mardi 3 mars 2009

Les Juifs et la haine de la Russie

Les Juifs n'aiment ce qui leur résiste. Ils n'aiment ni les musulmans, ni les nationalistes européens, éprouvent la plus grande répulsion pour la Chine comme nous l'ont démontré les campagnes en faveur du Tibet et le coup médiatique du Juif Bergé autour des statues volées à l'empire du Milieu (magistralement déjoué par le gouvernement chinois au nom du patriotisme).

Ils ne tarissent pas d'éloges revanche pour tout ce qui étaye leur discours ou leurs intérêts. Cette politique implacablement raciste s'exprime ainsi sans cesse. Les terroristes Tchétchènes sont les "héros de la liberté" de Bernard Henri lévy qui une fois posé le pied chez ses congénères israéliens n'a pas de mots assez durs pour flétrir les "islamistes du Hamas". Dans ce panthéon des horreurs, la Russie a une place toute trouvée.

Les russes ont commis de l'irréparable vis à vis des Juifs, du moins du point de vue de ces derniers. Les russes ont en effet osé ne pas avaler sans broncher la potion "démocratique" concoctée pour eux. Il faut dire que le bolchévisme encadré par les Juifs avait créé un précédent laissant les russes très méfiants vis à vis de ces prophètes vagabonds et cosmopolites. A cela s'ajoutaient bien sûr les pillages délirants auxquels s'était livré la mafia Juive en Russie, faisant main basse sur les secteurs stratégiques du pays, privatisant pour son compte et à moindre frais les trésors de la Russie comme le gaz ou le pétrole. Tout semblait aller pour le mieux jusqu'à ce que les goyim du pays, ces affreux paysans russes inférieurs, trouvent en la personne de Vladimir Poutine un leader décidé à débarrasser le pays de ces Juifs qui nous assurent pourtant qu'ils n'ont que des cadeaux à nous faire et que les rejetter est une forme "d'ingratitude" selon le Juif Jacques Attali. Les russes ont semblent estimé qu'ils valaient mieux être ingrats que vidés de son sang par des vampires.

Poutine ne mit pas longtemps à coffrer une bonne partie de la clique et à faire disparaître à l'étranger le reste. La pathologie hystérique juive, c'est désormais limpide, produit une "intolérance à la frustration" qui engendre une "hyper émotivité". En d'autres termes, quand les Juifs se font remettre à leur place, ils entrent dans une rage folle et en perdent tout sens de la mesure. C'est depuis la victoire des Russes sur le Judaïsme international que la presse occidentale sioniste se livre à des attaques de facture Juive contre le gouvernement russe. Tout est bon pour dépeindre une Russie "raciste", "totalitaire", c'est à dire fière de ses racines, bref une Russie russe. Le souvenir des Cosaques enquiquinant les Juifs d'Ukraine n'étant pas pour rien dans cette haine tenace qui travaille les Juifs installés en Amérique et en France.

Lisons un peu ce que dit aujourd'hui le Journal Le Monde tenu par l'actionnaire Juif Gunzburg au sujet de l'emprisonnement d'un oligarque Juif qui en plus d'être un escroc, est aussi un agitateur politique défendant l'occidentalisation "démocratique" de la Russie, c'est à dire sa mise sous tutelle Juive:

"Sans ce deuxième procès, Mikhaïl Khodorkovski devait retrouver la liberté en 2011, un an avant la prochaine élection présidentielle. Aujourd'hui, tout est fait pour qu'il ne sorte pas de prison", rappelle Marie Jégo, correspondante du Monde à Moscou.

Vous voyez comme le soucis des Juifs pour le droit des individus est important, surtout ceux des israélites. Nous avons là un cas exemplaire du discours victimaire Juif qui essaie de faire passer un rejeton de la communauté pris la main dans le sac pour une "victime-innocente". La même presse avait soutenu le Juif Kasparov qui avait fait lors de l'élection présidentielle russe un vrai travail d'agitation pour le compte des intérêts sionistes mondiaux contre ce pays.

Chez les Juifs le thème de la vengeance est omniprésent et quiconque lui résiste encoure ses foudres vengeresses. Mais quiconque connaît la petite tribu d'Israël sait que ces insultes couardes sont vite déjouées par une raclée virile et qu'une fois administrée le roquet mouillé s'en fuit la queue entre les jambes.

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