mardi 17 mars 2009

Tito: un tyran communiste Juif



Quiconque a lu l'indispensable ouvrage d'Hervé Ryssen, "Le Fanatisme Juif", ainsi que celui d'Anne Kling, "Les Révolutionnaires Juifs", aura compris la part écrasante prise par les Juifs dans le drame que fût le communisme en Europe. Perçu comme le moyen politique de la réalisation du grand projet d'unification mondiale préludant à la venue du Messie, le communisme du Juif Marx fût certainement l'idéologie la plus explicitement Juive.

Cependant il nous avait jusqu'alors échapper qu'un de ces tyrans communistes éminents était comme beaucoup d'autres un Juif: Tito.

La liste serait longue de ces israélites ayant causé des ravages en prenant les commandes politiques des pays ayant subi le joug communiste. Une liste longue, mais qui s'allonge d'un nom supplémentaire.

Josip Broz est né le 31  mai 1892 dans le comté de Zagorje, dans le nord ouest de la Croatie. Il est le septième enfant de Marija Javersek, slovène du village de Podsreda. Le problème ? Il est mort en 1914 dans le Caucase lors d'une opération menée par les Russes alors qu'il est engagé dans les armées austro-hongroises. 

C'est le kommintern Soviétique, dirigé par les Juifs, qui décidé d'attribuer son identité à son demi frère: le militant communiste Josua Ambroz Mayer. Il est né le 7 mai 1891 à Vienne en Autriche, son père biologique était Samuel Mayer, un riche Juif polonais propriétaire d'une usine de prothèses médicales. Marija Javersek était alors sa servante slovène et cette relation aboutit à la naissance de Josua Ambroz. Il grandit donc à Vienne ou il reçut une bonne éducation étant capable de jouer avec habileté du piano. Il va ensuite faire ses classes militaires à Pecs en Hongrie en même temps qu'un certain Adolf Hitler. Ce dernier n'a jamais su cela et encore moins les origines israélite du tyran cosmopolite.

Tito rompit avec Staline en 1948, date du début de la campagne anti-sioniste de ce dernier.

Josua Ambroz Mayer est responsable comme "croate" de la mort de 1,1 millions de Yougoslave. C'est le prix de "l'espérance planétarienne"...

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