Ca y est avec le départ d'Alain Soral le dernier discours un tant soit peu construit vient de disparaître au FN. Nous sommes en opposition avec le discours républicain, cosmopolite et intégrationniste d'Alain Soral. Mais au moins il identifiait clairement l'ennemi: le sioniste. Mais trop de choses nous séparent, avec en tête le progressisme, idéologie à l'agonie partout,aux USA principalement, faisant suite en cela à l'URSS. Et sa forme locale le stato-jacobinisme métisseur aussi ignoble que "l'atlanto-sionisme".
Il n'y aura plus d'organisation cohérente pour défendre "la nation française" qui est depuis la révolution un projet cosmopolite. Là encore, on ne reviendra pas en arrière car la dégénérescence actuelle n'est pas un accident mais une suite d'évolutions cohérentes et inévitables. On ne reviendra pas en arrière, quelques soient les opinions des uns et des autres.
Il ne peut plus y avoir désormais que des résistances concrètes, petites mais construites, empiriques même, locales. C'est la marche de l'histoire.
Nous n'avons pas de solutions pour les gaulois. Pas d'autres solutions qu'une explosion générale. En revanche pour les quelques peuples des marches, les basques, bretons, corses, catalans ou alsaciens, le combat identitaire et européen peut se poursuivre dans la culture et le militantisme classique, la création d'associations, etc. Réunir des camarades et développer un esprit en commun fidèle à une tradition.
L'ère du réseau clandestin est arrivée... loin, très loin des rêves de victoires électorales et des révolutions de masse. L'avenir se décidera par de petites minorités très bien formées et dynamiques.
Nous sommes à la chute de l'empire romain, tout se fissure. Lorsque le chaos s'installera, celui qui sera déterminé, prêt et armé pourra préserver tout ou partie de la terre de ses ancêtres.
Le front s'est effondré, clin d'oeil au terme "Front National". Lorsqu'un front s'effondre, il n'y a qu'à regrouper les quelques hommes que l'on connaît et les ressources allant avec et préparer la guérilla.
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