dimanche 1 mars 2009

"Mirrors": un film raciste et névrosé typiquement Juif

Dans ce film le Juif alexandre Jouan Arcady livre la vérité:
derrière le miroir, le visage terrifiant du Judaïsme


Quiconque aura lu avec attention les ouvrages d'Hervé Ryssen aura relever le soin que prend l'auteur pour analyser des films et leurs scénarii afin de mettre en lumière le discours Juif qu'ils renferment. Un discours faisant l'apologie du métissage, de la haine des européens et du christianisme, singulièrement du catholicisme. C'est une marque de fabrique. Hervé Ryssen le résume très bien "on reconnaît plus sûrement un Juif non à son visage, mais à ce qu'il dit, écrit ou fait".

Dès lors nous avons développé nous aussi grâce à ces clefs d'analyse un sens critique qui nous permet presque infailliblement d'identifier un film Juif, caractérisé par une très grande agressivité contre le peuple blanc mais aussi plus récemment contre le monde musulman.

C'est ainsi que nous avons vu le film récent "Mirrors" dont nous ne connaissions absolument pas le réalisateur avant de le visionner. Très rapidement nous avons su que nous avions là un film de propagande Juif. Ce n'est qu'aujourd'hui en vérifiant les origines du réalisateur, Alexandre Aja plus connu sous le nom de "Jouan-Arcady", que nous avons eu la confirmation de nos forts soupçons.

Nous résumons pour vous ce film qui, de long en large, vomit sa haine contre le peuple blanc et la religion chrétienne, le tout en vous faisant payer (sauf si comme nous vous le téléchargez illégalement naturellement, afin de ne pas engraisser les Juifs d'Hollywood). 

C'est l'histoire d'un ancien policier, Kieffer Sutherland (24 heures chrono), qui a des problèmes avec sa femme (métisse latino-africaine) en raison d'un goût prononcé pour la bouteille (Les Juifs adorent les blanc alcooliques) et qui a perdu son travail à cause de cela. Heureusement, Kieffer se ressaisit et trouve un emploi comme agent de sécurité dans un grand bâtiment de type néo-classique (symbole de la culture gréco-latine occidentale). Ce dernier a brûlé 5 années auparavant et est donc délabré, noirci. L'établissement s'appelle le "May Flower". Il faut bien sûr comprendre que ce détail n'est pas anodin: l'établissement n'est rien moins que le symbole de l'Amérique WASP, blanche et protestante qui fût fondé par des puritains anglais embarqués sur un navire nommé "May Flower". Et force est de constater que pour le Juif Arcady ce pays est fort glauque et déserté.

Le fait est que l'endroit est hanté et que ce sont les miroirs qui sont la source d'événements étranges, notamment de la mort inexpliquée du gardien l'ayant précédé, un blanc nous rappelant un skin head. Le miroir bien sûr est le symbole de l'image que l'on se renvoie, mais qui peut cacher derrière elle d'autres choses, invisible au premier abord. Et les nombreux miroirs du May Flower recèlent en fait les âmes de nombreux morts, victime d'un mystérieux esprit frappeur.

Le policier comprend très vite que tout ce qui ressemble à un miroir peut lui nuire. Sa soeur, comme lui de type germanique, est victime du miroir et meurt. Comprenez  que le réalisateur Juif met en scène l'homme blanc américain en proie à la volonté de vengeance des nombreuses victimes de l'Amérique WASP et que c'est depuis l'autre coté du miroir - qui est aussi le symbole de l'au delà- que ces victimes veulent se venger et faire expier notre policier-symbole.

La principale préoccupation de notre policier va donc consister à aider sa famille, sa femme et ses deux enfants métis, des coups de ces miroirs dont la puissance maléfique vient de l'esprit enfermé dans ceux du May Flower. Il apprend qu'en fait c'est une famille de Pennsylvanie qui a la clef de la réponse: une de leur fille avait été traitée au milieu des années 50 dans cet établissement pour trouble du comportement, croyaient les médecins, mais en fait pour ce qui semble être une possession démoniaque. Il décide donc de retrouver la trace de la famille en s'enfonçant dans l'Amérique rurale. Et là les premiers signes ne trompent pas: l'endroit est lugubre, avec une nature épaisse et peu accueillante. Les Juifs préférant le désert et les villes aux forêts européennes ou vivent les germains, on comprend bien la grande angoisse du réalisateur. 

Lorsque l'on arrive chez la famille en question, vivant dans une sorte de cabane obscure et délabrée, nous voyons enfin ces WASP descendants des colons anglais. A cet instant la marque du racisme Juif est patente: la famille est composée d'un fils visiblement diminué mentalement, victime de malformations. La mère est laide et le père défiant. C'est toujours ainsi que les réalisateurs Juifs se figurent les WASP des campagnes. Il faut en déduire que ces malformations indiquent une dégénérescence due à une consanguinité douteuse. Mais il faut surtout comprendre avec l'aide d'une lecture à l'envers que c'est inconsciemment des fruits de l'inceste et de l'endogamie très courante chez les juifs qu'Alexandre Jouan Arcady nous parle via un transfert sur ces très pratiques goyim anglo-saxons !

Après insistance, le policier parvient à savoir ou se trouve leur fille dont ils durent se séparer en raison de sa possession. Et bien sûr, c'est dans un couvent catholique qu'elle vit !

Le couvent catholique est une copie conforme du May Flower en ce sens que c'est un lieu clos. Les bonnes soeurs sont mises en scène de telle façon qu'elles rechignent toujours à divulguer des information: Alexandre Jouan Arcady nous le dit bien, les catholiques et les blancs ont de lourds secrets enfouis, mais c'est en fait inconsciemment du Judaïsme qu'il parle ! Et comme les miroirs maléfiques, les bonnes soeurs sont toujours derrière des grilles de bois, échappant ainsi au regard du policier, elles sont "de l'autre coté". Comprenez donc bien que le maléfice des miroirs est très similaire à celui du catholicisme qui se cache toujours et que pour comprendre ce qu'il y a derrière, il faut le briser !

Notre policier n'obtient bien sûr rien de la femme devenue âgée et nonne. Elle est froide, cassante et dit qu'elle priera pour qu'il sauve sa famille métisse. Elle lui apprend cependant que jeune on essaya de la traiter en l'attachant dans une pièce couverte de miroirs afin qu'elle accepte ce qu'elle est, les médecins affirmant que son problème venait de son refus de "s'accepter". Mais en fait, c'était autre chose, quelque chose que l'on ne "peut pas traiter", de "surnaturel", de démoniaque: il faut à nouveau lire à l'envers, ce sont les Juifs eux mêmes qui ne s'acceptent pas et qui imaginent un démon les possèdant, rejetant ainsi sur un facteur extérieur leur propre comportement ! 

Menacée par une arme, elle accompagne enfin le policier jusque dans le bâtiment "May Flower" afin de faire face au démon du miroir.

Dans le même temps la malédiction se renforce et attaque sa famille qui est en proie à des tourments meurtriers. Le jeune garçon métis est le plus agité. Au même moment dans l'hôtel, la femme s'assied dans l'ancienne pièce couverte de miroir, pour faire "face à la bête" qui se cache dans le May Flower et qui se nourrit des meurtres qu'elle y commet. La bonne soeur n'a pas de chance: la bête rentre à nouveau dans son corps ! Et oui le christianisme et le catholicisme sont bien la manifestation la plus vraie de l'âme criminelle de l'Amérique blanche qui montre enfin son vraie visage hideux, elle peut se livrer au meurtre du policier qui va devoir pour sauver sa famille la tuer. Il y parvient et in extremis, sans le savoir, sauve son fils métis à distance.

Mais comme toujours avec les Juifs, il faut s'attendre à une chute cocasse. Le policier se rend compte au final que dans l'explosion qu'il a provoqué pour tuer la créature démoniaque, il est passé de l'autre coté du miroir du monde. Comprenez que le blanc a dû pour sauver l'Amérique de ses démons (c'est à dire la race blanche et le catholicisme), se sacrifier et subir à son tour le sort des victimes de la malédiction. Pour notre réalisateur Juif, le blanc pour expier devra donc tout de même disparaître en endurant ce qu'il a fait ou est censé avoir fait aux autres. 

Le May Flower cependant voit ses miroirs se briser, la lumière y entrer et la famille métisse sauvée, dont les enfants mais sans le papa disparu ! L'Amérique nouvelle est née, métisse, débarrassée du christianisme et des blancs !

Cependant ce petit film Juif ne peut réellement se comprendre, et c'est cela le plus intéressant, qu'avec un miroir. Et c'est là encore un aveu, un lapsus comme disait Freud qui s'y connaissait en Juiverie, typiquement Juif. Le titre "Miroirs" est une révélation en soi de la façon dont il faut regarder le film ! Il faut bien comprendre qu'en vérité Alexandre Jouan Arcady opère un transfert sur les Goyim, WASP ici, de ce dont il se sent en tant que Juif inconsciemment responsable. Le démon qui ruine l'Amérique est bien le Judaïsme qui se cache derrière un miroir et qu'on ne peut distinguer de son propre reflet car il adopte l'image de son vis à vis tout en la déformant progressivement (comme dans le film ou les visages sont changeant à la grande surprise des victimes). C'est encore le Judaïsme qui se nourrit de ses crimes tel un démon et qui essaie de détruire le christianisme symboliquement représenté par la nonne.

Nous serons donc d'accord avec Alexandre Jouan Arcady pour dire que c'est bien du Judaïsme que doit se libérer l'Amérique si elle veut survivre. Car le policier est en fait un Juif qui doit pour libérer le monde accepter son propre châtiment. Ce qui nous renvoie à la conclusion que nous formulions hier sur les propos d'Elie Wiesel à savoir que la vraie attente du Judaïsme est sado-masochiste: les Juifs espèrent inconsciemment que leur comportement vis à vis d'autrui entraîne leur propre destruction.

En conclusion nous pouvons dire sans nous tromper qu'Alexandre Jouan Arcady a couché avec sa mère et/ou ses soeurs, qu'il est foncièrement raciste et suprémaciste comme tous les Juifs, mais aussi qu'il attend inconsciemment la punition pour les crimes commis en secret par le Judaïsme sous le masque de la dissimulation permanente. Quiconque aura donc le miroir pourra comprendre qui se cache en vérité derrière l'image que nous renvoie de nous mêmes le système et ainsi châtier les coupables.

Le Judaïsme est désormais mis à nu, dans peu de temps il finira dans les éclats de rire comme un pet de banquet: pfffuit !


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