"D'où vient cette haine ? Et qu'est-ce que je viens donc faire dans le conflit israélo-palestinien ? Tout commence en janvier 2004, quand Dieudonné déclare au détour d'une interview au magazine The Source, qu'il existerait : "Un lobby juif très puissant qui aurait la mainmise sur les médias, dont fait partie Arthur qui, avec sa société de production, finance de manière très active l'armée israélienne. Cette armée qui n'hésite pas à tuer des enfants palestiniens." Qu'est-ce qui fait que ces propos aient été relayés sans commentaire dans les colonnes du Monde ? (NDLR : notre édition du jeudi 8 janvier 2004 citait les propos de Dieudonné au magazine The Source).
Qu'est-ce qui fait que cette pure imbécillité, cette rumeur sans l'ombre d'un fondement, est aussitôt relayée par une grande partie de la presse ?"
Arthur dans Le Monde
Ca ne vous rappelle rien ? Nous si: les Juifs sont toujours innocents. Dans tous les pays et à toutes les époques ils ont été chassés après avoir ravager le pays d'accueil, mais cela ne change rien à la vieille ambition juive qui consiste à dominer sans partage et avec cruauté l'hôte naïf et, quand le peuple se réveille, à pleurer son incompréhension sur la source des maux qui les accablent. Cette mélopée des victimes éternelles est bien sûr une vieille corde de la communauté déjà largement utilisée au Moyen Âge pour endormir le goy devenu méfiant ou averti. Notez d'ailleurs qu'à chaque fois que l'on parle des Juifs, c'est pour évoquer leur incroyable souffrance sans jamais, bien entendu, en évoquer les sources.
Jacques Essebag facétieux au point d'adopter le sobriquet "Arthur", sioniste notoire, adopte donc le discours typique enrobé de "Houtzpah", le culot juif à tout épreuve qui nie jusqu'à l'évidence la plus criante. dénégation toujours suivie d'une inversion accusatoire afin de faire diversion et de glisser telle une couleuvre entre les doigts de l'enquêteur.
Citons un auteur néerlandais Henri de Vries de Heekelingen dans son ouvrage intitulé "Israël, son passé, son avenir"
« Première étape. Installation. Les Juifs arrivent dans une contrée dont la population n’a aucun préjugé à leur égard. On les accueille avec plus ou moins d’empressement. Dans l’antiquité, et jusqu’au XVIIe siècle, on était quelquefois même heureux de les accueillir.
Deuxième étape. Affermissement. Les Juifs sont tolérés ou jouissent d’un traitement de faveur, grâce à quoi leur situation se consolide.
Troisième étape. Apogée. Les Juifs se signalent par leur richesse, leur crédit et parfois par leur savoir. Dans certaines classes du peuple, un sentiment de gêne, d’envie et de haine commence à se faire jour.
Quatrième étape. Résistance. On entre dans une période où les soulèvements, les luttes, les attaques alternent avec des périodes d’accalmie. L’irritation du peuple est généralement contenue par le clergé et le gouvernement.
Cinquième étape. Hostilité ouverte. Le peuple, exaspéré, rompt toutes les digues et massacre les Juifs, ou bien l’autorité les chasse... et le cycle recommence dans un autre pays. »
Nous on est d'avis qu'on se situe dans la quatrième étape et que bientôt nous serons dans la cinquième.
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