Le bombardement de Lyon par les Alliés, le 26 mai 1944, a fait plus d'un millier de victimes parmi les civils, traumatisant la population.
Pour le maire d'arrondissement, Christian Coulon, marquer le 65e anniversaire de cette journée noire est une « initiative d'une très grande maladresse ».
Le premier magistrat de l'arrondissement voit dans cette cérémonie, une remise en cause des Etats-Unis, à l'image du gouvernement de Vichy en son temps.
D'où l'accusation de pétainisme et même de négationisme à l'encontre du président du CIL, Eddie Gilles Di-Pierno, le porteur du projet de sauvegarde de l'abri antiaérien.
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