jeudi 16 avril 2009

Précisions sur le jacobinisme et le Judaïsme

Certains semblent ne pas bien saisir la nature de la gouvernance qui prévaut dans la république jacobine française et semblent méconnaître les méthodes de gestion du pays dont ils croient tout connaître.

L'affaire du bus ressemble pour beaucoup de Goyim blancs à une énigme dont ils ne parviennent pas démêler les noeuds. Ils ne saisissent pas la réaction dans la presse de l'intéressé, le bourgeois blanc tabassé, et les récentes évolutions.

C'est pourtant simple à saisir. La France n'existe que par son état, n'en déplaise aux romantiques de toutes sortes. La France ça n'est qu'un état de 6 millions de serviteurs, organisés autoritairement de façon centralisée.

L'individu est semble t'il un membre de Sciences Politiques, c'est à dire un des innombrables fils de technocrates qui ira assurer la gestion de la faillite et surtout la pérennité de l'oligarchie en place, soit dans une administration, soit dans un ministère ou encore dans un parti.

En pleine campagne sur le métissage par la presse et le pouvoir Juifs, cet incident provoque pour la république Juive un problème de communication. La victime faisant partie du nid des futurs collaborateurs, il n'était pas difficile de contrer efficacement les destabilisations provenant de ci de là. Nous avons encore la preuve que l'ennemi irréductible est le blanc soumis au pouvoir et à l'esprit de la bourgeoisie enjuivée.

Premier point donc, le ministère de l'Intérieur étroitement suivi par la Présidence de la République a organisé une contre campagne de presse via un journal proche du pouvoir: Le Figaro - Bloch Dassault. Il suffisait de demander à la victime, contre un coup de main futur dans son parcours professionnel (stages enviés, introductions diverses), de rejeter en bloc l'idée qu'il y aurait un lien immigration, fracture ethnique et violences urbaines. Cela a été fait sans difficulté puisque la "victime" ou plutôt la cellule communication du gouvernement, a fait publier sous la plume de l'intéressé une synthèse si parfaitement antiraciste, reposant sur les arguments sociologiques de rigueur et la dénonciation de l'extrémisme de droite, qu'il n'était pas difficile d'en identifier la source qui pour l'occasion avait mis ses gros sabots.

Pour faire bonne mesure on apprend que ceux qui ont diffusé la vidéo, et donc mis à mal la propagande Juive organisée par Mellah Sarközy Nagy Bocsaï, seront poursuivis s'ils persistent à la laisser en ligne. C'est la marque de l'aigreur revancharde de chats échaudés... Le tout encore une fois sur "initiative" de la victime qui cependant n'a pas souhaité ennuyer ses agresseurs en portant plainte. Seul l'idiot comprendra ce surprenant déséquilibre. L'observateur comprendra que ce n'est pas la victime qui règle ses comptes, mais l'état républicain et rien que lui... 

Que d'empressement en effet à ennuyer le policier qui a révélé ce scandale mais aussi ceux qui y ont osé lever la voix contre une évidence, une évidence qui va parfaitement à l'encontre de la politique d'état.

A aucun moment l'individu n'a eu de marge de manoeuvre. Tout a été pris en main par les autorités de l'état, cet état que beaucoup vénèrent sous la forme du drapeau tricolore et de la "Nation". Il serait bel et bien temps de tourner la page de ce mythe essoufflé au profit d'une rupture radicale d'avec lui.

Il serait grand temps que les gaulois soient mis au parfum que le pays dans lequel ils vivent ne leur appartient pas, que l'état qui les trique joue contre eux et qu'ils sont dans une dictature grossière, loin des mirages démocratiques dont par ailleurs le personnel politique français se gargarise.

Il y a aujourd'hui une convergence entre sionisme et jacobinisme dans une perspective d'intérêts bien sentis. La moindre des obligations pour un européen conscient est de traiter comme il se doit le démon plutôt que de persister à vouloir lui inculquer on ne sait quelle morale patriotique.

S'il est des français encore conscients, il serait grand temps de prendre des symboles légitimes comme le drapeau blanc à fleurs de Lys en sus de connaître à fond les méthodes jacobines d'un pays dont ils se veulent les plus sérieux experts. 

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