lundi 4 mai 2009

Pourquoi nous n'aimons pas les Yids

Jacques Crozemarie : ses mensonges, son suicide 

Jacques Crozemarie, ancien président de l’Association pour la recherche sur le cancer (ARC) est décédé le 24 décembre 2006 à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, à l’âge de 81 ans. Dans les années 90, on l’avait vu des dizaines de fois à la télévision dans des spots publicitaires. Avec toute l’autorité que lui conférait sa blouse blanche, il fixait les téléspectateurs dans les yeux pour convaincre toutes ces familles modestes, émues par l’appel, de lui envoyer une partie de leurs économies : "Donnez pour la recherche sur le cancer, rejoignez l’ARC !" Ces braves gens ignoraient alors que des centaines de millions de francs étaient détournés par l’escroc pour financer sa maison avec piscine de Riom, son matériel vidéo sophistiqué, l’aménagement de son appartement à Villejuif, la climatisation de sa maison dans le Var, les voitures de fonction, ses voyages en avion, ainsi que les salaires de ses domestiques et de ses maîtresses. Au moins 300 millions de francs avaient disparus entre 1990 et 1995, comme l’avait révélé le procès qui s’était ouvert au mois de mai 1999.

Dès 1988, son pouvoir sur l’ARC était qualifié de " quasi-théocratique " par l’Inspection générale des affaires sociales (Igas). Autocrate et orgueilleux, Jacques Crozemarie décourageait les critiques en poursuivant la presse et en encourageant les adhérents à écrire pour dénoncer les attaques contre l’association. Le scandale éclata au mois de janvier 1996. Le rapport de la Cour des Comptes révéla alors que seuls 26 % des dons pour la recherche reçus par l’ARC parvenaient effectivement aux scientifiques. Le reste de l’argent était détourné via des sociétés-écrans et un système de surfacturation. Crozemarie, en effet, avait confié ses campagnes de communication à la société International Developpement, dirigée par deux hommes d’affaires, Michel Simon et Pascal Sarda. La société surfacturait ses services et reversait aussitôt des salaires indus à l’escroc. 327 millions de francs étaient ainsi sortis de l’Arc, soit 8000 euros par semaine, en liquide.

Dans le Gang du cancer (Albin Michel, 1997), Jean Montaldo donne quelques informations sur ces deux personnages : " Ce sont les deux protégés de Crozemarie, écrit-il. Illettrés, incultes, les deux forbans pratiquent la langue de bois et le charabia des affaires avec le même brio que dans l’extorsion des dons récoltés par l’Arc pour les cancéreux. " (p. 45). Michel Simon est " un vrai meneur d’hommes ". Il est le fils d’une famille aisée qui s’est fait une réputation dans les produits de beauté. "Son père eut la chance de revenir vivant du camp de déportation et d’extermination de Mauthausen, où l’arrivée des troupes américaines l’a sauvé in extremis." (Et Montaldo aurait pu ajouter : "Comme 600 000 autres" ) Pascal Sarda , lui, "sera le mauvais génie de Michel Simon, l’alchimiste maléfique qui va lui apprendre à transformer le plomb en or, et ses magouilles, jusqu’alors artisanales, en grande industrie du vol, de l’arnaque, de l’escroquerie. Nous sommes au début des années Mitterrand, celles des golden boys, de l’argent facile, de l’argent sale." (pp.120-127) "Sans l’équipage Simon-Sarda, écrit Jean Montaldo, jamais les fervents cotisants de l’ARC, association caritative reconnue d’utilité publique, n’auraient pu être ainsi systématiquement détroussés, à une aussi grande échelle." 
Le Nouvel Observateur du 14 août 1996 nous apprend que le directeur financier d’International Développement était un autre israélite du nom de Ronald Lifschutz : "Début juin, la brigade financière s’est présentée à l’aube dans son immeuble, un HLM de la Ville de Paris. Pas de chance, le prévoyant locataire s’était envolé pour Israël depuis une bonne quinzaine." 

Jacques Crozemarie avait dû démissionner de la direction de l’association, mais continuait à clamer son innocence, et c’est sûr de son bon droit qu’en 1999, il se présenta devant le tribunal correctionnel, "engueulant" la présidente, lui reprochant de "ne rien faire contre le cancer", et allant même jusqu’à mettre en doute la compétence des magistrats de la Cour des comptes : "Ils ne savent pas compter !" Avec un culot phénoménal, il déclara ensuite devant les caméras de télévision : " Je serais un criminel si j’avais empoché le moindre sou. Regardez mes frais de représentation, ils sont nuls ! Je ne me fais même pas rembourser mes notes de restaurant ! " 
Le reportage d’Emmanuel Cohen, dans l’émission Secrets d’actualité du 26 mars 2006, le présentait affaibli en entrant dans le tribunal, s’aidant péniblement d’une canne pour marcher. Mais quelques heures avant, des photos prises à son insu le montraient pourtant dans une station-service, en train de marcher tout à son aise et sans l’aide d’aucune canne.

C’est aussi dans cette émission que l’on a pu entendre le témoignage de la comptable de l’association. Celle-ci raconte qu’un jour, elle lui avait fait remarquer que des factures étaient payées en double. Crozemarie fut alors pris d’une bouffée de colère et l’expulsa de son bureau, explique-t-elle, en la saisissant si fermement qu’elle en avait été littéralement "soulevée" et que ses "pieds ne touchaient plus le sol." 

Jacques Crozemarie fut condamné en juin 2000 à quatre ans de prison ferme, 380 000 euros d’amende et 30,5 millions d’euros (200 millions de francs) de dommages et intérêts à verser à l’ARC. Il fut arrêté dans sa villa de Bandol (Var), quelques heures après sa condamnation, et incarcéré à la prison de la Santé. Michel Simon avait écopé de trois ans ferme, 380.000 euros d’amende et 15,2 millions d’euros de dommages et intérêts. Cinq autres personnes avaient été condamnées à un total de 2,9 millions d’euros de dommages et intérêts au profit de l’ARC. Mais il n’en reste pas moins que sur les 300 millions qui s’étaient volatilisés, seuls 12 avaient été récupérés. Le reste n’avait pas été perdu pour tout le monde. A la suite de ce scandale, les fonds récoltés par l’association avaient chuté des deux tiers.

En octobre 2002, après 33 mois de détention passés à la prison de la Santé, Jacques Crozemarie avait été libéré, bénéficiant du jeu normal des remises de peine. Il continuait alors à clamer son innocence, et déclara, dans un entretien publié par Le Parisien : "Je ne suis pas un voleur. Je n’ai jamais compris pourquoi j’ai été condamné, et je ne le comprendrai jamais. Je ne veux pas finir ma vie condamné. Cela me révolte. J’ai payé pour rien ! J’attends toujours les preuves contre moi."

Contacté au téléphone dans une maison de retraite de la banlieue parisienne, en février 2006 (Secrets d’actualité) Crozemarie niait toujours : " C’est une plaisanterie ! ". 

On sait aussi que sa blouse blanche n’était qu’un déguisement de circonstance : le patron de l’ARC n’avait jamais été médecin. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur en radio-électricité, il était entré en 1954 comme "sous-chef de service" au CNRS, à 29 ans, sur la recommandation "d’un ami de sa mère". Il n’avait donc jamais étudié la médecine, ce qui ne l’avait pas empêché, chaque fois que l’occasion se présentait, de poser en blouse blanche auprès de sommités scientifiques. Grâce à son culot phénoménal, il était parvenu à contrôler tous les rouages de la principale association faisant appel à la générosité des Français et à flouer 3,5 millions de donateurs.

Certains journalistes rappellent qu’il était un "ancien de l’Indochine", peut-être pour laisser accroire aux goys que cet immonde personnage était militariste, voire d’extrême-droite. Mais aucun journaliste de la presse du Système n’a indiqué que Jacques Crozemarie était aussi docteur honoris causa de l’Université de Tel Aviv et membre du Grand Orient de France. C’est Emmanuel Ratier qui nous l’avait révélé il y a quelques années, dans Faits-et-documents. Et cela, tout le monde peut le vérifier aujourd’hui sur internet.

Quant aux causes du décès de Jacques Crozemarie, elles restent inconnues, la mairie de Bandol refusant de les divulguer. Il n’est pas impossible que l’homme se soit suicidé, torturé par le remords d’une vie aussi lamentable. C’est ce que nous espérons. Non que nous nous réjouissions de sa mort, mais parce que son suicide serait la preuve qu’il existait en lui une part, une toute petite part d’humanité.

Hervé RYSSEN 

Cette seule affaire se suffirait à elle même. Malheureusement la mafia Juive a préféré nous en fournir 3 000 autres. Qu'il en soit ainsi.

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