samedi 18 avril 2009

Le Judaïsme dans vos télés

"Black/White

Theresa, une charmante jeune fille noire, est amoureuse de Simon. Les jeunes gens ont même décidé de se marier. Mais le plus dur reste à faire : il faut en effet que Theresa présente Simon à ses parents. Or, la belle Theresa a jusqu'ici omis de leur signaler que Simon était blanc. Profitant de l'anniversaire de mariage de ses parents, elle arrive chez eux avec lui. Le premier choc est rude. Simon a beau faire tout ce qui est en son pouvoir pour être accepté, Percy, le terrible père de Theresa, supporte très mal de voir sa fille s'éloigner de la famille. En outre, Simon s'est bien gardé de dire qu'il vient de démissionner de son travail d'agent de change...

France 2, dimanche 19 Avril à 22 h 50"

C'est excellent et c'est du scénariste Juif David Ronn.

Arté, conformément à sa tradition commence fort:

"Germaine Tillion à Ravensbrück

En octobre 1944, déportée depuis un an à Ravensbrück, Germaine Tillion se lance clandestinement dans l'écriture d'une «opérette-revue». Ce documentaire revient sur les conditions d'écriture du «Verfügbar aux enfers», ainsi que sur les questions posées par sa représentation scénique. Il fait alterner extraits de l'oeuvre, témoignages de résistantes déportées au camp de Ravensbrück et commentaires de la metteuse en scène de la pièce et du compositeur chargé de l'adaptation musicale. Le film s'appuie également sur un entretien inédit de Germaine Tillion dans lequel elle évoque la genèse de son «Verfügbar». Ou comment, dans un camp où la mort semblait l'unique issue, on a résisté et survécu par le rire, la musique et le verbe.

Lundi 20 avril à 22 h 25

Vous aurez ainsi le loisir de sympathiser avec cette militante du parti communiste "français"...

Arté poursuit dans le cadre de la campagne sioniste anti-Durban qui va dénoncer une nouvelle fois le racisme Juif:

"Au cours de la première conférence mondiale contre le racisme, la discrimination raciale, la xénophobie et l'intolérance, qui s'est tenue à Durban, en Afrique du Sud, en septembre 2001, de nombreux dérapages racistes ont été constatés (Par les Juifs et selon les Juifs NDLR). Le conflit israélopalestinien s'était invité à la tribune, des slogans pro-islamistes et antisémites avaient été lancés dans le cadre du forum des ONG. Pour remédier à ces dérives, l'ONU a refondé son Conseil des droits de l'homme en 2006. Le film pénètre dans les coulisses de ce nouveau Conseil, qui a toujours pour mission de mettre en oeuvre la Déclaration universelle de 1948. Selon Robert Badinter, «les droits de l'homme sont redevenus le lieu d'un combat idéologique»."

C'est très objectif et réalisé par les pro-sionistes Caroline Fourest et son "homme", Fiammeta Venner (en bonnes lesbiennes, elles vivent et travaillent ensemble). En tant que partenaire de Philippe Val à Charlie Hebdo, lequel classe l'antisionisme comme un "antisémitisme", elle ne devrait pas nous décevoir...

Mardi 21 avril à 21 h 00 c'est Canal + du Juif Farrugia qui poursuit:

"Le père Oliver O'Grady s'est rendu tristement célèbre aux Etats-Unis et dans tout le monde catholique. Pédophile prédateur à grande échelle, il a usé de son ascendant spirituel et de la confiance des parents pour abuser sexuellement de très nombreux enfants, garçons et filles parfois très jeunes, dont il avait la responsabilité. Ce prêtre a perpétré ses forfaits à partir des années 70, avant d'être emprisonné durant sept ans dans les années 90. S'il a pu sévir aussi longtemps, c'est parce que les autorités ecclésiastiques, alertées sur ses pratiques, se sont contentées, complices, de fermer les yeux et de le muter régulièrement dans d'autres villes..."

C'est signé du réalisateur Juif Amy Berg qui nous parle ainsi par transfert sur les chrétiens de ce qui se passe dans les communautés Juives orthodoxes et athées ou non pratiquantes.

Jeudi enfin nous aurons un bon documentaire sur les "einsatzgruppen", ces unités SS qui éliminaient la menace judéo-bolchevique sur l'arrière du front. C'est là encore objectif et réalisé par le Juif Mickaël Prazan et produit par le Juif Michel Rotman.

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