Elie Wiesel avoue humblement sa psychopathie
«Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier», a déclaré M. Wiesel. «Il devrait être placé à l’isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes [...] Il faudrait inventer n’importe quoi pour le faire souffrir .(…) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment.»
C'est en ces termes que le (très) grand Elie Wiesel, victime pour l'éternité de la barbarie-nazie-qui-fait-peur-aux-petits-enfants-goyim-aussi, s'en est pris à son correligionnaire Madoff pour avoir ruiner nombre de membres de la communauté dont certaines entreprises spécialisées dans le souvenir du génocide dont la reconnaissance est obligatoire par la loi.
Naturellement ce cher Elie ne s'emporte pas de cette façon quand les victimes ne sont que de grossiers Goyim (Lire "La mafia juive" d'Hervé Ryssen). Non ce qui énerve singulièrement le (très) grand Elie Wiesel c'est bien qu'un congénère ait pu si complètement ruiner d'autres Juifs. Le langage outrancier de l'intéressé étant tout à fait symptomatique d'une "intolérance à la frustration" très présente chez les Juifs en raison de la névrose post-incestueuse.
Mais comme d'habitude, ce qu'il faut pour réellement saisir la dimension des propos de Wiesel c'est d'inverser les rôles pour comprendre sa véritable pensée projetée sur Madoff: c'est bel et bien de la communauté juive impliqué dans les diverses magouilles habituelles qu'Elie parle sans s'en rendre compte ! Le terme de "psychopathie", rarement employé pour une arnaque, étant tout simplement un aveu de la nature psychopathologique du Judaïsme lui-même et du lien entre cette pathologie et le comportement criminogène de nombreux Juifs.
Par ailleurs l'asociabilité, c'est à dire la haine d'autrui et le refus d'entretenir des contacts avec lui, est un élément central de l'univers mental Juif comme nous le disions il y a quelques mois et surtout un des symptômes principaux de psychopathie ! Un paradoxe apparaît dans le propos de l'auteur (le paradoxe est très courant dans le discours Juif, caractéristique du double jeu permanent qui trouble l'esprit Juif) puisque qualifié de psychopathe on propose comme traitement de choc l'isolement, qui est précisément un des piliers de cette maladie...
Il faut y voir bien sûr Wiesel avouer inconsciemment la nature pathologique du Judaïsme qui oscille entre transfert sur autrui de ses propres tares et aveu de culpabilité. Wiesel admet sans le dire la nature psychopathique des comportements criminels Juifs, mais propose comme réponse un remède typiquement Juif: l'isolement, la séparation d'avec les autres, le renfermement sur soi coupable. Et cette projection des "visages des victimes" est l'expression même du rapport névrotique aux autres, aux Goyim, qu'entretiennent les Juifs, partagés entre rejet (isolement) et remords (utilisation du terme "victimes").
Un aveu final qui confine aussi au masochisme ("n'importe quoi pour le faire souffrir"): Wiesel ne nous dit rien de moins que conscient des injustices commises, les auteurs espèrent les persécutions comme une punition qu'ils auraient recherché, ce qui expliquerait que le but des provocations de nombreux Juifs contre les autres peuples n'est autre qu'un châtiment. Une névrose sado-masochiste s'ajoutant à la psychopathie.
Comme on le voit, chez les Juifs, tout est très simple et très compliqué. Cependant lorsqu'un escroc Juif se fera prendre vous pourrez à bon droit dire:
«Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier», «Il devrait être placé à l’isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes [...] Il faudrait inventer n’importe quoi pour le faire souffrir .(…) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment.»
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