mardi 3 mars 2009

Les psychopathes Juifs: Pieter-Dirk Uys

Pieter Dirk Uys est un psychopathe Juif emblématique: 
homosexuel et militant acharné du métissage, 
il incarne l'esprit haineux, jaloux, confus et paradoxal de la psychopathologie qu'est le Judaïsme


Nous avons évoqué la psychopathie Juive, souvent associée à la pathologie hystérique, qui trouve son origine dans l'inceste généralisé et l'endogamie pratiquée au sein des communautés israélites. Souvent présentée dans une forme politico-religieuse messianique, les Juifs essaient de faire passer leur névrose pour un engagement "humaniste" auquel personne ne pourrait échapper, à moins d'être un "raciste" et un "antisémite". C'est donc comme nous le répétons une pathologie mentale issue de l'inceste érigée au rang de programme politico-religieux planétaire reposant sur le suprémacisme Juif et le métissage industriel.

La liste est nombreuse de ces psychopathes Juifs qui par racisme transfèrent leur névrose sur autrui, singulièrement les Blancs. Le cas de Pieter Dirk Uys est caricatural. Né d'une mère Juive allemande, Pieter grandit en Afrique du Sud du temps de l'Apartheid. Comme de nombreux psychopathes militants du Judaïsme, il va s'engager "activement". Non pas sur le terrain aux cotés des Noirs, mais dans les médias en tant "qu'artiste", c'est à dire en tant que petit agitateur pouvant faire de l'argent et dissoudre la société blanche tant détestée.

Si l'Afrique du Sud était assurément un système voué à disparaître, il avait pourtant un principe de fonctionnement sain, à savoir le développement séparé des races. Plus que pour le droit des populations noires, Pieter va donc s'engager pour attaquer ce qui le gêne le plus en tant que Juif: la séparation raciale. On l'a vu très souvent, les Juifs ont fait de leur névrose asociale cumulant séparatisme communautaire et promotion du métissage extérieure les deux fondements de leur projet politico-pathologique. Cette haine de la séparation est logique puisque les Juifs entendent unifier le monde sous leur bannière. 

Notre sujet d'étude est à ce titre exemplaire puisque non seulement il milite pour la dissolution de la société séparatiste blanche sud africaine selon la mentalité Juive bien connue, mais en plus il va le faire en mettant en scène une personne révélant toutes les tares sexuelles cachées au sein des communautés Juives. Pieter en effet créa le personnage de "Tante Evita" ou notre ami expose ouvertement ses propres ambiguités sexuelles. Ambiguïtés sexuelles que l'on retrouvent très souvent chez les Juifs qui sont aussi, on le sait, homosexuels plus souvent qu'à leur tour (cela est dû aux relations homosexuelles pratiquées entre mères et filles et entre pères et fils au sein de la communauté) : nous analyserons d'ailleurs un film en sortie actuellement, "Harvey Milk" qui raconte l'histoire d'un leader homosexuel américain d'origine Juive.

Pieter créé aussi un autre personnage transexuel militant: "Kugel". Kugel est une femme Juive milliardaire. Dans un de ses sketchs, il lui fait dire de manière caractéristique: "Il y a deux problème en Afrique du Sud, l'apartheid et le peuple noir". Nous avons là encore un exemple de l'esprit "paradoxal" Juif qui s'explique par la schizophrénie permanente que la communauté entretient, naviguant entre l'image du citoyen "parfaitement intégré" et l'autre, secrète, de "Plus Juif tu meurs". Dans cette phrase nous avons en résumé la pensée Juive: hostilité à la structuration raciale, qu'elle émane des blancs séparatistes ou des Noirs revendiquant leur fierté raciale. Et oui, pour les Juifs, il y aura toujours en dehors d'eux, trop de races.

Confusion sexuelle et confusion identitaire, le tout transféré sur les goyim, voilà en somme le drame de la psychopathie et de la pathologie hystérique Juives découlant de la pratique de l'inceste et de l'endogamie. Les personnages de Pieter mêlent donc souvent les genre: homme déguisé en femme, blanche habillée en noire, Juive luttant contre le racisme n'aimant pas les Noirs. Un activiste Juif ayant le même profil qu'un autre "artiste sud africain", le Juif Johnny Clegg connu sous le nom de "Zoulou Blanc" ("Zoulou Juif" aurait été plus exact). Confusion et aussi paradoxe puisque la lutte contre l'apartheid ne concerne bien sûr par la communauté Juive, implacablement séparatiste...

Un militant exemplaire du Judaïsme.

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