jeudi 2 avril 2009

"L'antisémitisme": ce mot qui ne veut rien dire...

Nous rappelons que nous ne sommes PAS "antisémite". Non pas pour faire sympa, mais parce que ce mot ne veut RIEN dire.

C'est un terme qui essaie de faire croire que lorsque l'on parle du Judaïsme, du sionisme international et de son projet, on parle en réalité de "race" et donc de "racisme contre les Juifs". Outre le fait que "l'anti" sémitisme suppose qu'il y ait un "sémitisme" que nous n'avons jamais trouvé défini quelque part (et pour cause), ce terme laisse entendre que le Juif serait ennuyé en raison de son appartenance "raciale" aux populations sémitiques.

Il est prouvé et archi-prouvé que 90% des Juifs ne sont pas purement sémites depuis la conversion massive des Khazars. L'apport de sang Juif a pu, dans certaines communautés closes et très endogames, préserver un certain "type" Juif sémitique. Mais cela reste très imparfait comme le démontre le cas d'Arielle Dombasle par exemple. Il y a un type Juif, certes, mais largement dominé par les apports postérieurs.

Ainsi les Juifs de l'est, les Ashkénazim, ont donc des origines très diverses et très peu sémitiques. Ce n'est que l'adoption de la loi Juive et de l'endogamie allant jusqu'à l'inceste dans les petits villages Juifs de l'est qui a donné cette unité mentale et inconsciente des populations Juives. Avec toujours ce sentiment d'être partout chez soi et nulle part le bienvenu, aboutissant in fine à une haine réciproque avec des autochtones toujours accueillants puis vite hostiles et enfin violemment anti-Juifs.

A ces régiments orientaux de Juifs s'ajoutent ceux de Méditerranée qui ont conservé d'avantage les traits sémitiques premiers. Ils ont évolué dans les peuples bordant cette mer avec tantôt de grandes réussites, tantôt de lourdes défaites. 

Partout cependant, c'est le maintien de la loi, le sens de la filiation et et de la "race" qui maintint étonnament malgré les apports cette identité à la fois séparatiste et dominatrice. Pour cela il fallut depuis l'errance adopter la stratégie du réseau international et de la division des autochtones, ce qui n'est en somme qu'une diplomatie asymétrique.

Partant de ce constat, ayant compris le rôle de la circoncision, de l'inceste, de la loi mêlant élection et séparatisme et enfin messianisme universaliste, nous comprenons la particularité Juive, qui n'a rien à voir avec une notion raciale exclusivement. Si bien qu'aujourd'hui, malgré la large défection des choses de la foi par les Juifs, il demeure une "filia", une connivence mutuelle sur les valeurs, ce qui est tout à fait original pour un peuple dispersé.

On pourrait ainsi comparer l'humanitarisme actuel des européens à la charité chrétienne de jadis, qui était codifiée et encadrée. Diffuse elle se manifeste anarchiquement mais démontre qu'elle a structuré les esprits de nombreux européens même devenus athées. C'est la même chose, dans un autre registre, pour les Juifs.

N'ayant pas à faire à une race de par son métissage à travers les millénaires, n'ayant certainement pas à faire à des "sémites", il ne saurait donc être question "d'antisémitisme". 

Alors de quoi ?

Et bien "d'anti-Judaïsme", ce qui est une notion de taille. C'est en effet par la philosophie teintée de millénarisme inhérente à la mentalité et à la culture Juives que nous reconnaissons le Juif. En ayant compris que le Judaïsme est la forme diffuse d'une même pathologie cristallisée dans une structuration mentale, nous comprenons que le Juif est qualifié par son discours et sa pratique communautaire culturelle.

Le Judaïsme est d'une incroyable diversité, divisée en une multitude de clans, des athées aux croyants, des marxistes aux libéraux, des nationalistes aux pacifistes. Mais tous partagent un corpus de valeurs identique qu'ils interprètent à leur façon et dont le but est la réalisation de la mission du Peuple Juif, dans son élection, d'instaurer une Paix mondiale. Du moins une certaine paix. Le fait que personne ne leur demande rien ne les effleure pas un instant. Les rejeter, c'est pour eux les haïr. S'en suit une valse faite surenchère "de lutte contre l'antisémitisme".

Bien niais celui voit le Judaïsme comme une religion, puisqu'il s'agit d'un projet politique dont les bases émanent de la névrose diasporique. Ce projet est appelé aujourd'hui "sionisme" que nous qualifions "d'international".

Les ahuris qui interpètent le sionisme comme une doctrine limitée à la Palestine n'ont rien entendu au sionisme. La colonisation de la Palestine n'est qu'un volet d'une ambition plus vaste, d'une attente inquiète. Israël est la tête, le trône, ou doit siéger le "Messie" des Juifs et singulièrement en lieu et place du Temple de Salomon dont la reconstruction est programmée mais suppose la destruction de la mosquée Al Aqsa.

Donc aucun antisémitisme en ce qu'il viserait des individus par "appartenance raciale", le concept étant inopérant dans le cas présent. Il s'agit donc résolument d'anti-Judaïsme et d'anti-sionisme et s'applique à tout Juif qui agit en suivant la ligne de ces deux constructions idéologiques. Nous avons ainsi salué Mr Dommergues qui a magistralement fait le portrait de sa communauté culturelle, détaillant point par point la névrose Juive, les problèmes qu'elle engendre d'abord et avant tout pour les Juifs eux mêmes. Ce monsieur avait été guéri du Judaïsme en comprenant les égarements des siens. Comprendre ces errements, c'est en guérir.

Cependant nous ne pouvons nous permettre le luxe d'attendre que les Juifs se décident à faire leur méa culpa tandis qu'ils détruisent hystériquement les nations qu'ils approchent. Notre devoir est de dire non, de résister infatigablement. Et par nature le malade est convaincu d'aller bien et hait évidemment le médecin qui insiste au contraire pour lui démontrer sa pathologie. L'acharnement délirant des Juifs contre ceux qui pointent du doigt leur problème est la preuve par l'absurde du coté obsessionnel de leur comportement.

L'hystérie Juive est pathologique. Elle engendre des comportements délirants, une agressivité contre autrui. Ce dernier ne peut en retour que réagir et se défendre. Paranoïaque, le Judaïsme réagit à son tour en inversant l'accusation: c'est "l'antisémitisme" dont nous avons vu l'inanité. Cela peut mal finir comme le démontre l'histoire. Les Juifs devraient s'inspirer des chinois, vivant aussi en communauté: aucun bruit, aucune ambition de domination politique ou culturelle, stricte séparation. 

Voilà l'exemple d'une diaspora mature et sereine.

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