Vous avez regardé cet épisode avec attention. Comme Hervé Ryssen l'a bien démontré dans Psychanalyse du Judaïsme, nous avons là un transfert typique sur les goyim, ici des chrétiens blancs, des névroses communautaires. Que voyons nous ? Une femme visiblement chrétienne, fermée, obtue et même folle dans un salon ou siège une énorme croix chrétienne: le message est clair, nous sommes chez des intégristes. Et comme tous les intégristes, il y a des sévices dans les familles, des tortures, des non-dits. Le réalisateur ne résiste pas au désir nous montrer la petite fille prostrée devant une Sainte Vierge: comprenez qu'elle a été punie et qu'elle devait prier la mère de Jésus comme châtiment (quelle horreur !), ce qui indique en plus que la famille est catholique...
Voilà l'image qu'ont et que donnent les réalisateurs Juifs de la famille catholique: violente, divorcée, obscurantiste et fermée... Une vieille haine tenace s'il en est et qui perdure.
Mais plus encore, n'oublions pas que les Juifs comme tous les paranoïaques inversent systématiquement les rôles: ce n'est pas une famille chrétienne, mais bel et bien une famille Juive. Vous noterez qu'une famille "intégriste" catholique divorcée cela n'arrive pas tous les jours... C'est en réalité un transfert inconscient des Juifs sur les goyim de leur propre vécu au sein de leurs familles ou visiblement le petit garçon (et le petit garçon seulement) a une relation "orageuse" avec sa maman qui le bat...
Vous imaginez donc que l'absence du père et la relation spéciale entre mère et fils (sado-masochiste) nous en dit très long sur ce qu'a connu le réalisateur dans sa communauté... En poussant un peu nous aurions eu droit à une scène d'inceste !
Merci à Céline !
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