"Henri Meschonnic, poète, traducteur et linguiste, est mort le 8 avril. Il avait 76 ans et laisse une œuvre littéraire imposante. Homme chaleureux, il était aussi engagé dans son travail poétique que dans ses essais souvent polémiques, ou dans son enseignement à l’université de Vincennes, dont il fut l’un des fondateurs.
Juif d’origine polonaise, contraint de se réfugier en zone libre à l’âge de 12 ans, Meschonnic a également mené une bataille véhémente contre Heidegger, dont il jugeait la pensée et la langue inséparables de son engagement nazi. Dans le langage Heidegger, paru en 1990, il pointe les tics qu’un courant de la philosophie française, autour de Derrida, aurait emprunté au philosophe allemand."
Éric Aeschimann pour Libération-Rothschild
On le voit Henri a toujours été d'abord et avant tout un activiste Juif. Rien que cela, indépassable horizon. Nature nappée d'un verbiage creux encensé par sa communauté comme "oeuvre littéraire imposante". Ils sont comme ça les Juifs: tout ce qui vient de chez eux est "génial", "imposant", "incomparable".
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