mardi 3 mars 2009

Le président Juif français transfert sa haine des musulmans sur les européens

"Quand on s'en prend à un juif parce qu'il est juif, c'est toute la France qui doit se sentir solidaire".

"Les antisémites, les islamophobes, les racistes n'ont rien à faire sur le territoire de la République française"

Voilà les deux phrases que retient aujourd'hui la presse du soutien du président Mellah Sarközy Nagy Bocsaï à la communauté Juive lors du dîner organisé par le lobby sioniste hier.

Bien sûr chaque année, les appels à la "vigilance" sont toujours aussi pressants. La position des Juifs est en effet critique comme nous le rappellent les dures conditions des ministres, milliardaires et hommes de médias Juifs.

Le président Juif français s'il pointe l'obligation faite aux goyim de défendre les Juifs, bien que "parfaitement intégrés" et "plus français que les français" (même s'ils restent paradoxalement Juifs, mais nous le savons le paradoxe est un élément de mentalité Juive), omet un peu vite d'expliquer à son parterre de personnalités communautaires d'oeuvrer dans le même sens. Inversion accusatoire typique donc puisque l'on interverti à dessein agresseur et agressé. Hors de question donc d'arrêter de mener une rigoureuse politique de destruction de l'identité européenne de la France sans parler des attaques diverses et variées contre tout ce qui peut ressembler à un Blanc et depuis peu à un Arabe ou un Musulman (comme nous l'avons vu avec le film "La journée de la jupe" du réalisateur Juif Lilienfeld).

Poursuivant son discours donc, le président Juif de France met côte à côte "antisémites" et "islamophobes". Les Juifs ont en effet pour habitude, lorsqu'ils se sentent seuls et particulièrement visés, de désigner des "compagnons d'infortune" ou de s'en créer de toute pièce, de gré ou de force. Pourtant le problème Juif ne concerne que les Juifs, uniquement les Juifs, rien que les Juifs. Au grand dam des intéressés. Voici donc conviés dans le même combat les musulmans, "réquisitionnés" pour l'occasion afin de faire "corps" avec le Judaïsme. Dalil Boubakeur servant de faire valoir. Et c'est désormais l'évidence, les Juifs sont bien les meilleurs amis du monde arabo-islamique, il suffit de se souvenir de la récente campagne d'aide humanitaire à Gaza pour s'en convaincre.

On comprend très vite qu'il s'agit du discours Juif traditionnel promouvant le "multiculturalisme", pour se fondre au sein des diverses communautés et se faire ainsi le héraut du droit des "minorités" (surtout du droit du Judaïsme) dont il serait une "modeste" partie. On en déduit que puisque Musulmans et Juifs sont dans la même galère, le salaud reste le Blanc désormais prié, c'est très sérieux, de partir puisque lui, le Beauf' blanc raciste ou supposé tel, n'a plus de place dans un pays qu'il avait pourtant contribué à bâtir ( au moins un peu). Le président ne dit il pas "Les racistes n'ont rien à faire sur le territoire de la République". Nicolas Mellah Sarközy Nagy Bocsaï a raison, ils n'ont en effet qu'à disparaître. Mais les Juifs n'avaient pas attendu cette permission puisqu'ils s'y emploient depuis 1500 ans.

Il s'agit bien sûr d'une inversion accusatoire. Nous l'avons vu, les plus gros pourvoyeurs de la haine contre l'Islam sont bien les militants Juifs. Ils ne ratent jamais une occasion de nous le dire, à l'instar de Finkielkraut, de Zemmour mais aussi des combattants inlassables de la laïcité comme le Juif Stasi, chef de la fameuse commission et accessoirement auteur du livre "L'immigration une chance pour la France". Comme souvent, les Juifs démontrent des comportements paradoxaux s'expliquant par leur double jeu permanent: parfaitement intégrés en public, virulents Juifs en privé. En tant que Juifs ils militent donc pour l'immigration, mais en tant que Juifs encore militent pour la destruction de l'Islam. C'est dire si la paix et la tolérance chère aux Juifs est leur principales préoccupation.

Persécutés, agressés, amis des musulmans, appelant à chasser les racistes, voilà donc le visage du judaïsme en France si l'on en croit le discours officiel. Mais, miroir en poche, nous voyons autre chose, quelque chose que le lobby Juif et son faux visage de victime ne peuvent masquer.

Ne voulant pas changer de fusil d'épaule ils cherchent donc à se présenter comme des victimes du racisme des blancs comme les musulmans d'une part, tout en poussant les blancs à haïr les musulmans d'autre part grâce à des méthodes subversives comme nous l'avons vu. C'est donc pour sauver les intérêts Juifs qu'ils pratiquent un double jeu censé les protéger dans les deux cas de figure: amadouant les musulmans d'un coté, excitant les blancs de l'autre. A aucun moment bien sûr, les Juifs ne se sont pensés comme "Français". Ils sont Juifs, ils ont toujours été Juifs, rien que Juifs.

Le miroir nous fait donc voir des Juifs qui hurlent au racisme contre les musulmans par pragmatisme, alors qu'ils sont eux mêmes les plus hostiles à cette communauté. Nous avons bel et bien un "nouveau transfert" et les racistes que le président Juif évoque sont les Juifs. Poussant l'analyse de l'inversion plus loin, nous voyons que la finalité est de "chasser les racistes", c'est à dire qu'inconsciemment N. Sarközy comme Elie Wiesel ou le réalisateur Arcady dans Mirors, avoue que l'attente secrète du Judaïsme est bien de se faire châtier, d'expier les fautes qu'il attribue aux autres, ou plutôt de provoquer par tous les moyens un châtiment.

La pathologie hystérique et psychopathique Juives trouve ici une expression éclatante qui se complète ou se conclue par un penchant sado-masochiste évident.

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