*La présente lettre a été adressée à l'intéressé par mail
Addentum: l'impressario de Michel Onfray est le Juif Enthoven.
Au Juif synthétique Onfray
Cela fait quelques temps que je m'intéresse à votre nombril. Il me semble que vous prenez un soin particulier à façonner une tête si parfaitement pédante, cuistre, salope. J'ai su que vous étiez professeur: c'était donc cela ! Luisant, papillon, onctueux, vous vous êtes trouvé mon cher une combine pour lever de grasses étudiantes et les triquer à l'envie. Mais encore plus exhiber votre gigantesque phallus. Ô certes symbolique, rien que le signe, rien que le sous entendu, l'éclat de votre égo vicieux scintillant sous les néons. Vous avez, cher ami, une tête de satyre. C'est ainsi. On en guérit pas. On s'en soigne. C'est ce que vous faites. Je comprends vos complications, vos urgences, vos tracasseries. Vous devez vous faire prodigieusement horreur pour vous enferrez dans un tel narcissisme ! Édifiez les veaux pour sentir encore un peu de jus masculin dans votre visqueuse et âcre constitution gastéropodique. Il n'y avait guère qu'en France qu'un lubrique tel que vous eusse pu connaître quelque attention: on y pense pas, on y défile pour baiser. Notez que les aristocrates étaient baiseurs et officiers, tout se joint.
Vos lunettes pervers ! Rectangles comme des régiments, le perpendiculaire, le coin, le symbole du carré, du 4, de la masculinité ! Autorité angulaire et virile de professeur moussé, bulleux, crapoteux, baveux. Vos lunettes pour vous donner consistance Onfray, cheveux ondoyants pour votre féminité mal contenue par ces quatre bouts de feraille. Onfray homosexuel, Onfray garçon de café, Onfray voyeur, Onfray-masque ! Ah je connais votre genre, c'est l'évidence philosophe, Narcissique jouisseur, pervers à la petite semaine, petit sauteur de boîte de nuit, maquereau de faculté, gigolo pour vieilles putains aristocratiques et niaises, creuses, billes... et le gros pognon Onfray, le gros pognon qui fait rebondir le monde ! Onfray Barnum, Onfray Cirque, Onfray mi-Juif, Onfray tam-tam.
Votre tête ne me revient pas. J'ai pesé. J'ai calculé, avec les doigts, avec patience. J'observais moi aussi votre grosse tête en sulfure sur le cathodique, je l'ai vu... Votre petite organe mollasson, bande mou, trique demi ! Arf, vous exhibez, vous scrutez, cherchez la proie, la petite qui flairera le premier miel, posera, boira ! Baisée, rebaisée, ah partout Onfray, oui ! Le tuyau, la combine, Onfray psychanalyste, queutard freudien écrivaillon. Onfray, c'est désormais tout à fait officiel, tout à fait net. Je vous rancarde, je suis pas vachard, j'aurais pu resté silencieux, méditatif. Mais il y a des factieux, des bonhommes-matons, des chicotards ! Les fachhhhisssses. Et ma cravache Onfray je vous en garde une belle giclée dans la gueule, cher ami ! Avec votre demi contenance, oui, votre aristocratique professorale face de hyène, je vous l'administre avec l'application des nouveaux élèves !
Mais je reviens tout d'abord Onfray... Je resitue, je plante la gare, le décor, toi au milieu...
J'écoutais donc ton fiel Onfray que tu répandais encore sur les radios youtres. Tu diras "faut bien manger, faut bien sauter"... C'est à voir... Rien de neuf cependant, j'écoutais ton néant, tes considérations, je t'écoutais aguicher, putain, le client, "le numérique auditeur", le poisson pris dans le filet, le con automobiliste, garagiste, prolétarien stakhanoviste, chômeuse permanente ou quart temps. Ondoyant, argentique, ployant, comme ça dans les ondes Onfray, j'observais le spectacle: tout ça pour ça, jouisseuse, orientale, aux enchères, Onfray à vous, Onfray sur les rangs, Onfray avec son temps, Onfray dépasse le temps, les époques, Onfray présent, Onfray futur, Onfray modeste.
Mais bougre, tu as salivé sur Dieudonné. Et toi comme moi on sait l'objet, la vraie raison. Pas celle des officialités, des kommandanturs. Non. Les vraies, les très Juives raisons, les très réelles obligations. Toi aussi autoproclamé socialisant, auto-proclamé peuple, avec ta face de démembré exhibitionniste, ta montgolfière séditieuse versaillaise, Louis Philippard anarco-trotskyste, toi donc tout populaire médiatique, tout sécessionniste capitulard, tout combattant négociateur, tu sais les très exacts termes du contrat: sucer la bite Juive jusqu'aux amygdales à s'en faire péter les orbites pour exister toi aussi un peu. La bite Enthoven.
Ah je t'ai entendu, mais finalement, le plus vrai respectueux de l'ordre en place, de "l'autorité", c'est bien toi, couille, potager, c'est toi qui sais aussi quel anus flairer, quel cabot dérouiller, tu sais. Tu sais que malgré tes séparatistes muscaderies, tu noircis le papier que grâce au lobby, à l'internationale youtre, à la Bastille Juive, au seul grand syndicat légal, à la seule armée qui recrute dans tous pays, régions, bourgs, hameaux, les seuls au final qui ont su si complètement donné au fascisme ses lettres de noblesse: les déchets du Judaïsme coalisés.
"Sioniste" que t'es Onfray, c'est ce que tu dis. Nationaliste Onfray, pétitionnard. J'ai noté vois tu tes serviles manières, aguicheuses, putassant, clin d'oeil. Onfray tu donnes les gages, les pensées, tu gestapises au nom de l'Internationale, tu bourgeoises sur des piles, tu négocies avec Henri Lévy. C'est tout à fait clair, tu soupèses avec la dernière défécation Juive du Kahal ton absolu droit de faire fructifier ta bobine en pot de vinaigre... T'as tes rentes, tes avoirs, tu jauges, le grand Juif commande, tu actes, tu comptabilises, tu juifises... L'épicier Onfray, mystérieux, sombre, contemplatif... les chiffres Onfray... Israël Onfray, de compromis en circoncision appuyé au pilier de la foutrale épicerie...
Moi, demi-Juif synthétique, je te le dis tout net, tu vaux quand même mieux que le dernier des youpins nobelisés, le dernier des Kahn FMIsés, le dernier des Sarközy républicanisés, parce que même dans ton petit vomi, dans ta petite guitoune, dans ta boîte à passes, ta carcasse aryenne vaut quand même un milliard de fois toute la grande foutrerie mosaïque, toute la grande réunion sionistique, toute la coalition sidérale du Judaïsme tonitruant. C'est question de race, Onfray. Mais aussi de principes. Onfray, papa Juif te fait caca dans la bouche pour ta plus foireuse demi-minute de gloire... C'est l'option... La seule Onfray pour les demi prépuces en formol comme toi ! C'est le contrat, le contrat Juif, la judaïque promesse...
Onfray, finalement, le rabbinat avait des vertus pour le pilpoulard que tu fais. Ta production nerveuse aurait trouvé matière à se fatiguer, dans les recoins tordus du kabbalisme. C'est aussi bien que tes attentats à la pudeur contre le bas peuple, salope, c'est visé... Onfray à la synagogue, Onfray quart youpin...
Mais c'est pas encore fini tout de même malgré le rapport de force, c'est pas encore tout à fait dit qu'on te retrouve pas pendu par des salafistes le jour du grand soir, ton grand soir, pucelle, le vrai, pas celui de Marx-Juif, celui des autres, de tous les autres, celui de la revanche, Onfray, toi tout pendu, tout raide, tout pogrom aussi, pareil pogrom ! T'auras mérité ta part de gloire torahique ! Avec le succès comme avec les défaites ! Aux Juifs à la vie à la mort ! Sans gonzesses Onfray, salement liquidé, NKVDisé...
Patience...
BLL
Article sans valeur, inutile, grotesque et irrespectueux !
RépondreSupprimer