Les films Juifs sont caractérisés stylistiquement par un rythme hystérique ou alors par une platitude molle qui ne trompe pas. Mais le fond lui est immuable: promotion du métissage, haine du christianisme, des européens, etc.
Une nouvelle fois nous visionnons donc un film dont nous ignorions tout. Dès les premières minutes nous savons que nous avons là un superbe cas de film Juif.
L'histoire en elle même est des plus convenues et indique qu'il s'agit d'une commande commerciale: cinq soldats américains se battent en Irak. L'un meurt dans une embuscade, c'est l'occasion de rentrer au pays pour enterrer le collègue mort. S'en suit un long, maladroit et pénible panorama psychologique de ces américains qui reviennent aux USA pour un bref instant. Le ton est résolument dépressif, les images répétitives à souhait si bien que l'idée du suicide traverse l'esprit du spectateur. Pour tout dire, nous l'avons vu en 30 minutes au lieu de 90 mais croyez nous, c'est déjà 10 fois trop de temps accordé à un de ses petits gribouilleurs Juifs d'Hollywood sans envergure artistique. On note au passage que les irakiens sont des débiles enturbannés qu'on ne voit que pour tirer sur les soldats américains et hurler comme des animaux: c'est vrai les musulmans sont tous des animaux hystériques avec des lance-roquettes, tout le monde sait ça.
Mais surtout dès le début, le coeur du scénario repose sur l'histoire d'amour d'un des cinq soldats, un afro-américain, et de sa petite amie, une jolie blonde aux yeux verts.
Après bien des hésitations tout est bien qui finit bien, notre soldat saute le pas et se marie, ce qui tombe à pique puisque sa petite amie se découvre enceinte. On apprend qu'ils "vivent heureux ensemble" une fois la guerre finie et qu'ils élèvent dans la joie "leur enfant". Ouf !
Manque de chance pour les blancs restant, l'un se suicide pour ne pas aller au combat, un autre a perdu une jambe et n'a plus de succès avec les femmes, quant au dernier il survit dans un hôpital psychiatrique. C'est comme ça qu'on les aime les blancs à Hollywood...
Vous le comprenez vite: être blanc c'est dépassé et plutôt les européens se métisseront une bonne fois mieux cela vaudra, il en va de leur bien et comme vous le savez les Juifs sont toujours soucieux du bien des autres, surtout des blancs. D'ailleurs ces salauds de chrétiens pourront par la même occasion remiser au placard ces vieilleries patriotiques et nationalistes (le drapeau américain est toujours associé à un enterrement ou une mort) qui ensanglantent le monde pour la plus grande détresse du Judaïsme.
Vous avez aimé ? C'est du réalisateur Juif Sidney J Furie qui a parfaitement raison d'insister sur l'ambition vorace des blancs de l'armée US, bien loin du pacifisme humaniste Juif des Kissinger, Wolfowitz, Sharon, Netanyaou, Liebermann, Kouchner, etc.
Naturellement doté de votre miroir vous lirez le vrai message à l'envers, car comme tous les paranoïaques, les Juifs inversent en permanence. Vous comprenez quelques aveux inconscients sur les Juifs eux mêmes : le suicidé n'est autre que l'israélite ne voulant pas aller à la guerre pour une nation qui n'est pas la sienne (même si la guerre en Irak est bien Juive!), fait avéré par le fait que le seul acteur Juif (Nick Abraham) soit celui qui se suicide ! Quant au malaise de ces jeunes face à leur pays dans lequel ils ne reconnaissent pas et qui finissent fous ou marginaux, ce n'est autre que celui des Juifs dans une société étrangère !
Remercions tout de même les Juifs de nous faire payer pour écouter tout le bien qu'ils pensent de nous (quoique nous n'ayons rien payé du tout).
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