lundi 25 mai 2009

"Le guide" (du Judaïsme)



Dans "Pathfinder" (littéralement, "celui qui trouve le chemin", ou "le guide") le spectateur est en présence d'un film très agressif contre les Blancs.

C'est l'histoire de Vikings brutaux, sales, violents et sadiques qui tentent de s'installer en Amérique du Nord et assassinent pour ce faire les pacifiques indiens qui eux parlent un français très chatié et sont volontiers philosophes mais peu bagarreurs. Tout débute quand un jeune scandinave est abandonné par son clan pour n'avoir pas égorger un nourrisson (notez bien le détail, cela n'est pas sans nous rappeler les usages du meurtre d'enfants chrétiens pour le pain azyme). Il est recueilli par une tribu indienne qui a, c'est clair, la compassion et le pardon infinis. Bien qu'issu du "peuple des dragons", il reçoit donc une éducation indienne complète et s'intègre sans difficulté.

Mais les Vikings reviennent et après bien des péripéties, notre jeune scandinave parvient à sauver une partie des indiens non sans avoir éliminer tous les affreux Aryens. Ces Vikings ont d'ailleurs une coutume étrange: ils crucifient leurs victimes... C'est le symbole de l'introduction du christianisme perçue de façon très neutre comme on voit ! Bien que le chef de ces derniers ait reproché à son jeune compatriote son "manque de loyauté", et le fait qu'il "préfère des sauvages à son propre peuple", cela n'a guère eu d'effet sur notre intrépide "indien Blanc" puisqu'il le balance d'une falaise.

Tout se termine bien: les sauvages Vikings sont tous tués, les Indiens saufs et notre jeune scandinave peut enfin fonder une famille avec une jeune indienne, car comme le dit la conclusion "Je n'appartiens ni au peuple des dragons, ni au peuple de l'Aube", c'est dire si pour lui le terme "citoyen du monde" a un sens. Et reconnaissante, sa femme le loue pour avoir vaincu les "loups de la haine". Un langage familier pour nos lecteurs qui croiront qu'Élie Wiesel a écrit le scénario.

C'est dire au final si les seuls Blancs qui méritent de respirer encore quelques temps ne le peuvent qu'à la condition de se métisser.

Ce très vif réquisitoire imaginaire contre les Blancs est produit par Mike Medavoy, qui lui par contre n'est pas indien ni norvégien.

Mais avec votre miroir vous aurez compris que Medavoy n'a pas fait "réadapter" le film du même nom de 1987 sans y livrer un petit peu de lui même. On comprendra en vérité que ce film parle merveilleusement bien, mais sans le vouloir, du sionisme en Palestine. On verra en plus dans l'obsession pour le meurtre d'enfants une source très identifiable. 

Précisons tout de même qu'à Gaza ce ne sont pas des Suédois venus en drakkar qui ont massacré des centaines de civils pour voler leur terre.

En poursuivant notre analyse on relève que le jeune scandinave a  un empressement un peu suspect à égorger les Blancs qu'il rencontre, voire à y prendre un énorme plaisir. Le fait qu'il rejette vigoureusement les notions d'attachement ethnique est très caractéristique. Pousser les Blancs à se haïr, faire l'apologie de son assassinat en masse, promouvoir le cosmopollitisme et le métissage, voilà qui donne à notre héros beaucoup de traits de la mentalité Juive. Vous comprenez donc que ce jeune scandinave a deux visages: l'un pour le public goy, l'autre pour le public Juif qui sait à quoi s'en tenir. 

Nous avions enfin un élément type d'inversion accusatoire contre le christianisme: ceux qui avaient pour coutume de faire crucifier leurs victimes sont bien les Juifs avec Jésus !

Merci à Medavoy de nous insulter pendant une heure et demi. Mais même en insistant nous n'avons rien contre les Indiens, encore moins contre les Vikings, mais énormément contre une petite secte incestueuse qui accuse les autres de ses propres crimes et qui vole la terre des autres au prix du sang des enfants.

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