"L'action se déroule dans un pays imaginé mais proche de certains existants, où la pensée, les sentiments et l'entraide sont interdit; Le pays est gouverné par une dictature prônant l'élitisme et pour cela est mis en place un système de distinction des élèves par capacités par un système de couleur d'uniforme: violet pour les élites, rouge pour les bons, vert et bleu pour les élèves dans la norme et brun pour les plus mauvais. Max, jeune lycéen est surpris en compagnie d'un opposant au régime, pour cela, il quitte l'uniforme rouge pour le brun et connait alors l'humiliation et les moqueries. Mais sa vie garde pour lui un sens grâce à un groupe de résistance dont faisait parti son père. Et Max évoluera toujours vers le but de libérer le pays du régime malgré les moqueries, l'iniquité du proviseur, la froideur de sa mère Magda et avec l'amitié de Marilyn, une élève de couleur violette."
La Bonne Couleur de Yaël Hassan aux éditions Castermann
Vous comprenez naturellement que la "dictature" c'est le monde européen par nature "raciste" et "xénophobe" qui classe par "couleur" les bons et les mauvais et qui surtout rejette les "Juifs intégrés". Yaël prend ici un minimum de précautions pour décrire le rôle historique des Juifs qu'est celui de l'organisation de la subversion de l'ordre en place en "résistant" et en s'associant aux "exclus" pour "renverser le régime". Bien sûr si l'histoire s'arrête là, nous savons tous que généralement la libération par les Juifs est souvent très coûteuse pour les "libérés" comme nous le démontre la révolution bolchevique de 1917, ou bien celle de l'Irak, du Liban, de Gaza, de l'Afghanistan ou de l'Allemagne.
En tous cas, ça c'est pour les Goyim, car Yaël, qui a vécu en Israël, se garde bien sûr de tenir le même propos avec les Arabes de Palestine...
C'était donc une nouvelle fois avec votre miroir que vous pouviez comprendre le transfert exercé par l'intéressée sur les Goyim...
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