samedi 11 avril 2009

Inversion accusatoire sur vos écrans

"La nuit des généraux"

Résumé :

Varsovie, en 1942. Le major Grau, de la police militaire, enquête sur l'assassinat sauvage d'une prostituée, avec d'autant plus de sollicitude que la victime était en fait un agent des services de renseignements allemands. Un témoin digne de foi affirme que le meurtrier portait incontestablement l'uniforme d'un général allemand. Seuls trois suspects s'offrent à Grau : les généraux Tanz, von Seydlitz-Gabler et Kahlenberge. Une mutation à Paris l'empêche d'achever son enquête, mais deux ans plus tard, après le débarquement de Normandie, il y retrouve ses trois généraux, plus fringants que jamais. Secondé par l'inspecteur Morand, Grau reprend ses investigations et met au jour un vaste complot...

France 3, jeudi 16 Avril, 22h50"

Cette histoire effrayante et accablante sur le "terrible complot" de ces assassins allemands est signée Anatole Litvak


"Mikhaïl Anatol Litvak est né le 10 mai 1902 à Kiev, en Russie. En 1921, il est diplômé en philosophie de l'université de Leningrad. L'année suivante, il est acteur, décorateur puis metteur en scène d'une petite troupe théâtrale. Engagé en 1923 comme assistant par les Studios Nordkino, il y réalise deux courts métrages : Tatiana, interprété par des enfants et Le coeur et les dollars, satire du capitalisme.

En 1925, Anatole Litvak quitte l'U.R.S.S. Tourné dans les studios allemands de la U.F.A., Dolly macht karriere, comédie musicale pleine d'entrain, est le premier long métrage d'Anatole Litvak. Coeur de lilas (1932), avec Jean Gabin, fut un grand succès qui le fil connaître en France où il achèvera brillamment, en 1936, la première partie de sa carrière avec Mayerling. Interprété par Danielle Darrieux et Charles Boyer, ce film lui ouvrit en grand les portes d'Hollywood.

Il y débute avec The woman I love (1937), remake de son film français, L'équipage (1934). D'origine juive et anti-fasciste convaincu, Litvak s'attacha, dès 1939, à dénoncer la menace hitlérienne avec Les aveux d'un espion nazi. Puis, devenu citoyen américain en 1940, il participa activement, aux côtés de Frank Capra, à la réalisation de la série documentaire Pourquoi nous combattons. Après la guerre, qu'il termina avec le grade de colonel, Litvak connut ses plus grands succès en 1948 avec Raccrochez c'est une erreur et La fosse aux serpents.

Puis Litvak reprit le cours d'une prestigieuse carrière internationale, aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en France où tourne notamment Aimez-vous Brahms ? (1960) puis La Nuit des généraux (1966). Il meurt à Neuilly, le 16 décembre 1974."

Anatole est donc un activiste Juif, antifasciste, russe, ukrainien, allemand, français, américain et des fois anglais puis encore un peu français. Il a poussé à fond à la guerre les USA en 1939, en tant que citoyen US un tout petit peu, en tant que Juif énormément. Mais pas trop près des tranchées, non, plutôt dans les studios ou l'on peut toucher le cul des shiksas dociles... 

Avouez que quitter l'URSS en 1925 comme décorateur de théâtre et finir américain avec le grade de colonel, il n'y a guère qu'un Juif pour le faire avec une telle aisance ! Plus russe que les russes, plus ukrainiens que les ukrainiens, plus allemands que les allemands, plus français que les français et plus américain que les américains on vous dit !

Il est aussi et surtout Juif, très Juif, très très (très) Juif. 

Dans ce film, une nouvelle fois un membre de la secte incestueuse transpose sur les goyim des complots qui visent à torturer des prostituées... Et on sait à quelle point les Juifs ont de considération pour les victimes de la traite des blanches... 

Quand on peut accuser les "antisémites" de ses propres dérives, pourquoi s'en priver ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire