Propagande au quotidien

Les vraies valeurs de Paul Hafner

"Ancien éleveur de porcs, inventeur raté et playboy à ses heures, Paul Maria Hafner s'est distingué en tant que Waffen-SS sur le front de l'Est et dans plusieurs camps de concentration. Après la guerre, il s'est réfugié dans l'Espagne franquiste. Il réside toujours à Madrid. En décembre 2007, âgé de 84 ans, Hafner fait sensation en déclarant au «Daily Mail» : «Auschwitz était un hôtel dix étoiles. Un camp où les juifs ont été envoyés pour leur propre protection. Toutes ces histoires de massacres viennent de la propagande des Alliés». Le réalisateur parvient à le confronter à des photos de détenus assassinés et à un rescapé de Dachau."

Documentaire diffusé sur Arté dimanche soir à 22h45

Nous conseillons pour entendre le point de vue du camarade Hafner.

Mais aussi:

"Les femmes de l'ombre"

"Engagée dans la Résistance française, Louise s'enfuit à Londres après l'assassinat de son mari. Là, elle est immédiatement recrutée par le SOE, un service secret de renseignement et de sabotage piloté par Churchill. Louise se voit alors confier sa première mission : l'exfiltration d'un agent britannique qui préparait le débarquement sur les plages normandes. Tombé aux mains des Allemands, il risque de livrer des informations capitales. Louise décide de constituer un commando de femmes spécialement recrutées pour les besoins de cette périlleuse mission secrète. Dans l'urgence, elle engage Suzy, Gaëlle et Jeanne. Ensemble, elles sont parachutées en Normandie et rejointes par Maria..."

C'est réalisé par Jean Paul Salomé.

Sur Arté mercredi votre émission anti-nazi hebdomadaire avec force "devoir de mémoire", "solution finale" et autres "antisémitisme".

Milice Film noir

"Au lendemain de la Première Guerre mondiale, l'extrême droite prospère dans le milieu des anciens combattants français. Impressionnés par le fascisme italien et le nazisme, les antirépublicains descendent dans les rues ou commettent des attentats par le biais d'organisation comme la Cagoule. Après la débâcle, la Légion des anciens combattants devient un instrument de propagande pétainiste. En 1943, Laval dissout le Service d'ordre légionnaire, refondé en Milice. Placée sous l'autorité de Darnand, elle obtient en 1943 l'autorisation de s'armer. Nourri d'archives rares et de témoignages directs, ce film raconte l'histoire de cette Milice à travers les trajectoires personnelles d'anciens militants et de résistants."

C'est très objectif et réalisé par Bernard Cohn

Jeudi enfin:

"Des croix sur la mer

5 août 1944. Une place de village en Bretagne, sur le cap Sizun. La guerre est jouée, l'armée allemande est en déroute et ses soldats se livrent aux pires excès, guidés par une colère aveugle. Le sort d'une poignée d'otages civils est encore entre leurs mains. Parmi eux, Jean Palu. Tandis que les heures s'égrènent, cet homme, ni meilleur ni pire que les autres, dresse le bilan de son existence, marquée par la maladie et l'échec, et surtout par un acte ignoble, le seul qu'il ait jamais commis. Voici quelque temps, il a rédigé une lettre anonyme, destinée à la Kommandantur, dans laquelle il dénonçait le jeune amant de sa femme, un maquisard. Certes, il n'a pas envoyé cette lettre, mais il ne l'a pas détruite non plus..."

Là encore du pur délire. Comme à l'accoutumée les bretons parlent un français parfait, malgré le fait qu'ils soient tous bretonnants à cette période. Quant aux affres existentiels des intéressés c'est surtout de la masturbation d'intellectuels résistantialistes parisiens. Les "violences allemandes" furent inexistantes sauf quelques accrochages déclenchés par des communistes incompétents heureusement systématiquement balayés en moins de dix minutes.

De quoi édifier les niais.