lundi 2 mars 2009

"La journée de la jupe": encore un film Juif

Les films attirent désormais notre attention, mais n'étant pas archéologue, de nombreux mauvais petits films juifs de propagande nous échappent. Il faut avouer que visionner un film de ce genre est toujours un exercice mental difficile, car notre esprit s'attendant aux classiques figures de rhétorique juives se lasse facilement.

Les européens et les chrétiens sont souvent les victimes de ces films de médiocre facture que tel barbouilleur israélite a décidé de lancer pour notre édification. Cependant l'actualité géopolitique a aussi ses exigences et les afro-maghrébins musulmans ont désormais de plus en plus droit à leur ration de haine juive. Le discours Juif a en effet singulièrement changé depuis quelques temps, notamment depuis la fameuse pétition contre le racisme "anti-blancs" signés par les anciens mangeurs de nazis que sont Kouchner ou Finkielkraut.

Le 11 septembre, l'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan, la guerre au Liban et à Gaza ainsi que la menace de guerre contre l'Iran, événements ayant pour dénominateur commun de s'attaquer aux musulmans, étant passés par là.

Voici donc "La journée de la Jupe" qui est une attaque en règle contre l'obscurantisme musulman de ces jeunes qui hier encore à en croire Enrico Macias et Bernard Henri Lévy étaient "nos potes". Si les Juifs ont créé par leur militantisme acharné en faveur de l'immigration cette situation, on relève la rapidité avec laquelle non seulement ils s'exonèrent de leur faute mais encore avec laquelle ils agressent par goyim blancs interposés leurs anciens "amis". Courageux mais pas téméraires comme on dit.

Nos lecteurs d'origine africaine ou arabe et nos amis musulmans savent notre position sur l'immigration (pour TOUS les pays) et sur le métissage OBLIGATOIRE. Ils savent aussi que nous ne confondons pas immigration et immigrés et ils savent que nous sommes tous otages de logiques transnationales incluant prétro-dollars saoudiens, classe politique européenne dévoyée, dictateurs africains et surtout financiers Juifs américains. Nos lecteurs doivent donc apprécier notre mesure sur ces choses et sur la prudence que nous exerçons en ce domaine, ne nous extasiant pas sur la "haine de l'Arabe".

Ce film donc a pour objet d'embrigader les blancs contre les musulmans devenus pour les Juifs les nouveaux catholiques blancs d'hier. Les embrigader oui, mais certes pas pour restaurer une situation ou l'identité européenne et l'équilibre mental, social et économique européens seraient restaurés. Non, bien sûr. Embrigader les français de souche, dans une optique JUIVE.

Mais encore ? Et bien dans une optique résolument féministe contre la famille traditionnelle musulmane, comme hier contre la famille traditionnelle chrétienne. La femme est bien au centre de ce film, avec l'attribut de la femme "libre" (selon les Juifs), c'est à dire libre de montrer son cul et ses jambes, c'est ce que nous dit la jupe. Voici donc une goy qui perd tout contrôle à cause d'enfants immigrés insupportables (ce qui est une réalité, mais là n'est pas la question). Elle va donc utiliser une arme trouvée par accident pour pouvoir faire un cours normal, c'est à dire inculquer les bons vieux auteurs que les "beaufs" dans leur franchouillardise (si odieuse à Bernard Henri Lévy) connaissent, "Molière", etc. Il s'agit donc de faire ensorte qu'ils s'identifient à cette professeur et se révoltent vis à vis de ces "sauvages" qui n'aiment guère la culture classique française.

La film du Juif Jean Paul Lilienfeld met en scène l'actrice Juive Isabelle Adjani.

Si le réalisateur ne nous dit pas les noms ni l'origine des personnes qui ont encouragé et défendu violemment des phénomènes aboutissant à une telle situation, en revanche il nous dit des choses très intéressantes. En utilisant notre miroir nous voyons que nous assistons bien sûr à un transfert classique de la part de notre cher Jean Paul Lilienfeld qui utilise une goy pour faire parler la communauté. Il nous montre simplement inconsciemment une communauté Juive visiblement exaspérée d'être encerclée par des musulmans qui ont le chic de ne pas faire ce qu'on leur dit a contrario des blancs.  Des musulmans ignares, violents et machistes (bientôt homosexuels), bref comme les blancs des films hollywoodiens. Armée, elle pourra donc faire son cours devant des jeunes Arabes et Noirs enfin dociles et terrorisés.

La crise d'hystérie de la professeur nous décrit assez bien l'état d'esprit communautaire. Nul doute qu'Eric zemmour s'extasiera en condamnant la "pensée unique" qui hurle au "racisme" tandis que Finkielkraut se félicitera de voir "enfin posées les questions de la transmission".

Nous, nous aurons simplement aperçu un navet Juif qui, à sa décharge, n'est pas pire que d'habitude.

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