Jonathan Littel est une victime emblématique
de l'inceste dans les familles Juives:
il projette ainsi sur les nazis les comportements
incestueux et sado-masochistes Juifs
Hervé Ryssen a pointé sans ambiguïté la source de la névrose Juive: l'inceste pratiqué en masse au sein des familles Juives. Le cas de Christine Angot-Schwartz nous a récemment intéressé avec son roman "L'inceste" qui se résume très bien ainsi. Jonathan Littel est un autre exemple de cette névrose incestueuse qui s'évacue en projetant sur les goyim les fantasmes Juifs, à savoir dans on roman "Les Bienveillantes" les nationaux socialistes et singulièrement les SS. A l'aide du miroir on comprend très vite que Jonathan Littel ne parle pas des SS, mais bien des Juifs eux mêmes. C'est la fameuse inversion-projection de la paranoïa hystérique du Judaïsme. Un critique littéraire du New York Times en conclut la même chose à en croire Le Monde-Gunzburg:
"A lire Michiko Kakutani, critique vedette du quotidien américain, Littel n'est qu'"un piètre imitateur de Sade et de Genet". Son roman, qualifié de "valise trop pleine", enchaîne "une succession sans fin de scènes de tortures, de mutilations, et d’autres épisodes illustrant les fantasmes incestueux et sado-masochistes du narrateur"."
Voilà en une phrase résumée la pathologie Juive: inceste et sado-masochisme (volonté de domination en faisant souffrir et volonté de se faire dominer et de souffrir, comportement que l'on retrouve de façon caricaturale chez les Juifs qui alternent entre soif du pouvoir et jérémiades victimaires).
Issus de l'inceste les symptômes de la pathologie du Judaïsme sont: hystérie, schizophrénie, paranoïa (inversion, projection), sado-masochisme, asociabilité psychopathique, mythomanie, ambiguïtés sexuelles (homosexualité, transexualité, pédophilie).
L'ambiguïté sexuelle est une conséquence de la névrose juive caractéristique, car comme le métissage, c'est une volonté de nier ce qui structure l'adulte dans une particularité. La névrose régressive infantile est dans le Judaïsme devenue une norme culturelle. Le malade veut en effet retourner au stade ou le nourrisson ne connaît ni les différences sexuelles, ni l'existence d'autrui (la présence du père n'est pas tout de suite ressentie): il veut revenir à cette sensation ancrée dans sa mémoire du confort absolu qu'il éprouvait lorsqu'il pensait ne faire qu'un avec sa mère. Cette névrose est naturellement due aux relations sexuelles intra-familiales devenues au fil des siècles de plus en plus prononcées au sein des petites communautés israélites dispersées. C'est en somme un "retour à l'origine", un "retour au sexe de la mère". C'est cette même thématique qui d'un point de vue presque métaphysique explique la volonté de "retour en Israël", ce besoin de toujours revenir en arrière, à une source "pure" et première. C'est la loi Juive qui en enfermant les Juifs dans ses règles et pratiques communautaires à aggraver au fil du temps ce comportement névrotique incestueux et qui a donné aux Juifs un profil génétique particulier et une structure mentale particulière. A la différence des autres en effet, les Juifs en 2000 ans ne se se sont jamais fondus chez les autres peuples. L'espoir du retour les animant d'une façon si particulière...
Cette unité parfaite, autosuffisante, est la base de la névrose Juive, une névrose érigée au rang de culture et qui a donné une empreinte particulière à la religion juive: l'universalité, donc le refus du particulier et de la différence mais paradoxalement (importance du paradoxe dans l'esprit Juif) une promotion de la différence Juive. Les conséquences de cette régression fusionnelle "enfant-mère" sont simples: refus des différences quelles qu'elles soient (sexuelles, raciales, religieuses) chez autrui mais défense virulente de sa propre intégrité culturelle, pensée comme le centre du monde et une norme obligatoire pour tous. D'ou "l'asociabilité" Juive qui promeut les valeurs dissolvantes à même d'unifier le monde selon les normes culturelles névrosées du Judaïsme.
C'est un peu complexe, mais lorsque l'on a compris cela, on a compris le moteur du Judaïsme.
Tous ces problèmes abordés par Freud qui essaya de guérir non pas "l'humanité", mais bien le Judaïsme et ses problèmes particuliers, inceste en tête.
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