Dans Taken, le scénariste Juif projette sur les musulmans
la traite des blanches organisée par la mafia Juive
L'actualité cinématographique ne nous laisse pas de répit. Taken est un film d'action. L'histoire est simple: un ancien espion américain (Liam Neeson) voit sa fille se faire enlever alors qu'elle est en voyage à Paris. Grâce à son savoir faire, il va remonter la filière de traite des blanches.
C'est aussi l'occasion de montrer les ravisseurs dans un Paris glauque. Ils sont albanais, donc blancs, mais musulmans. La caméra insistant sur le croissant islamique que les membres du gang concernés ont tatoué sur leur main droite. En plus d'être sales et cruels, ils torturent les jeunes filles qu'ils droguent pour les rendre dociles et consentante.
Le père retrouve enfin sa fille sur un bateau mouche appartenant à un riche saoudien, aussi vieux que pervers. In extremis il parvient à la sauver.
Le scénario est signé du Juif lithuanien Robert Mark Kamen et de Luc Besson (qui refusa de distribuer en France "La passion du Christ" qu'il jugeait "antisémite").
Miroir en main, nous découvrons en vérité une projection sur les musulmans de ce que le livre d'Hervé Ryssen a mis en lumière de façon brillante: la traite des blanches à destination d'Israël, notamment vers les bordels d'Haïfa. Ce transfert typique sur un goy, en l'occurence sur les musulmans, servant au surplus d'arme de propagande contre les Arabes aux USA. Ceux ci attirent depuis le 11 septembre une part croissante de la haine Juive.
Vous comprenez donc très vite en voyant le film que les sévices et les méthodes dont on accuse les albanais musulmans sont celles utilisées par la mafia Juive en Europe de l'Est, tandis que le portrait du saoudien aussi vicieux que vindicatif est celui des clients israéliens ou diasporiques.
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