comités d'Action Républicaine (1982-1988) était programmé pour être l'artisan d'une « stratégie de rassemblement » avec la droite classique, contrant les thèses plus radicales de Jean-Pierre Stirbois.

Le Pen joua alors la carte Megret contre Stirbois. Il nomma Megret en octobre 1987 directeur de sa campagne présidentielle et délégué général en 1988. Seule la mort suspecte de Stirbois en novembre 1988 empêcha un clash inévitable entre les deux hommes: un national-populiste qui à la fin de sa vie voulait prendre exemple sur Jacques Doriot et un national-conservateur sans doute guidé et financé par une frange du patronat pour résoudre le « problème » posé par le FN, à l'époque véritable poison pour la droite.


La victoire de Marie-France Stirbois lors de la législative partielle de Dreux en 1989 (61,3% au second tour) fut un hommage posthume à la stratégie « populiste » initiée par son mari. C'est un fait incontournable. La seule député nationaliste jamais élue au scrutin majoritaire - et avec quel score! - a parfaitement résumé le sens de sa victoire: « Le 3 décembre 1989, j'ai fait la “preuve par Dreux” que, même dans le cadre du système électoral mis en place par nos adversaires pour nous étouffer, nous pouvions l'emporter sans appel. Nous avons gagné en restant nous-mêmes, sans compromission avec qui que ce soit, avec un langage clair et suivant une ligne nationale-populaire de rassemblement qui a été effectivement approuvée par une majorité absolue d'électeurs de toutes origines ».

C'était une manière de dire que Le Pen avait versé comme les autres dans la politique politicienne : chantage aux voix, accords douteux et occultes sur le dos des électeurs, népotisme - « la dérive monégasque » - qui atteint aujourd'hui son acmé avec l'imposition de Marine, course au cumul des mandats - pourtant dénoncé dans le programme de 1986 - etc... les griefs à l'époque commencent à ne pas manquer vis à vis des méthodes de Le Pen. Ils seront synthétisés dans la revue « Nationalisme & République » en 1990-1992 et largement repris par les partisans de Megret lors de la scission de fin 1998-1999.


A l'époque, ce n'était pas Marine ou une vieille maîtresse que Le Pen voulait imposer, mais sa femme Jany comme tête de liste aux européennes de 1999 pour le cas où il serait toujours inéligible, suite à l'affaire de Mantes-la-Jolie. Pour les « Horlogers » ultralibéraux déguisés en nationaux (comme le confirme aujourd’hui l’ “outing” du sionosouverainiste Henry de Lesquen ci-devant directeur de Radio Courtoisie), la coupe était pleine. Ils estimaient avec raison avoir apporté au FN rigueur, sérieux, formation, documentation et organisation et ne pouvaient donc accepter la candidature bouffonne de Jany Le Pen alors que le congrès de Strasbourg de mars 1997 avait consacré le ticket Le Pen-Megret pour les européennes de 1999. Déjà, ils avaient dû encaissé la nomination autoritaire par la grâce du père de sa fille Marine au comité central, alors qu'elle venait d'être recalée par les participants. Le Pen avait opéré déjà de même lors du précédent congrès de Port-Marly, en imposant sans vote le transfuge du RPR Jean-Michel Dubois. Bref, Le Pen estimait avoir tous les droits sur le fonctionnement du FN, agissant en despote plus ou moins éclairé par les illuminations de la providence. En septembre 1998, il désigne donc le fantasque Martinez comme directeur de sa campagne pour les européennes. Lors du conseil national du 5 décembre, il débute une « purge » qui entraîne la scission des « mégrétistes », il faut le dire préparée de longue main et à laquelle Le Pen, toujours sûr de lui et dominateur, ne croyait pas. On connaît la suite. Il y avait déjà longtemps que le nombre des militants avait fondu par rapport à la période faste de la fin des années 80, mais il s'en fallut d'un cheveux que le départ des cadres mégrétistes ne tue le Front. Et c'est avec un « appareil » exangue, majoritairement composé de cathos intégristes, que Le Pen connut, contre toute attente, la divine surprise d'avril 2002. Ne faisant finalement que 1,8% de mieux qu'en 1995, il bénéficia du vote de Français exaspérés par un Chirac immobile impuissant et stérile et un Jospin qui campait sur un bilan d'ailleurs fort éminemment discutable.

Dès février 1987, une étude de sociologie électorale d'une centaine de pages remise à Megret, Stirbois et Le Pen arrivait à la conclusion que le FN, sur la base d'une stratégie de rassemblement, de rupture avec le système politicien, et sur les thèmes qui étaient les siens, disposait d'un potentiel électoral de l'ordre de 18% des suffrages. Avec un Front déjà en léthargie depuis 1999, il était illusoire d'espérer aller plus loin, en 2002 puis 2007, sans bouger et sans plus de troupes sur le terrain. La situation électorale du FN ne pouvait que se dégrader après le deuxième tour de 2002. L'apparition de Le Pen sur les écrans au soir du premier tour flanqué de Martine Lehideux et de Roger Holeindre avait tout d'une soirée d'adieu dans une maison de retraite. Pas de quoi mobiliser les électeurs pour le deuxième tour!


En ce qui concerne 2007, Le Pen aurait pu faire, dans une conjoncture extrêment favorable, si ce n'est le même score qu'en 2002, en tout cas obtenir un résultat supérieur au 10,4% obtenus. « J'ai commis une erreur d'appréciation » at-il admis sans vouloir mettre en cause la stratégie de « dédiabolisation médiatique » de sa fille Marine. Gollnisch, désabusé, déclarait pour sa part: « En réalité, on avait perdu depuis longtemps. Notre électorat était découragé par la diabolisation. Depuis 2002, il savait qu'on ne nous laisserait jamais aller au pouvoir. Il a choisi Sarko parce que lui, au moins, pouvait y arriver ». Aux yeux de beaucoup de ses électeurs, le Front avait donc perdu sa crédibilité, sa capacité à susciter un espoir de mieux, à défaut de véritable alternance. Il était épuisé dans tous les sens du terme. Pourtant, à la différence de 1988, 1995 ou 2002, Le Pen a bénéficié d'une très bonne couverture médiatique, trop peut-être, puisqu'elle le banalisait dans le paysage politique. Le Pen a alors été tenté, sur le conseil de sa fille, de normaliser son discours par rapport à l'idéologie dominante. Il a donc donné l'impression d'abandonner ses thèmes de prédilection au moment même où ses principaux adversaires s'en emparait. En ménageant Nicolas Sarkozy, les dirigeants du FN ont déroulé pour lui le tapis rouge du « vote utile ». C'est peu de dire que jusqu'à l'extrême fin de la campagne, lorsqu'il a fini par sentir que son « fonds de commerce » allait à la faillite, Le Pen a ménagé curieusement Sarkozy. Le 12 avril 2007, dans un entretien au Figaro, il indiquait ne pas avoir « d'a priori » contre Nicolas Sarkozy et évoquait « des points possibles d'accord et de convergence » avec le candidat de l'UMP. Il ajoutait ne pas avoir « de contentieux personnel » avec Sarkozy comme il en avait avec Jacques Chirac...

Or, Le Pen savait pertinemment qui était Sarkozy. Dans un communiqué du 15 janvier 2007, il écrivait: « Nicolas Sarkozy peut bien répéter près de 80 fois le mot France dans son discours, et exalter ”l'amour de la France et la fierté d'être français”, cela ne peut cacher le fait qu'il travaille en réalité à la disparition de la France dans un conglomérat euromondialiste ». Mais, le grand « patriote » était tenu de s'abstenir pour le second tour, parce que Sarkozy lui avait fait obtenir les parrainages qui lui manquaient pour être candidat (afin de pouvoir bénéficier d'un bon report de voix lepénistes au second tour) et parce que Brice Hortefeux lui avait obtenu une remise fiscale!

Le 1er mai 2007, Le Pen jouait donc les Ponce Pilate devant les grands malheurs qui attendaient la France, malheurs sans aucune mesure avec ceux qu'aurait pu occasionner la gourde Royal.

Dans ces conditions, s'abstenir était irresponsable, pire, c'était une trahison. Mais le 22 avril au soir, Le Pen valsait, un peu comme l'homme qui rit dans les cimetières.

Louis-Ferdinand écrivait justement dans Les Beaux Draps: « C'est pas commode à arranger les rénovations nationales et la conservations des sous... »
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*ancien collaborateur de Jean-Pierre Stirbois (1983-1988), collaborateur occasionnel de Jean-Marie Le Pen (jusqu'en septembre 2006), ancien directeur de la revue « Nationalisme & République ». 
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