mercredi 8 avril 2009

Un Juif qui voit clair et le fait savoir à Oxford


Gilad Atzmon est quasiment guéri de la pathologie Juive


Un excellent article de Gilad Atzmon qui vient soutenir notre position: "l'antisémitisme n'existe pas". Gilad est "d'origine Juive" et a tenu face à deux sionistes radicaux membres du journal anglais The Jewish Chronicle, Nick Cohen et David Aaronovitch, un discours des plus décapants à Oxford. 

La conférence diffusée sur le site "Palestine Solidarité" ne manque pas de sel. Il faut le lire en son entier pour constater à quel point les Juifs en voie de guérison du Judaïsme sont minorisés par le Kahal et à quel point ils sont proches de nos positions ("L'antisémitisme" n'existe pas).

Tout d'abord Gilad dépeint très bien le comportement hystérique Juif que l'on retrouve chez les doctrinaires Juifs:

"Malheureusement (pour Aaronovitch), son plan a queuté : il n’y eut aucune réaction notable, dans l’assistance. Il n’y eut pas le moindre soupir de désapprobation. Et pourtant, il faut dire la vérité, Aaronovitch est un acteur épique mélodramatique très talentueux. Il a brillamment sur-dramatisé mes idées, il a magnifiquement souligné les diverses nuances des différents mots commençant par un « J ». Avant de les prononcer, il ralentissait, il me fixait du regard avec un mépris exagérément appuyé, il gloussait, attendant que la foule se joigne à lui."


"Pour une raison qui m’échappe totalement, Aaronovitch et Cohen n’ont pas compris que l’Université d’Oxford n’était pas exactement une yéshiva. Ni non plus un territoire occupé. Ils n’ont pas compris qu’il ne leur appartenait pas, ni au Comité de la Hasbara [propagande] Israélienne, de décider qui était, ou non, autorisé à participer à un débat public. Au minimum, nos deux fomenteurs de guerres auraient du avoir l’intégrité intellectuelle minimale leur intimant de s’exclure de la vue du public, pour avoir prôné une guerre qui a entraîné un génocide. Nos deux fomenteurs de guerres auraient du avoir suffisamment d’honnêteté pour prendre conscience du fait que s’il y a de l’antisémitisme, comme ils le disent, la cause première d’un tel phénomène ne peut être qu’eux-mêmes."

Là ou la masse nous accuse d'obsession et de délire paranoïaque, Gilad Atzmon ne fait pas d'autre constat:

"Apparemment, Aaronovitch n’a pas pris conscience du fait que les gens, là, autour de lui, lisent les informations, de temps à autre. Ils lisent des choses à propos de Charles Freeman et du lobby juif, ils lisent des choses à propos de l’escroc Madoff, de « Lord » Caisse Enregistreuse Levy, du donateur (au parti travailliste) par délégation David Abrahams, des Amis Travaillistes d’Israël, d’Alan Greenspan et de l’effondrement de la pyramide financière. Les gens se rendent bien compte qu’il y a une flopée de juifs sionistes éminents qui se trouvent aujourd’hui dans l’œil de pas mal de cyclones (Irak, finance, Gaza…) Aaronovitch, qui a lui-même reconnu surveiller mes écrits depuis des années, aurait quand même dû intégrer que PERSONNE, en dehors du ghetto juif, ne prend ombrage de mes observations quant à l’excessif lobbying juif et quant au pouvoir du sionisme. Si quelque chose a changé, c’est au contraire le fait que ma dénonciation du tribalisme politique m’a rendu de plus en plus populaire auprès de publics de plus en plus larges."

Toujours plus fort:

"Apparemment, c’est à l’évidence l’absence d’engagement éthique et d’intégrité intellectuelle qui repousse Cohen et Aaronovitch vers ce à quoi ils appartiennent, j’ai nommé le cyber-ghetto cachère insulaire ségrégué." 


"En ce qui concerne le débat public, le tribalisme juif, le sionisme et les préceptes néoconservateurs sont totalement indéfendables. Nous remporterons toutes les batailles intellectuelles contre ces fomenteurs de guerre, pour la simple et bonne raison que nous sommes moraux, authentiques et cohérents. La seule chose que nous ayons à faire, c’est survivre à leur bourrage de crâne et à leurs diffamations sans fin.

Aaronovitch ayant fini de citer mes « perles », Nick Cohen monta à la tribune. Il a parlé des Sages de Sion. Et, comme Aaronovitch, il s’est lamentablement planté. Il est clair que les lobbyistes sionistes croient réellement qu’en se focalisant sur un texte du XIXème siècle, ils parviendront à détourner l’attention des puissants Sages actuels qui font du lobbying poussant à de plus en plus de conflits planétaires et de pillage biblique. Cohen, j’imagine, doit être convaincu que tant que les Protocoles resteront vivants dans nos esprits, il sera à même de préconiser des guerres sans même que nous le remarquions. Il est sûrement cinglé. Nous le voyons, nous voyons tout ce qui se passe, et ce que nous voyons ne nous plaît pas du tout.

J’étais également prêt à admettre que certains juifs ethniques innocents sont pris au milieu de tout cela. C’est effectivement un problème grave, et je n’ai pas de réponse simple à proposer. Pourtant, je tiens à mentionner que mon épouse, mes enfants, et quelques-uns des membres de mon orchestre, qui se trouvent être d’origine juive, n’ont jamais été confrontés à une quelconque forme d’agression antisémite. Si nous avons relevé quelque violence, ce fut toujours, d’une manière ou d’une autre, une violence juive contre nous, prenant la forme de menaces de mort, de diffamations, de calomnies et de ragots.

1. Comment se fait-il que les pourfendeurs de l’antisémitisme, tels qu’Aaronovitch et Cohen, soient, comme par hasard, également compromis jusqu’au cou dans de grotesques déclarations islamophobes ? 

La réponse est très simple. Ceux qui nous font des sermons sur l’antisémitisme ne sont ni des humanistes ni des universalistes ; ce ne sont que de banals activistes tribaux, voués à la défense des intérêts de leur groupe ethnique et exclusivement dudit groupe ethnique. Les très rares Gentils qui, sporadiquement, se font les avocats de ce discours immoral ne le font qu’exclusivement pour des raisons politiques. Dans la terminologie juive, on les appelle les « Sabbath Goyim » [1]. Leur seule raison d’être est de travailler pour les juifs, et ils en sont amplement récompensés.

2. Nous avons de bonnes raisons de penser qu’Aaronovitch et Cohen savent parfaitement que les juifs ne sont pas les descendants de gens d’origine sémitique et qu’ils ne constituent aucun continuum racial. Pourquoi, alors, essaient-ils de prétendre que la négation des juifs serait motivée par des considérations racistes ?

Encore une fois, la réponse coule de source. Le propagandiste ethnique juif ne peut qu’inventer, tricher et diffuser des bobards, en permanence, pour la simple raison que l’idéologie juive (de droite, de gauche et du centre) ne peut être défendue, ou argumentée, en termes rationnels ou éthiques. Toutes les différentes formes que prend le discours nationaliste politique juif sont exclusivistes, suprématistes et racialement connotées (bien que les juifs ne constituent absolument pas une race, toute forme de politique juive est catégoriquement raciste, jusqu’à la moelle. Il s’agit, toujours, de telle ou telle forme de club « réservé aux seuls juifs »).

Qu’est-ce qui fait d’Aaronovitch un propagandiste tribal juif ? C’est, par exemple, le fait qu’il appartienne à l’Israel Hasbara (2) Committee, dont il est l’un des auteurs. Ce Comité israélien à la propagande (héb. Hasbara), qui liste Aaronovitch parmi ses écrivains, déclare qu’il a pour mission :

« De promouvoir la compréhension du judaïsme et d’Israël ».

Connaissez-vous un seul goy qui soit engagé dans la « promotion » du judaïsme ET d’Israël ? Oh oui : Aaronovitch a encore à sa disposition une piste d’entourloupe qu’il n’a pas encore explorée. Il peut nous suggérer qu’il est, en réalité, un « chrétien sioniste »

Ce qui fait d’Aaronovitch un juif n’a rien à voir ni avec son obédience religieuse ni avec sa foi. Cela n’a rien à voir avec l’ethnicité de ses parents. Cela n’a rien à voir non plus avec la forme de son pif ou le bout de son robinet. Ce qui fait d’Aaronovitch un juif, et un juif sioniste, pour être précis, c’est son affiliation avec l’école politique nationaliste juive la plus rabique et la plus notoire. Ce qui a fait qu’Aaronovitch a été tellement dépité et méprisé à Oxford n’avait rien à voir avec l’origine de son père. Non, ce qui était en cause, c’était en réalité sa politique sioniste et ses tactiques sionisées, c’était son dévouement au bourrage de crâne israélien, c’était le fait qu’il a fait du lobbying pour une guerre qui a fait, de nous tous, des criminels de guerre, une guerre qui a abouti au génocide d’un million et demi de civils irakiens innocents."

Et cerise sur le gâteau:

"Apparemment, il est davantage un patriote israélien qu’un patriote britannique. C’est là quelque chose que ses lecteurs, dans les colonnes du Times, doivent garder à l’esprit, lorsqu’Aaronovitch tentera d’entraîner son pays dans un énième conflit mondial dévastateur."

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