La question Juive est fondamentale pour qui veut, sérieusement, comprendre la réalité politique française et au delà la réalité politique occidentale. Un manque de culture historique évident frappe nombre de "nationalistes" et de non nationalistes sur cette question.
Pourtant les ouvrages ne manquent pas sous le manteau pour combler cette lacune. Le poète écrivain Céline nous donne la vigueur joyeuse par son style et la saine et juste agressivité par le ton sur cette question essentielle: Bagatelles pour un massacre, L'école des cadavres, Les beaux draps. Un français, puisque certains se revendiquent de cette "nationalité" (question épineuse s'il en est), qui n'a pas lu et pas compris la fulgurance de Céline n'est qu'un amibe du champ politique, un amateur bavard et nuisible... Un individu comme Céline si martyrisé pour avoir voulu avertir les français avant qu'il ne soit trop tard devrait figurer au Panthéon des "nationalistes". C'est apparemment en 2009, à l'heure du SMS, de la XBOX et de "Bienvenue chez les Ch'tis" un effort surhumain, voire une grossièreté qui provoque honte et dégoût...
En plus des poètes nous avons eu des journalistes qui cristallisaient talent d'écriture et sens aigu du journalisme authentique: c'est bien sûr Lucien Rebatet au style extraordinaire dont Hervé Ryssen peut à bon droit revendiquer la filiation. Un "nationaliste" qui n'a jamais lu Rebatet est lui pire qu'un bacille. Que l'on prenne un de ces bavards du nationalisme et qu'on lui demande quel ouvrage de Rebatet il a lu et l'on saura à qui l'on a à faire... En 2009, les bases incontournables ne sont plus lues, plus méditées. On se fabrique un sous culture à base de films Juifs tels 300 de l'israélite Miller...
La liste s'allongerait des nombreux et talentueux auteurs qui n'ont eu de cesse de démonter le mensonge Juif, l'imposture sioniste, les tentatives, vols, viols et meurtres, sans mentionner les guerres, de la tribu abhorrée. Ils sont nombreux, glauques, donnent la nausée à tout individu moral. Leur connaissance est de salubrité publique et dépasse même le clivage "gauche-droite" .Combien de nobles prêtres soucieux de la foi se sont ils enfoncés dans cette lutte, singulièrement avant Vatican II qui fût le triomphe des influences progressistes et judaïques sur l'interprétation de réformes par ailleurs peut être nécessaire mais aussitôt gâtées par le venin des traîtres, des enjuivés, des marxistes juifs-synthétiques et autres obscurs larrons associés pour l'occasion. Un nationaliste doit connaître les crimes du Juif dans l'histoire, des crimes qui ont coûté aux nôtres des millions de morts dans des conditions apocalyptiques. C'est ainsi que l'on remédie au chantage mémoriel des tenants du génocide. C'est le plus élémentaire devoir d'un aryen conscient que de connaître à fond la question Juive en plus de l'histoire en général, de la géopolitique, des grands concepts économiques et des problématiques sociales et des cultures des peuples et civilisations du monde, sans parler au demeurant des questions de spiritualité.
Mais il faut le dire, le premier défaut des "nationalistes" est leur indigence intellectuelle, le refus fétichiste d'en savoir plus sur différents sujets et singulièrement sur le problème du sionisme et du Judaïsme. L'ère faussement démocratique, loin de Périclès qui la conditionnait par un racisme sain et pacifié, a fait des masses alphabétisées de dangereux moutons d'abattoirs. Trop cultivés pour ne pas sombrer dans le narcissisme et pas assez pour être utiles à leur peuple, nos résiduts démocratiques "nationaux" sont finalement bien à l'image de la médiocrité générale de "l'occident" gavé et de la France qui dans ce cloaque se détache, et de loin, des autres nations effondrées.
Cependant l'heure n'est pas au triste constat. Car les peuples blancs de l'ouest vont, c'est désormais écrit, vers de violents conflits interethniques qui imposeront clairement de savoir sur qui compter et sur qui ne pas compter. Car notre légitime politique est de faire que le Blanc reste maître en Europe mais aussi qu'il se débarrasse de la pieuvre qui pose problèmes à tous les continents.
C'est dans ce contexte qu'un nationaliste doit comprendre le Juif. La lourdeur du Blanc est insondable et on peut le tromper à chaque génération dans les mêmes termes que la précédente sans qu'il ne sente le piège. Et pourtant au vu des enjeux, il faudra être à la dimension de la crise. Et quiconque ne connaît pas le rôle des Juifs dans l'invasion de l'Espagne au 7ème siècle par les arabo-berbères sera bien mal avisé pour improviser une politique de redressement européen. Tel l'aveugle il se dirigera vers les bruits qu'il croit discerner sans jamais vouloir ôter le bandeau qui entrave sa vue... Il faut déjà briser les chaînes de la parole, oser les mots et oser le sens vrai de ceux-ci. Sans libération intellectuelle il ne peut y avoir de libération physique: ce sont nos mots qui délimitent le champ de notre action politique.
A défaut de culture, il suffit d'exhiber, avec l'accord et l'encouragement mesuré du Juif, qui tel le parieur avise du rapport de force par de multiples estimations, n'importe quel symbole anxiogène pour en faire, nous dit-on, une politique. Nous voulons parler de l'Islam. L'Islam en soit n'est pas un problème et ne doit pas l'être. L'Islam est le problème du Juif et du Juif seul. C'est d'ailleurs la force spirituelle islamique qui terrorise le Juif. Il a beau rôle de trouver chez les goyim d'Europe de futurs auxilaires qui iront selon sa tradition se saigner pour lui. Les "nationalistes" qui hurlent contre l'Islam sont les mêmes qui hurlaient contre "le boche" en 1938, excité par la presse Juive (nous y reviendrons). Céline se démena pour éviter le carnage blanc qui ferait du Juif capitalo-bolcheviste le grand vainqueur de la patée. A cette heure, l'Allemagne Nouvelle, sut se faire des amis en Islam par la voix du Grand Mufti de Jérusalem. Les rabbins en font des conjectures: "L'Occident cherchera à s'allier avec l'Islam contre Israël, mais cela échouera car ils seront traînés à la guerre par les cheveux" disent-ils ! Dont acte !
Il n'est pas question donc d'accuser "l'Islam" qui est un ordre religieux de plus d'un milliard d'hommes et de le classer comme un tout homogène et unifié qui serait déterminé à nous ruiner. Le problème est uniquement migratoire et colonial, comme il l'était en Indochine et en Algérie. Souvenons nous d'ailleurs que ce sont les Juifs qui créèrent un précédent par la voix du ministre israélite Crémieux qui naturalisa d'un seul élan les youtres (Nous osons d'autant plus le mot que nous respectons les individus dits "Juifs" comme Schlomo Sand) d'Algérie, engendrant ainsi la fureur des musulmans saignés à blanc par cette engeance maudite. Rappelons nous que lorsque ce colonialisme insupportable tourna au vinaigre, les Juifs surent quitter le navire vite fait, tantôt pour Haïfa tantôt pour Paris, maus surtout pour Paris ou ces derniers purent entreprendre la nouvelle entreprise coloniale qui nous tue présentement. Ce furent de pauvres goyim qui une fois encore payèrent le prix de l'avidité Juive et se firent saigner pour réparer les dégâts de cette infâme cohorte puante. Les leçons du passé doivent servir, car comme en Algérie, au moment voulu, Juda partira vers des cieux plus cléments non sans avoir ruiner et piller le pays ou ils étaient venus pauvres et rejetés...
Un "nationaliste" doit aussi connaître l'histoire de ce qu'il présente comme sa nation. Est-ce extravagant ? Lors de la guerre de Trente ans, les autorités françaises par la voix de Richelieu ne virent aucune forme d'incohérence à se débarrasser des protestants EN France tout en les soutenant en Allemagne dans l'intérêt du royaume et de sa politique. Jamais protestant d'Allemagne ne s'est plaint des réglements de compte qui avait lieu dans le royaume de France et qui tournaient au désavantage de leurs "frères dans la foi".
Par ailleurs dans le monde musulman la foi n'empêche nullement des règlements de compte violents entre divers peuples ou nations. C'est le lot des sociétés humaines. Faire donc des problèmes migratoires un problème religieux c'est tout d'abord tomber dans le panneau Juif. Parce que le Juif a les pieds dans le sable de la Palestine et qu'il est désireux que les Goyim qui l'enrichissent et le défendent en Europe le défendent également dans le lointain orient. C'est pourquoi il est demandeur d'une lutte contre "l'Islam" et non pas contre les "migrants" dont il est par ailleurs le plus zélé avocat. Ensuite c'est s'attaquer aux conséquences des problèmes plus qu'aux causes. Il paraîtra évident à tous qu'écoper un navire prenant l'eau sans boucher les trous d'ou elle provient serait la marque d'un grave manque de jugement. Mais ici en France, il semble que les "nationalistes" n'aient pas cette lucidité et que l'écopage, autorisé partiellement et à dessein par le Juif, soit devenu une fin en soi, loin de toute tentative de réparation de la voie d'eau.
Voit on beaucoup de Noirs et de Musulmans à la télévision ? Non. Pourtant les slogans et mots d'ordre tonnent. Voit on beaucoup de Noirs et d'Arabes dans les ministères ou les journaux ? Non. Pourtant c'est de là que la politique immigrationniste provient et qu'elle est annoncée comme "inéluctable". Comment ne pas voir une aussi flagrante évidence que celle d'un pouvoir Juif et sioniste militant de façon tapageuse contre sa patrie et se focaliser pourtant uniquement sur les masses qui elles, au final, ne font que respecter un état de fait: l'accueil organisé, plébiscité, voulu et rémunéré.
Le mot "Juif" fait trembler les gros bras qui rêvent d'égorger des musulmans. On a pas de mots assez durs contre l'islam là ou le mot "Judaïsme" n'apparaît jamais. C'est là un aveu du pouvoir, de la virilité réelle, de la taille véritable de la paire de couilles qu'ont les "nationalistes" revendiqués comme tels. Comme des femelles respectueuses de l'ordre qu'elles font mine de haïr, les "nationalistes" respectent scrupuleusement le rapport de force en place. Bien qu'ils affirment être les seuls légitimes propriétaires du pays et être prêts à tout pour résister, ils laissent poliment au Juif le soin de dire ce qu'il a à dire sans jamais l'accabler tandis que les populations sans réseaux puissants, tels les Noirs ou les Arabes et Musulmans, subissent leur colère, une colère très théorique au demeurant. Nos guerriers sont en vérité des homosexuels exhibitionnistes qui se satisfont publiquement de leur statut de sodomites au service du pouvoir Juif: ils jouent le rôle qu'on veut bien leur laisser jouer, ne franchissant jamais la ligne de danger tout en dépeignant des fresques de combats fanatasmatiques ou chacun rivalise de petite haine fielleuse contre son ennemi véritable ou supposé.
La haine ne naît que du vice dont un adversaire se sert pour vous nuire. Un adversaire honorable, c'est à dire qui ne biaise pas et ne vous assassine pas en vous trompant, ajoutant l'horreur, la cruauté et la bassesse au crime, est quelqu'un que l'on peut respecter comme un égal bien que nous ayons des contentieux, même lourds, à régler.
Et pour nous, au vu de la liste des crimes, de leur nature, de leur génèse et de leur ampleur, seul le Juif peut s'attirer une portion de haine. Et pas une petite haine d'impuissant, mais une haine entière, motivée et explicable, notifiée et décrite. Rien à voir donc avec le fiel des impuissants qui sont d'autant plus imprécateurs qu'ils sont soumis à la hiérarchie autorisée des antagonismes.
La question Juive est fondamentale car elle touche à la réalité du pouvoir qui peut se mesurer aisément au risque qu'il y a de l'écorcher. On voit bien que vomir l'Islam, si ce n'est pas encore ouvertement encouragé, ne coûte pas de longues années de prison. Au reste ce sont les mêmes qui se prétendent amis des musulmans (Henri Lévy, Glucksmann) qui sont aussi leurs plus farouches égorgeurs (Gaza) et qui organisent l'antiracisme qui donnent tantôt le feu vert à la dénonciation de l'Islam (Charlie Hebdo), tantôt à sa défense (Tchétchénie). Car il y a ceux "qui ont le droit" de haïr l'Islam (Redeker) et ceux qui n'ont pas le droit et dont la singularité consiste à ne pas être judéo-compatibles.
Le "nationaliste" abruti n'y voit rien: il obéit aux limites avec une relative bonne humeur.
Cela ne nous enchante pas d'être colonisé. Il y a fort à parier que cela n'enchante pas non plus les migrants. En revanche cela enchante le Juif. Et c'est la clef de compréhension du problème. Notre refus de l'immigration de masse est toute naturelle et se retrouve chez tous les peuples de cette terre: aucun peuple ne tolère que l'étranger vienne et s'empare de la terre des ancêtres. Cependant, soit on se cantonne au niveau animal, du réflexe primaire, soit on créé une logique, une vision et partant une réponse à l'agression Juive.
La violence Juive touche des sommets. Il n'y a aucune honte à refuser cette agression. Nous n'avons pas à céder à la culpabilisation menée par cette race maudite contre les peuples européens, nous n'avons pas à baisser la tête face à ce nouveau crime Juif. Au contraire. Cela doit être notre principale activité, associée aux réflexions politiques plus classiques. Ce n'est pas parce qu'ils se cachent derrière des populations noires, arabes ou musulmanes qu'on ne doit pas passer par dessus elles et le désigner, lui le petit youtre planqué derrière ceux qu'ils délèguent au massacre.
Il n'y a pas de nationalistes philosioniste ou philojuif. Il y a encore moins de "nationalistes neutres". Car si l'on refuse l'immigration on refuse TOUTES les immigrations, surtout celle du Yiddishland polonais ou russe ou du mellah marocain. C'est là une différence clef entre la petite bourgeoise salope qui fait ou on lui dit (Coûteaux) et la révolution conservatrice qui n'entend pas servir de caution au pouvoir sioniste (Ryssen, Werlet). Il faut abattre le Judaïsme à sa base, car le choix est simple: eux ou nous. Ces nationalistes inconséquents, ignorants et balourds créent un préjudice par leurs erreurs récurrentes.
Le Juif nous désigne comme ennemi chez nous, notre seule réponse doit être de lui répondre avec vigueur et de lui dire que ce sera une lutte à mort.
La question Juive est centrale. C'est la question Juive qui sépare l'authentique nationaliste du "nationaliste" pisseux dont il n'y a rien de révolutionnaire à espérer. L'antijudaïsme est en effet en soi un acte révolutionnaire dont la portée se mesure par l'arsenal juridique qui le sanctionne.
Le premier acte de résistance consiste à dire les mots: Juif, israélite, sioniste.
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