vendredi 3 avril 2009

"Unborn": la haine du blanc et le refus du métissage chez les Juifs

Dans "Unborn", le réalisateur Juif David Goyer dépeint 
très bien le visage morbide du Judaïsme 
qui sommeille dans l'inconscient Juif, 
comme l'illustre l'affiche du film


Nous venons de voir un film qui porte encore toutes les caractéristiques de la névrose Juive. Il s'agit de "Unborn" qui signifie en anglais "non-né" ou "fausse-couche". Avec un titre comme ça, chers lecteurs, vous vous doutez que le film tient toutes ses promesses...

Le genre est résolument de "science fiction" est c'est tant mieux car on aurait du mal à classer ailleurs les névroses du Judaïsme.

Quelle est "l'histoire" ? C'est fort simple... et compliqué comme d'habitude. Vous noterez d'ailleurs que des éléments reviennent comme le Miroir du film Juif d'horreur "Mirrors" (qui lui était encore plus agressif que ce film). Cela se passe aux USA, dans une ville froide, c'est l'hiver, qui pourrait bien être Chicago. Une jeune fille rencontre lors de son footing un enfant aux yeux très bleus qui se transforme en chien doté d'un masque. Surpris, elle le suit dans un bois ou elle retrouve le masque (retenez bien cette histoire de masque, qui symbolise une apparence trompeuse derrière laquelle son se cache). Il est lié par une ficelle à quelque chose d'enterré (donc de caché), elle trouve en fait un foetus dans un bocal (on sait que les Juifs sont obsédés par le meurtre de nourrissons). Le jeune fille se réveille: c'est un rêve !

Il s'avère que la jeune fille fait du baby sitting et que l'enfant qu'elle garde est debout alors qu'il devrait dormir: elle l'entend par le talkie walkie dédié à sa surveillance parler à son jeune frère, encore bébé. Alors qu'elle monte pour vérifier si tout va bien, elle le trouve en train de faire regarder son frère dans un petit miroir carré (décidément !) en disant "Si tu continues à regarder, tu vas le voir". On n'en saura pas plus, puisque le jeune garçon lance le miroir au visage de la jeune femme en se retournant. Plus tard la copine de celle ci lui apprend que cela signifie que le bébé va mourir rapidement, d'après "certaines croyances". Ce qui arrive.

Et de fait, des évènements étranges arrivent et notamment le fait que des miroirs bougent tout seul. Pire la jeune femme dans sa salle de bain entend quelque chose frapper derrière ce dernier: il y a bien quelque chose de l'autre coté, quelque chose de très laid, quelque chose d'hostile. On sait que dans "Mirrors" il y avait aussi quelque chose de hideux "derrière le miroir"... En fait elle voit en ouvrant son armoire à pharmacie le jeune enfant aux yeux très bleus hurler: il est laid et agressif. C'est une hallucination...ou un fantôme.

Le petit ami de la jeune fille intervient et la réconforte.

Seulement les apparitions se multiplient. On apprend alors que la mère de la jeune fille est morte en dépression et que cette dernière avait retrouvé sa mère biologique. On comprendra par la suite qu'elle était victime comme sa fille d'un mal étrange et que c'est en faisant des recherches dans son passé qu'elle trouva le nom de sa mère réelle.

Toujours est il que les yeux de la jeune fille changent progressivement de couleur: ils deviennet bleus ! Le médecin lui dit que dans des cas "très rares" les jumeaux dans le ventre de la mère peuvent échanger leur sang par accident et que cela entraîne des mutations génétiques de ce genre. La jeune femme apprend alors par son père, qu'un autre, un jumeau (un double à relier avec le miroir qui renvoie l'image exacte de soi tout en étant différent, ou encore le masque), est mort né dans le ventre de sa mère. Il n'avait pas de nom, juste un surnom donné par ses parents ("Jumpy", celui qui saute littéralement).

Finalement la jeune fille décide de rencontrer sa grand mère biologique, celle qu'avait rencontré sa mère. Et là le Judaïsme commence à mettre carte sur table ! En effet la grand mère est une "survivante de l'holocauste" ! La jeune fille parle de son problème, montre les photos de sa mère. Rien n'y fait, la grand mère n'en dira pas plus avant de sa raviser et d'expliquer qu'elle est victime d'un "dibouk", un esprit connu de la cabale qui est perdu et qui ne va ni dans l'au delà ni sur terre. C'est un mort prisonnier de l'entre deux mondes. La grand mère lui conseille un rabbin. Cette grand mère a eu par ailleurs un frère jumeau, détail important pour la suite.

Etonnament le film ne s'appesantit pas sur "l'horreur des camps de la mort". Nous avons juste droit à une petite histoire importante: petite fille déportée, la grand mère atterrit à Auschwitz avec son jeune frère. Le docteur Mengele, "beau et très gentil", faisait des expériences affreuses sur eux. Et notamment certaines expériences afin de faire "changer la couleur des yeux" et comprendre la génétique en faisant des recherches sur les jumeaux. Quand le jeune frère revint dans le baraquement la jeune soeur "comprit" qu'il n'était plus lui et qu'autre chose était dans son corps: un "dibouk" ! Elle le tua...

Mais le dibouk est vicelard et il continue à tenter de revenir pour essayer de s'emparer d'un corps habitable. Le salaud !

Progressivement celui-ci essaie de tuer tous ceux qui aident la jeune femme, Juive depuis que nous savons que sa grand mère maternelle l'est aussi, à repousser ce démon. Sa meilleure amie noire meurt tuée par lui malgré un avertissement. "Il va essayer de tuer tous ceux qui veulent t'aider" avertit la grand mère qui à son tour meurt, tuée par le fameux démon qui pour l'occasion a pris corps dans un pensionnaire de la maison de retraite ou elle vit et qui s'appelle "Elie". Elle a eu le temps de remettre une lettre à sa petite fille ou elle lui confie qu'il faut "terminer ce qui a commencé à Auschwitz".

Le rabbin décide alors un exorcisme, bien qu'il avoue ne rien y connaître et ne pas y croire (!). Un rabbin athée en quelque sorte, petite pique naturellement destinée aux religieux de la communauté que le réalisateur doit bien connaître et auxquels il adresse une petite farce amicale.

L'exorcisme rassemble dix personnes volontaires dont un prêtre noir, le tout dans l'ancien hôpital ou sa mère s'est pendue (les Juifs se suicident souvent) et qui n'est autre qu'une ancienne église (ce qui est logique). Son petit ami au final reçoit le "dibouk", très énervé et essaye de la tuer. Elle et le rabbin en évoquant les textes sacrés neutralisent le démon, non sans avoir tuer le jeune petit ami blond qui expire heureux d'avoir sauver sa juive de fiancée.

C'est réalisé par David Goyer avec dans le premier rôle Odette Yustman.

Alors qu'est ce que tout cela ? Avez vous compris le sens ? Non ? 

Bon, on vous aide...

La thématique est Juive et le réalisateur et scénariste Juif ne s'est pas caché de cela. Il y a tout d'abord l'idée d'une double identité, l'une ouverte, l'autre secrète. Celle ci veut détruire la première, elle est agressive et meurtrière. Ce démon cherche à s'emparer du corps des Juifs et à tuer ceux qui veulent les aider à résister (comme le prêtre noir, sa meilleure amie noire ou le rabbin).

On comprend donc qu'il "faut terminer ce qui a commencé à Auschwitz" c'est à dire pour les Juifs tuer le démon qui a cherché à détruire les Juifs comme peuple et à les transformer en aryens en leur changeant notamment la couleur des yeux. Le démon a les yeux bleus, rappelez vous en.

Si l'on souligne le fait qu'à la fin celui qui cherche à tuer le jeune Juive est son petit ami goy aux cheveux blonds, qui pour l'occasion possède de dangereux yeux bleus étincelants comme l'acier sous le pouvoir du dibouk, ce n'est bien sûr pas un hasard ! 

Le message clef du film est que le démon cherche à METISSER le peuple Juif en le poussant à se mêler avec des goyim, singulièrement les aryens qui ont historiquement "depuis Auschwitz" cherché "à tuer" les Juifs. D'ou la teinte bleue que prennent les yeux de la jeune Juive par étape ainsi que celle du démon lui même. D'ou l'idée de "double identité" par le fait qu'elle est ait eu un jumeau (son père est goy) mais qui soit mort. Cette jumélité symbolise une double identité originelle dont l'une doit disparaître: clairement entre l'identité juive et l'identité de l'autre parent. C'est ce combat entre assimilation et affirmation Juive dont parle film. 

Le réalisateur Juif Goyer évoque ici sa peur psychopathique du métissage des Juifs dessuites de leur dispersion volontaire et de leur fusion progressive dans la population blanche (petit ami goy).

C'est une peur récurrente chez les rabbins, qui y voient la continuation d'Auschwitz en plus grave !

Voilà qui explique pourquoi l'exorcisme a lieu dans une église et pourquoi la mère s'est pendue dedans: il s'agit de combattre les Juifs tentés de se convertir à la religion des goyim blancs et qui de toutes façons ne peuvent qu'y être malheureux. La mère de la jeune fille a ainsi déprimé jusqu'au suicide en raison de son alliance avec un goy (du moins c'est ce que dit le réalisateur) incarné par les persécutions du démon aux yeux bleus, c'est à dire de son combat intérieur entre assimilation et identité Juive

Et dans cette délivrance, les minorités ont aussi une aide à donner, voilà pourquoi les noirs sont mis en avant: ils sont les utiles pions contre le blanc ! Des pions par ailleurs menacés par le "dibouk", l'aryen, toujours assoiffé de sang. Vous comprenez donc toute la considération des Juifs pour les Noirs et le rôle qu'il leur prêtre: shabbat goyim !

A la fin bien sûr, tout est bien qui finit bien: son petit ami aryen est mort, le métissage n'aura pas lieu. Ou presque ! Elle est enceinte ! Et tout recommence puisque le film montre l'enfant dire "Jumpy doit naître" ! Jumpy c'est le blanc produit du métissage jeune fille Juive-homme blanc !

Vous réalisez ainsi que pour le réalisateur il y a une lutte à mort à mener pour la survie du peuple Juif comme entité biologique et que cela passe par la mort de l'homme blanc, la main tendue aux minorités raciales, le refus du christianisme et l'invocation du Dieu de la Torah auquel les rabbins ne croient pas (sic) !

Ouf ! Le métissage est donc bel et bien destiné à l'exportation pour nos amis Juifs.

Mais attention, ce n'est pas tout ! Nous parlions de miroirs et de démon goy, singulièrement aryen. Comme dans le film d'horreur Juif du même nom "Mirrors", le blanc doit mourir. Mais précisément parce qu'il s'agit de miroir, une fois le décodage fait, il faut encore inverser la lecture pour qu'elle prenne tout son sens ! 

Comme tous les paranoïaques, les névrosés Juifs inversent entre victimes et bourreaux. A l'aide vous aussi de votre miroir, vous comprendrez donc qu'en réalité et dans un transfert typique, c'est bien le blanc qui est menacé de mort par le démon Juif, que celui ci essaye de le métisser et que dans son combat, il doit s'associer aux autres peuples pour résister au "dibouk", à l'esprit diabolique qu'est le Judaïsme. C'est le démon Juif qui essaye de tuer ceux qui l'aident à survivre et qui se cachent sous de fausses apparences blanches, sous le "miroir" de l'assimilation trompeur ! Le conflit intérieur dépeint aussi la condition intérieur de l'homme blanc occidental tiraillé entre sa nature profonde et son environnement qui le pousse au métissage obligatoire et à la distorsion de ses valeurs culturelles. Cela est en outre valable dans tous les pays ou les névrosés Juifs jouent les agitateurs !

Enfin il faut ajouter un dernier niveau de lecture: ce film est l'aveu qu'en réalité le Judaïsme lutte contre les Juifs pour qu'ils ne deviennent pas des gens normaux et qu'ils restent enfermés dans leur prison Juive. Le dibouk est en fait le Judaïsme persécuteur des Juifs eux mêmes ! Le film avoue inconsciemment la volonté secrète des Juifs d'en finir avec l'intenable double identité qui les traumatise, du double jeu permanent qui les déchire... Avec à la clef un appel purement sado-masochiste typique: tuer le Juif pour libérer le Juif, tuer le Juif pour libérer l'aryen (meurtre du petit ami qui doit être vu par inversion comme le Juif). Les Juifs espèrent secrètement un châtiment, espérance inquiète que prouve la "vigilance" contre "l'antisémitisme"...

Voilà encore un exemple éclatant de la névrose Juive et de son agressivité contre les peuples et tout spécialement contre les peuples de souche européenne mais aussi contre les personnes d'origine Juive que le Judaïsme détruit depuis longtemps. 

Le réalisateur a donc raison de dire que le film est "basé sur une histoire vraie". Il démontre par ailleurs l'incroyable homogénéité idéologique et névrotique de la communauté Juive puisque ce film a exactement le même scénario que le film "Mirrors" bien soit écrit et réalisé par un autre Juif il y a plus de 60 ans, à ceci prêt que les personnages et les lieux changent pour l'occasion.

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