Parmi les très nombreux films ou les réalisateurs, scénaristes et producteurs Juifs mettent en scène les troubles névrotiques propre au Judaïsme, voici "Un homme est une femme comme les autres". Comme nous le montrent les cas d'inceste dans les communautés orthodoxes Juives, notamment à New York avec le scandale dont nous avons parlé, les conséquences sur les membres du ghetto sont assez remarquables avec entre autre la promotion de l'homosexualité, de la pédophilie, de l'inceste, etc. La plupart des leaders gays et lesbiens aux USA sont effectivement Juifs et comme nous en parlions il n'est pas étonnant de trouver des rabbins prononcer à la synagogue des hommages à des lesbiennes militantes de la communauté.
Voici la présentation du film:
"Rosalie Baumann a été élevée à New York dans la tradition hassidique et se garde secrètement pure pour l'homme de sa vie. Elle chante en yiddish avec une magnifique voix de soprano et fait en France la tournée des centres culturels. Simon est clarinettiste. Il n'aime que les garcons et a tourné le dos depuis longtemps à sa famille et à la tradition juive. Quand Rosalie rencontre Simon pour la première fois, elle tombe amoureuse."
C'est réalisé par Jean Jacques Zilbermann, c'est produit par Régis Konckier, c'est écrit par Zilbermann et Joële Van Effenterre (Effontier). Le directeur de la photographie est Pierre Aïm, la monteuse Monica Coleman, les décoratrices Kara Cressman et Julie Sfez. Le casting est composé de Elsa Zylberstein, Gad Elmaleh, Maurice Benichou, Catherine Hiegel, Stéphane Metzger, Jean François Dérec, Irène Zilbermann, Gilles Atlan...
Notons toutefois l'honnêteté du propos qui évite de transférer sur les goyim les états d'âme spécifiques du Judaïsme.
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