Mercredi soir, infects goyim, vous étiez devant vos télévisions et vous méritiez votre lavage de cerveau quotidien pour oser respirer encore. C'est pourquoi vous avez pu voir le téléfilm "Aïcha". Il n'y a guère d'histoire, en tous cas pas à première vue. En revanche la réalisatrice a tenu à nous montrer une "France" nouvelle, jeune, forte et dynamique, loin, très loin de celle moisie des cathédrales, de De Vinci, des Rois Catholiques sans parler mêmes des Francs ou des Gaulois dont se vantent un peu trop les derniers chauvins qui auront bientôt disparu avec l'aide de Yahvé.
En effet dans Aïcha, il n'y a que des gens de cultures et d'appartenance ethnique non européenne ou presque. Et quand Aïcha décroche un boulot c'est pour cerner les "tendances ethniques" dans une boîte de publicité, donc comme le dit le très blond directeur "les tendances de demain". Eh oui, la France de demain sera mé-tis-sée, c'est y clair oui ou noix ?
C'est donc l'occasion de découvrir des personnages attachants dont la qualité essentielle apparemment est d'être tout sauf de couleur blanche.
On peut remercier Yamina Benguigui qui a renié l'Islam ainsi que son père, qu'elle ne reverra plus vivant, pour se marier à un Juif dont visiblement elle partage les névroses par mimétisme.
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