Lars Von Trier est un réalisateur danois, accessoirement fils de parents Juifs communistes et nudistes. C'est en songeant à un de ses films vu il y a plusieurs années que la lumière nous est apparue ce jour même...
En effet dans "Les Idiots", Lars met en scène des adultes se regroupant en communauté dans un manoir et dont le hobby est de simuler une déficience mentale en permanence. Ces handicapés mentaux s'adonnent d'ailleurs à des partouzes qui finissent souvent dans des extrémités délirantes. Des relations sexuelles de groupes entre handicapés mentaux: voilà bien de quoi nous faire poser des questions sur l'origine d'un tel scénario... Le discours du film est simple, c'est une "critique de la société bourgeoise" par trop "politiquement correcte" qui ne répond pas au "défi du handicap" par manque de créativité. Bref de ces salauds de Blancs qui ne comprennent rien au génie d'Israël qui lui sait bien utiliser ses tares...
Cette contre société imaginaire a donc la vertu de "questionner avec insolence" les "tabous" des européens "bornés". Et l'on sait que les "intellectuels" Juifs adorent provoquer "la société", "déranger", "provoquer" voire se faire "démanger" la société européenne. Ils sont comme ça les Juifs, tant que rien ne ressemble à leur mode de vie...
Bien sûr derrière ce message, il faut remettre les choses, donc le Juif, à sa place. Tout le monde comprendra alors que Von Trier opère, comme le font toujours ses congénères, par un transfert sur les Goyim des propres turpitudes qu'il a connu avec ses parents. Ainsi les "débiles mentaux" adorant les pratiques sexuelles déviantes sont ils en vérité les Juifs: le problème de Von Trier est cette société danoise "normale" qui refuse ses tares comme "allant de soi".
Plus tard il est question d'un mariage au sein d'une riche famille bourgeoise. Naturellement le marié est noir et la jeune fille est blonde. Ce genre d'attaque en règle contre la race blanche par promotion du métissage est typique de l'agressivité Juive. Le Judaïsme est en effet un acide très actif. Le Juif a une obsession: détruire l'homogénéité raciale blanche. Le film enfile ainsi les scènes ou les abrutis de danois n'ont de cesse de s'en prendre à un Jeune Africain sympathique, posé, sensible et compatissant.
Nous comprendrons en vérité l'angoisse du Juif Trier qui se sent rejeté dans la société danoise et qui transfert sur un Noir ses névroses personnelles, utilisant ce dernier pour se valoriser indirectement et mener une attaque en règle contre ces maudits aryens qui à part être xénophobes, brutaux, alcooliques et stupides n'ont pas de qualité en partage avec le peuple élu dont le portrait est l'exact et lumineux opposé...
Dans Antichrist le venin Juif de Von Trier prend toute sa dimension. Cette "oeuvre hors norme et dérangeante" est l'occasion pour notre patient de vomir l'Europe chrétienne et l'homme blanc dans les grandes largeurs. Avec la Juive Charlotte Ginzburg ("Gainsbourg") et le Juif Willem Dafoe (Sprissler) dans les rôle phares nous assistons à l'histoire en négatif de celle du Christ version "freudienne": le film débute alors que deux parents font l'amour et que leur enfant de trois ans se jette par la fenêtre (!). Par chagrin d'amour pour son enfant perdu, la mère va concevoir une haine sourde contre son mari au point de le torturer et de le... castrer ! On a le droit à des scènes de masturbation de Charlotte Ginzburg et autres choses du même acabit.
Ce petit film Juif nous permet surtout de voir que Lars a été lui aussi victime de l'inceste enfant, comme dans de nombreuses familles Juives. Il y a fort à parier que cette mère "castratrice" et "sadique" soit la mère du Juif Trier avec laquelle il a eu le droit à quelques "séances" assez particulière. On sait à quel point les mères Juives ont ce genre de tendances et ce n'est pas Aaron Spelling qui nous contredira.
C'est en tous cas assez "audacieux", "non conformiste" et "dérangeant" pour passer à Cannes et accessoirement faire de l'argent au détriment des Goyim qui n'auront pas compris que ce film est Juif, réalisé par et pour des Juifs.
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