mercredi 1 avril 2009

Le racisme Juif et la traite des Blanches en Israël

Caricature antisémite délirante


"Le Juif qui viole ou corrompt une femme non juive et même la tue doit être absous en justice, parce qu'il n'a fait de mal qu'à une jument. 

Le Talmud."

Voici un texte saisissant sur la réalité du racisme Juif et ses manifestations contre les femmes blanches aujourd'hui en Israël. La cruauté des bourreaux dépasse l'entendement, le sens de la "religion" chez les orthodoxes y est largement démasqué et la prime aux soldats Juifs payée en livre de chair blanche provoque de véritables nausées...



La destruction de l'entité sioniste est l'alpha et l'omega de toute politique étrangère sérieuse.



"La grande majorité des femmes trafiquées vers Israël vient de Roumanie et d'autres pays de l'ancienne Union Soviétique. Séduites par des agents du crime organisé, elles acceptent de partir en Israël, espérant gagner beaucoup d'argent. Les femmes sont habituellement des jeunes filles, comme "Anna" (son nom a été modifié), une roumaine de 23 ans qui a témoigné de son expérience devant une cour de justice en 2002.

Anna dit qu'en 2001 elle fût approchée dans sa ville natale par une femme israélienne nommée Shula qui lui promît un travail d'aide aux personnes âgées à Tel Aviv. Shula réserva un billet d'avion pour Anna en partance de Bucarest, mais Anna n'avait aucune idée d'ou l'avion pouvait atterrir. Quand il toucha le sol du Caire, elle crut être arrivée en Israël. Récupérée par une liaison, elle et un groupe d'autres femmes furent conduites à travers le désert dans une voiture décapotable, escortées par des Bédouins masqués et armés d'armes automatiques.

A deux heures du matin, ils quittèrent les voitures et marchèrent plusieurs heures et ensuite rampèrent sous une barrière de barbelés. Souvent, ce sont les Bédouins qui révèlent aux jeunes filles qu'elles vont devenir des prostituées au sein d'une organisation de traite des blanches, justifiant ainsi leurs propres viols.

"Aussitôt que je fus en Egypte, j'ai appris que j'allais être engagée dans la prostitution dans la ville balnéaire d'Eilat" dit une jeune fille. "J'ai essayé de fuir, mais un Bédouin m'a rattrapé et battu. Le matin quatre Bédouins m'ont violé, l'un après l'autre... Je saignais et je ne pouvais plus marcher, cela me faisait tellement mal à l'entre-jambe... Je voulais mourir." Après quoi Anna a été assez "chanceuse" pour ne pas être violée durant le chemin qui l'emmenait vers une destination inconnue. Elle fût prise en charge par un homme identifié comme George Ben Abraham Yosef, qui la conduisit à Tel Aviv.

Là, Yosef emmena Anna dans un hôtel et lui ordonna de se déshabiller dans une pièce remplie d'hommes. Il s'agit d'une "vente aux enchères". Comme des marchands aux ventes à bestiaux, les trafiquants inspectent la "marchandise" et misent sur les femmes qu'ils veulent acheter. "On place la femme au milieu de la pièce" dit une femme ayant participé à ce traffic. Les trafiquants touchent ses seins, ses fesses... Ils regardent sa langue, ses dents, pour voir si elle est en bonne santé.  Ils touchent ses parties intimes... Ils lui disent, "Avances, recules, poses comme un mannequin, plus lentement, voyons ce que tu vaux". Les trafiquants ne sont pas regardant sur le lieu de la vente. Un cas évoque qu'une femme fut mise à nue, inspectée et vendue pour 6000 dollars dans les toilettes pour homme d'un Mac Donald's.

Lorsque la ligne téléphonique d'aide aux femmes contacta Nomi il y a 5 ans de cela pour réclamer son aide, la traite des Blanches n'était même pas un crime selon la loi israélienne. Nomi, alors dans école de droit, n'était pas intéressé. Elle a étudié la criminologie et était plus intéressée par les criminels que par les victimes. Mais elle avait un atout pour cette ligne téléphonique: elle parlait roumain. "Bien que j'ai eu une vie très dure en Roumanie, j'en suis heureuse maintenant" dit Nomi. Sans le roumain, elle n'aurait jamais pu plus s'impliquer.

La ligne téléphonique la convainquit pour quelques heures de parler aux femmes emprisonnées. Ce que Nomi comprit à les écouter, la brutalité qu'elles subirent de la part des criminels et de la police, la choqua au plus profond de sa conscience: "J'ai commencé à me dire "quelque cloche vraiment dans ce pays à propose de ce problème". Deux heures de volontariat par semaine devinrent deux heures par jour puis 18 heures par jour. L'histoire d'une moldave vendue à 6 trafiquants différents encouragea Nomi à poursuivre. La femme voulait témoigner, mais la police ne voulait pas écouter. A ce moment les femmes victimes du trafic n'étaient pas considérées comme des victimes.

Les clients payent 150 shekels (25 euros), qu'Anna doit donner à son propriétaire. Pour chaque client, il lui redonne 4 euros avec lesquels elle doit payer contraceptis et nourriture. A la fin, il ne lui donnait plus rien. Selon d'autres femmes s'étant confiées à la ligne téléphonique, les tenanciers des bordels les font travailler 13 heures par jour, 7 jours sur 7. Elles doivent travailler durant leurs règles, utilisant des diaphragmes pour éviter que le sang ne coule.

"Les rencontres avec les clients sont courtes, 15 minutes", selon Natasha. Après que le client ait fini, elle courre vite à la douche puis retourne dans le salon d'attente glacial. Les clients qui fréquentent ces bordels sont des soldats israéliens. Les soldats en uniforme ont des réductions. Les Juifs orthodoxes mettent leurs kippas dans leurs poches quand ils entrent, puis les remettent quand ils partent.

Si le client est mécontent, la fille est battue. Mais comme une jeune fille de 18 ans le dit à la ligne téléphonique, "Ils nous battent de façon à ne pas laisser de traces, parce que les clients n'aiment pas voir des femmes avec des bleus".

Si une femme est malade ou enceinte, elle est emmené chez un vétérinaire ou une avorteur clandestin. Environ la moitié des femmes interrogées par la ligne d'aide disent avoir été incarcérées dans les bordels. "Essayes de t'échapper et je t'écraser la tête contre la porte" leur disent les trafiquants.

3000 femmes sont kidnappées chaque année à destination d'Israël."

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