"Moi, je crois que c'est un honnête homme. Alors, sans doute il aurait mieux fait d'agir différemment et il doit se le dire lui-même. Mais le fond de l'affaire c'est: est-ce que c'est un homme honnête ou pas ? Je crois qu'il est honnête", a déclaré Laurent Fabius sur Canal+
Nous connaissons le discours des artistes, intellectuels, hommes politiques, patrons Juifs: il faut dépasser les particularismes raciaux, religieux ou ethniques.
On relève cependant que lorsqu'un membre de la communauté est en danger, ses correligionaires et ennemis politiques supposés dans la petite comédie parlementaire parviennent soudain à dépasser ces superficielles divergences.
En clair: derrière le barratin cosmopolite et mondialiste, les Juifs jouent une rigoureuse préférence nationale.
Quant à l'honnêteté de la communauté, si l'on s'en tient à Madoff, aux affaires du Sentier I et II, aux oligarques Juifs de Russie, à la traite des blanches, on confirme: Kouchner est honnête, très honnête, très très très (très) honnête (puisqu'il est Juif).
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