samedi 28 février 2009

Propagande Juive: les coups montés de "l'antisémitisme"


La fausse agression "antisémite" du rabbin Farhi




La fausse agression "antisémite" du RER D




La fausse agression "antisémite" d'Epinay-sur-Seine




Ce genre d'affaires s'explique tout d'abord par l'égocentrisme et le nombrilisme Juifs qui virent très souvent à la paranoïa. Se croyant au centre du monde, nombre de Juifs développent un sentiment d'extraordinaire supériorité, sorte de racisme hystérique et millénariste "couronné par Dieu" (Il suffisait d'y penser). Cette supériorité aurait selon eux une contrepartie: la jalousie des goyim inférieurs dont la perfidie serait la source de mille tourments injustement infligés à la communauté. Il s'agit bien sûr d'un transfert, puisque tout ce qui arrive aux Juifs l'est de par leur propre comportement, orgueilleux, méprisant en plus d'être dominateur et intrigant. Ce transfert sur autrui de ses propres responsabilités, cette inversion entre agresseur et agressé, devient alors la base d'un délire collectif de persécution renforcé il est vrai par une "intolérance à la frustration" comme démontrée par Hervé Ryssen dans son ouvrage "Psychanalyse du Judaïsme" et qui trouve ses racines dans la névrose post-incestueuse, l'inceste étant très répandu au sein des communautés juives, mais aussi honteusement tu.

Cependant les Juifs ont aussi, de par leur dispersion dans différents pays pas toujours accueillants (surtout quelques temps après leur arrivée), développé des tactiques de survie. Il s'agit principalement de diviser pour mieux régner, notamment en achetant des gens influents ou en mentant sur la réalité de leurs activités et sur leurs conséquences pour les autochtones: l'utilisation d'un tiers pour se dédouaner est une pratique banale dans le Judaïsme. Le bouc émissaire est une grande tradition Juive dont le nom est passé dans la langue courante: cette coutume religieuse qui a tous les traits d'un exutoire thérapeutique collectif se caractérise par la mise à mort d'un bouc qui prend le fardeau des fautes commises dans la communauté et la délivre ainsi du poids du péché. Il n'y a donc chez les Juifs aucun problème à accuser un innocent des fautes que l'on commet soi même, c'est même un pratique morale inscrite dans la loi Juive comme on vient de le voir.

Dans les scandales impliquant des Juifs, ceux éventuellement découverts et très souvent connus jusqu'alors comme éminemment âpres au gain, hautains et dédaigneux, se muent en une sorte de chorale plaintive: jamais ils n'ont commis quoique ce soit qui ait pu léser les goyim jurent-ils, et c'est bien plutôt eux, les Juifs, qui devraient être protégés et non accusés. Se ressaisissant et ayant fini de feindre l'incompréhension, ils attaquent maladivement les victimes les chargeant de tous les maux dans une inversion accusatoire typique. Cependant la ficelle a tendance à s'user avec le temps et quelques israélites sont envoyés pour faire des coups montés capables d'attendrir l'opinion et de détourner le regard sur quelqu'un d'autre. 

Depuis 1945 les Juifs, surfant sur le catéchisme des Droits de l'homme et de son corollaire qu'est l'anti-racisme, ont compris que l'on pouvait neutraliser aisément tout ennemi gênant en l'accusant d'antisémitisme. L'actualité nous en donne encore un exemple avec Bernard Kouchner, juif balte qui a accusé d'antisémitisme Pierre Péan, auteur d'un livre dévoilant l'image réelle de l'intéressé à savoir celle d'un petit courtier américano-sioniste se présentant comme défenseur des "droits de l'homme" mais vivant de ses services rendus à des dictateurs africains. L'imaginaire collectif voyant dès lors les photographies glauques de quelques fours crématoires (à pain dirons certains menteurs "antisémites") planer dans la pièce, le goy naïf et généreux s'empresse de fondre en larmes et de joindre le Kahal dans sa "croisade" du moment. Bien sûr il n'a pas vu qu'il pourchasse un frère d'infortune et qu'Israël rit aux larmes après avoir fait une bonne farce. Voyant que le truc est somme toute assez éprouvé et que la presse est très docile et peut faire caisse de résonance, il suffit de monter judicieusement quelques opérations pour faire à nouveau passer la communauté pour le martyr toujours-innocent qu'elle pense être (ou feint-elle de penser).

Illustrons notre propos de quelques exemples.

Le faux incendie "antisémite" d'un centre social Juif. Le 21 août Agence Presse révèle que l'incendie du Centre Social Juif de la rue Popincourt dans le XIème arrondissement a été commis par Raphaël Benmoha, un Juif de 52 ans. On a pu l'incriminer car il possédait un double des clefs qu'il n'était pas censé posséder, son écriture correspond à celle retrouvée sur les lieux, le marqueur noir utilisé possédait les mêmes défauts que celui ayant servi et son encre la même que celle retrouvée.

Le plus drôle est que le coupable s'était inspiré d'un Téléfilm tourné dans la rue et qui mettait en scène un licencié du centre provoquant un incendie par vengeance. Un téléfilm non diffusé à la demande de la communauté Juive au nom de la lutte "contre l'antisémitisme" (même si en l'occurrence il s'agissait d'un scénario mettant aux prises uniquement des Juifs...).

Un autre cas a défrayé la chronique, celui d'Alex Moîse qui était devenu un leader anti-Dieudonné. Celui-ci s'était présenté comme recevant des lettres de menaces de mort "antisémites". Membre du Likoud, de la Fédération Sioniste de France et de la Fédération des Organisations Sionistes de France. Organisateur des manifestations contre les spectacles de l'humoriste, un de ses associés, Michel Bensoussan avait jeté un engin incendiaire dans la salle de représentation, blessant une enfant de 13 ans.

Pour ces fausses lettres "antisémites", le parquet l'a condamné à 2 mois avec sursis et 750 euros d'amende.

Incendies, fausses menaces mais aussi tentatives de meurtre, on voit effectivement qui menace qui, qui est "toujours-innocent", qui est l'agresseur. Comme toujours avec les Juifs et comme Hervé Ryssen l'a mis en lumière: pour comprendre le discours Juif, il suffit d'inverser victime et bourreau, de lire avec un miroir, pour se rendre compte que les crimes dont les Juifs accusent autrui sont généralement ceux dont ils se rendent coupables eux mêmes mais qu'ils rejettent habilement sur quelque Goy gênant ou utile.

Nous sommes donc plutôt en désaccord avec Bernard Henri Lévy, l'identité Juive n'est pas le "mystère le plus profond de l'humanité", c'est même plutôt simple à comprendre: un Juif c'est un Gitan aimant le luxe.

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