jeudi 5 mars 2009

Ca sent le roussi pour le cosmopolitisme Juif

Les Juifs, on le voit régulièrement, sont paradoxaux. Virulents Juif en privé, ils sont les troubadours du métissage obligatoire, de l'immigration obligatoire, de l'antiracisme obligatoire. Soutenant l'apartheid sur leur sol contre les Palestiniens, leur colonie européenne en revanche ne saurait se doter d'une politique nationaliste. Cette position est logique car ils en seraient exclus de facto. Derrière la lutte contre "l'extrême droite" se cache celle des Juifs pour ne pas être chassés des terres qu'ils mettent en coupe réglée. Et le Juif dans une inversion accusatoire typique reproche aux goyim de vouloir faire chez eux ce que le Juif fait lui tous les jours. 

Sur le campus de l’Edhec, l’école de commerce de Lille, mardi 3 mars, les quatre bretteurs réunis pour l’un des premiers “Euro-débat” organisé en vue des élections de juin, ont parlé de la crise. Devant 500 personnes, Fabienne Keller (UMP), Jean-François Kahn (MoDem), Pierre Moscovici (PS) et Daniel Cohn-Bendit (Verts) n’ont pas caché leurs inquiétudes. L’ancienne maire de Strasbourg et sénatrice a souligné “sa crainte de voir les électeurs se replier sur leurs problèmes nationaux”.

M. Kahn a rappelé la montée des extrémismes en Europe après la crise de 1929. “Si on ne remplace pas d’urgence l’injustice économique par l’humanisme, cela sera un retour au sol, au sang, à la race, aux tribus et aux intégrismes religieux. Y compris en Scandinavie où je m’attends à une poussée de l’extrême droite.”

Vous aurez compris que donc les Juifs concernés sont inquiets, très inquiets. Mais pour qui ? Pour les européens ? Non bien sûr, pour eux, rien qu'eux, les Juifs qui, en s'emparant de certains pays comme la France et en tenant d'autres par la finance et la diplomatie US, risquent de subir une énième raclée. 

Les Juifs sont inquiets, inquiets de leur sort, de leur salut. Ce salut qui passe par notre anéantissement par voie d'immigration de masse, du métissage et de propagande anti-raciste. La réponse que Jean François Kahn présente sous la forme de "l'humanisme", n'est rien d'autre que la poursuite des projets politiques d'essence judaïque. Car hors de l'eau cosmopolite, le poisson Juif ne survit pas longtemps.

Vous noterez aussi une projection caractéristique sur les goyim de ce sentiment tribal, de sang et de race: car les Juifs aiment souvent se marier entre eux, coloniser des terres pour leur race et placer dans leur gouvernement un homme comme Liebermann, une extrême droite qui ne choque pas tant que ça la presse Juive, qui "n'inquiète" pas.

Jean François Kahn, Pierre Moscovici et Daniel Cohn Bendit ont donc raison de craindre les européens: ils pressentent que comme à chaque fois, leur comportement odieux va leur coûter un prix très lourd, et que dans cette affaire le nationalisme européen serait pour lui la plus sûre voie vers l'expulsion. Malgré leur discours ou ils se présentent comme "parfaitement intégrés", on voit que leur "intégration" est somme toute toujours relative et fragile. De par leur propre politique.

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