Vous demandiez, interrogatif, pourquoi le gaulois Barbier mettait tant d'empressement à jouer les tchékistes à la petite semaine contre Dieudonné ? Ah chers amis, mais votre blog judéocritique préféré est là pour vous éclairer avec le concours de ses patients participants ! Et sur ce coup là nous n'avons pas manqué de trouver une bonne âme hostile au Kahal pour nous livrer les raisons de cette attention appuyée.
Si Barbier met tant de douceur à servir le Juif c'est qu'il s'est marié avec l'aide de Carla Bruni-Tedeschi-Mellah Sarközy Nagy Bocsaï avec Yamini KUMAR-COHEN, directrice de la communication chez hermès.
Barbier est en transe, il frétille, il court, il entrevoit déjà la dame Kumar engrossée, droit du sang, droit divin, ancien régime et youtrification ! Barbier progressiste a compris comment cela fonctionne, comme l'on "édite" et "rédacteur en chefise" ! En enlaçant le Juif, en l'aimant tout entier, lui, son inceste, ses ambitions, ses drames, ses suicides !
"Ben Cameraman me voilà ! J'accoure à vous Élysée, Médias, Pluton ! Me voilà dandy, acceptable, à moitié Lévy déjà par ma future descendance qui tombera, c'est écrit, au niveau des singes... Ah ! je me languis, ah Israël je me dévoue, je geins, je suffoque... J'attends encore, amant éperdu, ma dame, que dois je faire ? Entièrement à vous, tout, sans restriction, sans remords, aucun regard en arrière, tout pour le Juif, sous le Juif, lié, criblé, sucé, vidé."
Ces histoires de Gaulois au sang souillé de Juif sont une vieille habitude d'aristocrate. On se souille avec passion, on descend, vers Jérusalem, en priant, en saccade, vers le mur, "Bayard Lévy me voilà ! Ah Madame la comtesse Cohen de Beauharnais, vous ici !".
Barbier a le sens de l'échelle, de la hiérarchie, il sait lui absolument ce qu'est la "Réaction", réactionnaire Barbier au nom du Progrès, "Social !", écharpe rouge, tout pour moi et mort aux cons, donc mort aux Goyim ! "Il en faut bien des kapos eh con !" Ah oui Barbier, observateur averti de la Gaule, enjuivé jusqu'aux yeux, coassant dans le marais, "À moi ! Mes quartiers de noblesses, mon sang Juif immédiatement, ma charge, j'achète !"... "Ah certes, comme sous Louis XIV, mais aux nouveaux princes du yiddishland, moyennant vos gênes cher ami !"... "Comme il vous plaira".
Pas un jour sans découvrir encore, dans la pénombre d'un coup tordu, un petit Juif égaré... "Je n'y suis pour rien, "Social !", c'est encore vos saloperies ! "Social, tolérance !"..." Le Juif tolère, c'est même un travail épuisant qu'il acquitte avec rigueur. Il tolère en bande, en maison d'édition, en cabinets ministériels, tolérant chaque jour que Moïse accorde à la grande tribu... "Tolérez vous ?", c'est un métier, une vocation, une mission divine, on tolère selon le sang, on tolère en Juif ou pas, c'est à cela que cela se mesure.
Barbier observe, il scrute, il jauge, sa race lui paraît comme une vieille turne, elle prend l'eau, elle n'a pas la cote, "comment vendre" ? Ah miracle, une princesse Juive ! "Je vends, je vends tout, mâdâme, vous...moi, ah c'est encore trop lent, vite, soyons ensemble, mariage de raison se marie avec mariage de race c'est la dure loi du "Social" en ce monde, c'est une question de Juif ou pas, moi je Juif, je Juife, tu Juifes, nous Juifons, vous Juifez, ils Juifent !".
Barbier luit à la télé, il a un avis, il s'en fout éperdument, il court , il rêve, c'est la descente en terre sainte, "tout vers le Juif, Jourdain à moi !"... J'engrosse, je suis béni, me voilà, la Synagogue entrouve ses portes, je rédacteur en chéfiserais davantage encore, plus, télévision, interview, confidences, demi-rires, madame est émue, son goy assume la dote, elle assure la race, ah l'aristocratie mariant le bourgeois, le sang bleu est désormais tout Juif et le parvenu gaulois s'effondre dans la Mer Rouge qui pour lui s'entrouve, "Miracle de la Tolérance !". Chez les Juifs, Tolérance rime avec Finance et Social avec Racial !
Et comme on dit "A chacun son youpin quotidien".
Merci à notre lecteur pour avoir exposer cette énième preuve contre la main mise Juive sur la France.
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Ce texte sur Christophe Barbier est à vomir...
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