Le rôle du leader homosexuel Juif Harvey Milk
va comme un gant au demi-Juif Sean Penn
Le projet politico-pathologique Juif pour le monde est immuable: il faut détruire le monde actuel, le dissoudre, pour proposer un monde nouveau ou les névroses Juives deviendront la norme. La Torah appelle ce projet mondial la "réparation du monde", la "Tikoun". Le cinéma est un moyen privilégié de diffuser de façon subversive ces valeurs chez les peuples goyim qui peu à peu acceptent sous le poids du lobby Juif ces évolutions. La tradition est donc un ennemi prioritaire du Judaïsme.
Avec Harvey Milk les Juifs d'Hollywood nous donnent un exemple de cette propagande ou les ambiguïtés sexuelles Juives issues de l'inceste au sein de la communauté peuvent s'épancher de manière très agressive. C'est l'histoire d'un Juif lithuanien qui devient le leader politique des homosexuels afin qu'ils obtiennent la "reconnaissance". Cette promotion en faveur des comportements sexuels déviants visant aussi à affaiblir les Blancs. Les occasions ne sont pas rares ou l'on voit de façon caractéristique dans des films les hommes blancs présentés comme homosexuels et fragiles. Une projection névrotique des propres comportements Juifs.
Avouons que ce petit film ne projette rien: le héros est Juif. C'est donc un aveu en soi.
L'acteur principal est le demi Juif Sean Penn, c'est produit par Jinks/Cohen Company.
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