«Le drame de la Shoah interdit l'oubli. Il impose la pudeur. Il fait exploser la colère au cœur de chaque homme de bonne volonté, lorsque la Shoah est contestée.» Silencieux depuis plusieurs mois, Jacques Chirac a choisi de s'exprimer sur un thème qui avait déjà marqué sa présidence. Vendredi, à l'Unesco, l'ancien chef de l'État a apporté un soutien appuyé au projet Aladin initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Un projet destiné à lutter contre le négationnisme, en particulier dans les pays arabes.
"L'accord trouvé entre libéraux, démocrates chrétiens, socialistes et communistes dans l'après-guerre pour rejeter les partis de la haine doit être considéré comme un acquis définitif de la démocratie européenne», a-t-il ajouté."
Le Figaro - Bloch Dassault
L'ex distributeur de l'Humanité oublie un peu vite que les Partis Communistes européens et internationaux sont responsables de la mort de 100 millions de personnes, sans parler des camps de concentrations, régimes policiers, persécutions diverses qui leur étaient propres. Des partis qui pour Jacques Chirac n'ont rien de fondamentalement haineux. Il faut dire que quiconque fouille un peu dans l'histoire du communisme et de ses génocides trouvera souvent des Juifs dans les rôles des plus grands criminels (Tito, Bela Kun, Trotsky-Bronstein, Lénine-Bank, etc.).
Un élément qui casserait la rhétorique victimaire à laquelle participe Jacques Chirac dont les origines sont elles mêmes très douteuses et dont l'objectif est de permettre au sionisme de détruire l'Europe et les peuples européens.
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