"Il ne sera possible de sortir de la crise et d’ancrer les Antilles dans la République française qu’en mettant fin à cette iniquité, autrement dit lorsque l’Etat français procèdera à une réquisition et à une redistribution ou nationalisation de ces richesses."
Egalité et réconciliation
Comme au temps de nos "bonnes vieilles colonies", le vieux discours archéo-républicain ressort pour faire croire que "papa-état" et son "biberon social" sont les deux bras immanents du miracle progressiste sur terre incarné par l'état national-cosmopolite "républicain". La question antillaise doit passer par une démarche vers l'autonomie puis vers l'indépendance, contrainte ou non, dans la logique de la fin des tutelles coloniales et de la responsabilisation des peuples.
La république peut bien essayer de se substituer à l'église et à vouloir "y ancrer" un tel ou un tel (comme vous planterait un crochet dans le dos), la liberté et les principes de subsidiarité obligent les colons français, békés en tête, à quitter les Caraïbes. L'Europe n'a rien à faire dans ces îles, quelques soient les arguments "géostratégiques néocoloniaux" d'une micro-clique moisie.
Le barratin parisiano-socialiste sur l'improbable "raie publique" ne passionnent à la rigueur que quelques vieux singes radicaux socialistes appointés.
La solution est donc simple: chacun chez soi, chacun son peuple.
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